Le 10 mai 2015, soit juste après avoir été rappelés à l'ordre par la Cheffe de la MINURSO, Madame Kim Bolduc, voilà que les polisariens...
Le 10 mai 2015, soit juste après avoir été rappelés à l'ordre par la Cheffe de la MINURSO, Madame Kim Bolduc, voilà que les polisariens, sur instructions de leurs sponsors bien connus, sollicitent une aide humanitaire internationale en faveur des sahraouis marocains séquestrés dans les camps de la honte de Tindouf.
Non satisfaits des détournements que le rapport OLAF a dévoilé, les responsables algériens et leurs affidés polisariens persistent à vouloir continuer à s'enrichir sur le dos des sahraouis marocains embastillés à Tindouf. Ils sollicitent, excusez du peu, une aide alimentaire internationale de 10 millions de dollars à obtenir d'ici juillet 2015 ; une aide sollicitée par le pseudo président du croissant rouge du polisario, Yahya Bouhobeini, un individu, qui selon le Rapport OLAF, a trempé dans des opérations à grandes échelles de détournements d'aides destinées aux séquestrés sahraouis marocains de Tindouf.
Il est vrai que les conclusions du rapport OLAF ont conduit les principaux donateurs internationaux à réduire drastiquement leurs dons et il y a donc un énorme manque à gagner pour les responsables algériens et les polisariens.
Par ailleurs, il semblerait que les responsables algériens n'aient pas encore lu la résolution 2218/15, votée le 28 avril 2015 par le Conseil de Sécurité de l'ONU, ni celle du Parlement Européen, en date du 29 avril 2015, qui exigent un recensement des populations sahraouies embastillées dans les camps de Tindouf.
Non satisfaits des détournements que le rapport OLAF a dévoilé, les responsables algériens et leurs affidés polisariens persistent à vouloir continuer à s'enrichir sur le dos des sahraouis marocains embastillés à Tindouf. Ils sollicitent, excusez du peu, une aide alimentaire internationale de 10 millions de dollars à obtenir d'ici juillet 2015 ; une aide sollicitée par le pseudo président du croissant rouge du polisario, Yahya Bouhobeini, un individu, qui selon le Rapport OLAF, a trempé dans des opérations à grandes échelles de détournements d'aides destinées aux séquestrés sahraouis marocains de Tindouf.
Il est vrai que les conclusions du rapport OLAF ont conduit les principaux donateurs internationaux à réduire drastiquement leurs dons et il y a donc un énorme manque à gagner pour les responsables algériens et les polisariens.
Par ailleurs, il semblerait que les responsables algériens n'aient pas encore lu la résolution 2218/15, votée le 28 avril 2015 par le Conseil de Sécurité de l'ONU, ni celle du Parlement Européen, en date du 29 avril 2015, qui exigent un recensement des populations sahraouies embastillées dans les camps de Tindouf.
Madame Kim Bolduc leur a très certainement rappelé cette exigence internationale lors de sa visite en urgence à Tndouf où elle a vertement tancé les responsables algériens et les polisariens suite aux provocations dont ont été l'objet les militaires de la MINURSO.
La communauté internationale ne doit pas céder à ces appels faussement humanitaires des dirigeants algériens et des polisariens qui ne cherchent qu'à s'enrichir sur le dos des séquestrés sahraouis marocains.
Au contraire, ils doivent exercer des pressions pour qu'un recensement puisse avoir lieu afin que la vérité éclate une fois pour toute sur l'implication directe de l'Algérie dans ce conflit artificiel qui perdure depuis 40 ans et qui offre tous les ingrédients favorables aux terroristes installés, en toute quiétude, dans ce pays pour déstabiliser les Etats voisins et menacer l'Europe.
Soit il y recensement avec mise en place d'un corridor sécurisé par les Nations-Unies pour permettre aux sahraouis marocains séquestrés illégalement de revenir en toute sécurité dans leur pays qu'est le Maroc ! Soit il n' y a rien ! C'est aussi simple que bonjour !
De plus, l'Etat algérien a obligation internationale à veiller à ce que les séquestrés sahraouis marocains aient accès à tous leurs besoins vitaux car ils se trouvent sur son territoire. L'Algérie, avec toutes ses réserves monétaires et fonds souverains, a t'elle besoin de quémander l'aide internationale pour des personnes qu'elle prend en otage ?