Ali Nassor, ancien ministre d’Ahmed Abdallah, a annoncé à des « amis » sa candidature à la présidentielle de 2016 au cours d’un atelier a...
Ali Nassor, ancien ministre d’Ahmed Abdallah, a annoncé à des « amis » sa candidature à la présidentielle de 2016 au cours d’un atelier au Ritaj dimanche 18 mai. Par la même occasion, il a fait part de son intention de lancer un nouveau parti politique, l’Alliance des Forces Progressistes Pour le Changement (AFPC). Au cours de cette réunion « de concertation et d’échange » sur son document de Programme politique, il a déploré la perte des valeurs d’intégrité et du sentiment d'appartenance à une même nation…..
Il a indexé le gaspillage, la corruption, les malversations, l’impunité qui ont conduit la jeunesse « à cesser de croire à un avenir meilleur et a perdre confiance en elle, à son pays, à la classe politique…»
« Face à ce désarroi généralisé », M. Nassor entend « faire émerger à nouveau, le sentiment d’appartenance à une même communauté de destin et recréer ainsi l’espoir et l’espérance, et donner à notre jeunesse de nouvelles raisons de croire au pays, de croire en elle et à ses dirigeants. » Il a présenté son programme de 10 Engagements comme étant « un processus, ouvert et dynamique, qui donnera naissance à des convergences sur la manière de relever les défis à relever. « Nous voulons prendre aujourd’hui les bonnes décisions, opérer les bons choix, fixer les bonnes orientations pour léguer aux générations futures, une Union des Comores, unie et prospère » a-t-il insisté avant d’ajouter : « nous ne voulons plus d’un pays où 45,6 % de sa population vit en dessous du seuil de pauvreté ».
Il a indexé le gaspillage, la corruption, les malversations, l’impunité qui ont conduit la jeunesse « à cesser de croire à un avenir meilleur et a perdre confiance en elle, à son pays, à la classe politique…»
« Face à ce désarroi généralisé », M. Nassor entend « faire émerger à nouveau, le sentiment d’appartenance à une même communauté de destin et recréer ainsi l’espoir et l’espérance, et donner à notre jeunesse de nouvelles raisons de croire au pays, de croire en elle et à ses dirigeants. » Il a présenté son programme de 10 Engagements comme étant « un processus, ouvert et dynamique, qui donnera naissance à des convergences sur la manière de relever les défis à relever. « Nous voulons prendre aujourd’hui les bonnes décisions, opérer les bons choix, fixer les bonnes orientations pour léguer aux générations futures, une Union des Comores, unie et prospère » a-t-il insisté avant d’ajouter : « nous ne voulons plus d’un pays où 45,6 % de sa population vit en dessous du seuil de pauvreté ».