Un adolescent de 13 ans est mort dimanche matin à la Réunion après avoir été happé par un requin alors qu'il surfait. Selon les pompiers...
Un adolescent de 13 ans est mort dimanche matin à la Réunion après avoir été happé par un requin alors qu'il surfait. Selon les pompiers, il s'agit du septième décès dû à la résurgence des attaques de squale dans l'île depuis 2011. Le jeune garçon a été happé par un requin qui lui a arraché les membres et une partie de l'abdomen. L'adolescent se trouvait dans une zone interdite à la baignade aux Aigrettes (Cap Homard), sur la côte ouest de l'île, lorsqu'il a été attaqué.
«L'interdiction» des activités de sports nautiques «dans la bande des 300 mètres (au-delà du littoral, ndlr) est plus que jamais impérative», écrit dimanche la préfecture de la Réunion, dans un communiqué. La flamme rouge est hissée sur les plages du littoral ouest et des opérations de capture ont lieu aux alentours immédiats du lieu de l'attaque, précise-t-elle.
C'est la seizième attaque de squale depuis 2011, la septième mortelle. La dernière remontait au 14 février. Une baigneuse de 22 ans avait été attrapée par un requin alors qu'elle se trouvait à 5 mètres du rivage à Pont Mulla, Etang-Salé (sud de l'île).
Mi-février, juste avant cette précédente attaque, le préfet de La Réunion, Dominique Sorain, avait reconduit jusqu'au 15 février 2016 l'arrêté préfectoral interdisant la baignade et toutes les activités nautiques en dehors du lagon et des zones surveillées, du fait du risque posé par les requins. L'arrêté prévoit toutefois la mise en place des zones expérimentales limitées situées à Saint-Paul, Trois-Bassins, Saint-Leu (littoral ouest) où les jeunes surfeurs et les entraîneurs du pôle espoir de la ligue de surf réunionnaise pourront pratiquer leur sport.
La décision «d'interdire la mer», selon une expression souvent utilisée avec agacement par bon nombre de Réunionnais, avait été prise par la préfecture en juillet 2013 après la mort d'une jeune fille de 15 ans tuée par un requin alors qu'elle était à 5 mètres du rivage à Saint-Paul (ouest de l'île).
Cette situation a contribué à une baisse significative de l'activité touristique et a entraîné l'annulation de la totalité des compétitions de surf et de bodyboard. Même si les autorités cherchent aussi à éviter la psychose en rappelant que des attaques de squales avaient déjà eu lieu par le passé.
Par leparisien.fr
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
«L'interdiction» des activités de sports nautiques «dans la bande des 300 mètres (au-delà du littoral, ndlr) est plus que jamais impérative», écrit dimanche la préfecture de la Réunion, dans un communiqué. La flamme rouge est hissée sur les plages du littoral ouest et des opérations de capture ont lieu aux alentours immédiats du lieu de l'attaque, précise-t-elle.
C'est la seizième attaque de squale depuis 2011, la septième mortelle. La dernière remontait au 14 février. Une baigneuse de 22 ans avait été attrapée par un requin alors qu'elle se trouvait à 5 mètres du rivage à Pont Mulla, Etang-Salé (sud de l'île).
Un adolescent de 13 ans est mort dimanche matin à la Réunion après avoir été happé par un requin. AFP |
Mi-février, juste avant cette précédente attaque, le préfet de La Réunion, Dominique Sorain, avait reconduit jusqu'au 15 février 2016 l'arrêté préfectoral interdisant la baignade et toutes les activités nautiques en dehors du lagon et des zones surveillées, du fait du risque posé par les requins. L'arrêté prévoit toutefois la mise en place des zones expérimentales limitées situées à Saint-Paul, Trois-Bassins, Saint-Leu (littoral ouest) où les jeunes surfeurs et les entraîneurs du pôle espoir de la ligue de surf réunionnaise pourront pratiquer leur sport.
La décision «d'interdire la mer», selon une expression souvent utilisée avec agacement par bon nombre de Réunionnais, avait été prise par la préfecture en juillet 2013 après la mort d'une jeune fille de 15 ans tuée par un requin alors qu'elle était à 5 mètres du rivage à Saint-Paul (ouest de l'île).
Cette situation a contribué à une baisse significative de l'activité touristique et a entraîné l'annulation de la totalité des compétitions de surf et de bodyboard. Même si les autorités cherchent aussi à éviter la psychose en rappelant que des attaques de squales avaient déjà eu lieu par le passé.
Par leparisien.fr
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