Le 28 avril 2015, voilà une date qui sera inscrite en lettres d'or dans l'Histoire du Maroc. Le Conseil de Sécurité a, en effet, ad...
Le 28 avril 2015, voilà une date qui sera inscrite en lettres d'or dans l'Histoire du Maroc. Le Conseil de Sécurité a, en effet, adopté à l'unanimité de ses membres la Résolution nr.2218/15 relative à la question du Sahara marocain.
Une formidable victoire diplomatique marocaine qui a égayé tous les foyers marocains de Tanger à Lagouira et de l'étranger mais aussi les sahraouis marocains embastillés à Tindouf car par ce vote historique le Conseil de Sécurité reconnaît de facto les droits inaliénables du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Des droits que les dirigeants algériens ont tenté à moult reprises de lui contester en organisant des manifestations anti-marocaines, mobilisant pour ce faire leurs relais médiatiques nationaux et officines sournoises qui lui sont soumises et en orchestrant des atteintes à la souveraineté nationale du Maroc, à son intégrité territoriale et à sa sécurité publique afin d'influencer le vote des membres du Conseil de Sécurité.
Malheureusement pour ces responsables algériens, la communauté internationale a pris conscience de leur jeu machiavélique, ce que confirme cette nouvelle résolution qui affirme que seule la proposition marocaine est à même de mettre un terme à ce conflit artificiel car réaliste, sérieuse et viable.
Une formidable victoire diplomatique marocaine qui a égayé tous les foyers marocains de Tanger à Lagouira et de l'étranger mais aussi les sahraouis marocains embastillés à Tindouf car par ce vote historique le Conseil de Sécurité reconnaît de facto les droits inaliénables du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Des droits que les dirigeants algériens ont tenté à moult reprises de lui contester en organisant des manifestations anti-marocaines, mobilisant pour ce faire leurs relais médiatiques nationaux et officines sournoises qui lui sont soumises et en orchestrant des atteintes à la souveraineté nationale du Maroc, à son intégrité territoriale et à sa sécurité publique afin d'influencer le vote des membres du Conseil de Sécurité.
Malheureusement pour ces responsables algériens, la communauté internationale a pris conscience de leur jeu machiavélique, ce que confirme cette nouvelle résolution qui affirme que seule la proposition marocaine est à même de mettre un terme à ce conflit artificiel car réaliste, sérieuse et viable.
De plus, et il faut le noter, la résolution votée par le Conseil de Sécurité de l'ONU ne fait mention d'aucun changement dans la mission de la MINURSO qui a été reconduite sans aucune modification de son mandat. Mieux, elle reconnaît les avancées notables du Maroc en matière de protection des Droits de l'Homme et appelle nommément l'Algérie à respecter scrupuleusement ceux des sahraouis marocains embastillés dans les camps de Tindouf.
C'est pourquoi, et c'est l'élément le plus important qui figure dans cette résolution, il est exigé de l'Algérie l'octroi des autorisations nécessaires aux membres du Haut Commissariat pour les Réfugiés (HCR) pour mener le recensement des populations sahraouies séquestrées depuis près de 40 ans dans les camps de la honte de Tindouf.
Quant à la question d'un référendum, soutenue par les responsables algériens, elle a été totalement exclue de toute discussion ; une décision qui reflète le soutien sans équivoque du Conseil de Sécurité de l'ONU à la proposition marocaine, seule à même de mettre un terme définitif à ce conflit factice. Sur ce point, à Rabouni tout comme à Alger, le coup venu des Nations-Unies a été amèrement encaissé.
Avec cette nouvelle résolution, les responsables algériens sont plus que jamais face à un choix cornélien : soit ils se plient aux exigences édictées dans la résolution nr 2218/15 votée par le Conseil de Sécurité, soit l'Algérie deviendra un Etat paria aux yeux de la communauté internationale.
Le choix a été réduit à sa plus simple expression pour les responsables algériens qui n'ont plus d'échappatoires pour faire perdurer ce conflit qu'ils ont créé de toutes pièces. La vérité a éclaté au grand jour et ils doivent faire amende honorable.
Une résolution qui a assommé les dirigeants algériens, ses affidés du polisario et les soutiens étrangers de la thèse algérienne sur ce dossier et fait sortir de ses gonds la Présidente de la "RFK Fundation", Kerry Kennedy, sèchement sermonnée par les diplomates algériens en poste à Washington qui lui ont réclamé la restitution des millions de pétro-dollars perçus pour avoir failli à la mission de lobbying pro-polisarien qui lui a été fixée par Alger.
Pour les quelques Etats qui se sont alignés à la thèse algérienne sur le dossier du Sahara marocain, il est encore temps de réparer leur erreur et de reconnaître la marocanité des provinces sahariennes. D'ailleurs, il est une certitude qu'après ce vote, nombre de ces pays induits dans la supercherie algérienne réviseront leur position.
Que les dirigeants algériens sachent que la patience du Maroc et de son peuple a des limites et qu'ils en ont honteusement abusée. Le Maroc et son peuple rappellent aux dirigeants algériens que la convention de 1972, relative au Sahara oriental marocain, occupé illégalement par l'Algérie, n'a pas encore été définitivement ratifiée par le Parlement marocain et que tant qu'ils adopteront une politique de nuisance envers leur voisin de l'Ouest il n'y aura aucune chance qu'elle se concrétise. Les lecteurs sont invités à consulter le guide Michelin 2014 qui reconnaît le Sahara occidental et le Sahara oriental comme territoires marocains dans la carte du Maroc. Les lecteurs sont également invités à consulter les archives sur le Général de Gaulle qui déclara et je le cite : Tindouf et sa région sont historiquement Marocaines. C'est clair, net et sans commentaires.
Le Conseil de Sécurité a voté la résolution nr 2218/15, les responsables algériens ont été recadrés et ils ont obligation de s'y conformer point par point. Un point c'est tout !
Farid Mnebhi.