Les Sénégalaises se sont définitivement adaptées à l’ère du phénomène “je fais mon enfant” et ceci même sans mari. Dans la rue, dans leur vi...
Les Sénégalaises se sont définitivement adaptées à l’ère du phénomène “je fais mon enfant” et ceci même sans mari. Dans la rue, dans leur vie active, sur les réseaux sociaux, partout dans leur quotidien, les jeunes dames montrent manifestement, leur peine à trouver un époux.
Et la quête désespérée de ce dernier les met dans des états dépressifs et les pousse parfois à agir en catastrophe. Le pays est-il maudit à tel point que les femmes sénégalaises, tous âges confondus, pourtant bien éduquées, belles, tête bien faite, riches et intelligentes ne trouvent pas d’époux pour fonder un foyer ?
Et celles qui n’échappent pas à la tentation du diable finissent tout simplement par faire des réseaux sociaux leur chien de garde ou leur fusil d’épaule.
Leur défouloir sur Facebook, c’est le déballage total. Des pages à la limite conçues ou spécifiquement dédiées à la gent féminine, dont le seul génie est d’être bien visité par les hommes à la recherche de nouvelles expériences.
Entre «Mouvement prendre soin de son mari», «Mari, l’homme adoré», «Douceur de nuit ou de matinée», «Fraîcheur du soir et de la lune», «Le coin des femmes», «Jongué ci bir keur ou ci biir cine», les femmes désespérées se perdent dans leurs calculs d’épicières très millimétrés.
On peut dire, sans risque de se tromper, que le manque de maris hante le sommeil des belles nymphes sénégalaises. Musulmanes ou d’obédience chrétienne, elles vivent toutes cette situation cauchemardesque.
Ces femmes touchées par la carence fulgurante d’époux
Elles ne trouvent pas un homme qui devrait leur passer la bague au doigt. Dg, diplomates, banquières, médecins, avocates, journalistes, chefs d’entreprise, restauratrices, musiciennes, danseuses, commerciales, femmes de ménage, vendeuses ambulantes, vendeuses de poisson, laveuses, étudiantes sont toutes touchées par cette carence fulgurante. Personne n’y échappe. C’est incroyable ! Vu leur beauté, finesse, rondeur, générosité, intelligence et pourtant ce n’est pas du vent.
Appelées toujours par leur nom de jeune (à défaut d’entendre madame), elles vivent souvent très mal cette situation pesante et inquiétante pour leur famille en général. Ayant une crainte de ne pas trouver de mari avant la ménopause, le phénomène «Je fais mon enfant» fait des ravages dans le pays.
Mais faudrait-il leur en vouloir quand on sait que chaque personne souhaite avoir un héritier ou une héritière sans oublier que tout être humain a des pulsions et désirs sexuels ?
Les incriminées avouent habiller leur corps pour mieux l’exposer à l’appréciation des hommes.
Les marchés et les boutiques de tissus de toutes sortes, accessibles à toutes les bourses, jalonnent le pays tout entier. Pourtant, sous nos yeux éberlués, défile le paradoxe de nos dames et de nos filles si peu couvertes à la limite de l’indécence.
Les incriminées avouent habiller leur corps pour mieux l’exposer à l’appréciation des hommes. L’image projetée anticipe la satisfaction d’une attente prêtée curieusement à celui-là qui s’en offusque si bruyamment.
Les cœurs et les esprits bien pensants sont choqués de voir cette beauté et tant de douceurs vulgarisées dans les réseaux sociaux. Pourtant, avec toute cette masse de «connaissances» virtuelles ou réelles, les dames n’arrivent pas à réussir et mener une vie conjugale sans austérité ou sans virtuosité.
Elles sont indépendantes, autonomes et bénéficient d’une aisance financière. Elles travaillent, ont de très bons salaires, une maison ou un appartement, un compte bancaire bien garni, une voiture, une calebasse remplie de bijoux.
«Elles sont belles, intelligentes, bien faites, mais bêtes des fois, très bêtes»,
«Elles sont belles, intelligentes, bien faites, mais bêtes des fois, très bêtes», s’exclame-t-on dans ces réseaux de défouloir. Elles n’ont toujours pas compris que ce n’est pas la tenue extravagante qui attire.
«Le corps est le temple de l’esprit, mais dommage qu’il est si démoli par la nudité de nos sœurs. Le corps de la femme si mal vêtu est responsable du mauvais hivernage de l’année 2014», confie une dame.
Connaissant si bien leurs partenaires, les femmes usent des vêtements et d’autres accessoires afin de mieux mettre en valeur ce qu’elles ont de mieux à offrir à l’homme pour le divertir de l’essentiel qui se trouve ailleurs que sous les froufrous.
La femme sénégalaise est en train de créer une révolution en extrayant ses libertés individuelles de la surface de supervision de l’homme. En montrant aujourd’hui ce qui, hier, était caché, la femme pose un acte social qui brise des liens afin de mieux en créer d’autres à son avantage.
Ces nouveaux vêtements réinventent les rapports de la femme au corps social et à son propre corps. En s’habillant, la femme refuse de se couvrir et se met en valeur, en exposant ses atouts et ses atours.
“Il faut de nouvelles «Assises nationales…Ces femmes espèrent trouver une solution définitive dans le programme «Sénégal émergent»
Il est ici question de divertir par des effets d’inhibition et d’illusion afin de mieux se camoufler dans l’espace public miné et balisé par les couturières-stylistes. Y a-t-il réellement une crise d’époux dans le pays ou est-ce qu’elles vivent des liaisons avec des esprits maléfiques ? Il faut de nouvelles «Assises nationales pour apporter des propositions et des solutions à cette pénurie de maris», raille une dame.
Ces femmes espèrent trouver une solution définitive dans le programme «Sénégal émergent» en y trouvant leur compte sans ralentir la cadence, poursuit-elle. «Pourtant, la solution est toute simple : Demandez la main des hommes célibataires ou déjà mariés aux élans polygames, renchérit-elle
Source : actusen.com
Et la quête désespérée de ce dernier les met dans des états dépressifs et les pousse parfois à agir en catastrophe. Le pays est-il maudit à tel point que les femmes sénégalaises, tous âges confondus, pourtant bien éduquées, belles, tête bien faite, riches et intelligentes ne trouvent pas d’époux pour fonder un foyer ?
Et celles qui n’échappent pas à la tentation du diable finissent tout simplement par faire des réseaux sociaux leur chien de garde ou leur fusil d’épaule.
Leur défouloir sur Facebook, c’est le déballage total. Des pages à la limite conçues ou spécifiquement dédiées à la gent féminine, dont le seul génie est d’être bien visité par les hommes à la recherche de nouvelles expériences.
Entre «Mouvement prendre soin de son mari», «Mari, l’homme adoré», «Douceur de nuit ou de matinée», «Fraîcheur du soir et de la lune», «Le coin des femmes», «Jongué ci bir keur ou ci biir cine», les femmes désespérées se perdent dans leurs calculs d’épicières très millimétrés.
On peut dire, sans risque de se tromper, que le manque de maris hante le sommeil des belles nymphes sénégalaises. Musulmanes ou d’obédience chrétienne, elles vivent toutes cette situation cauchemardesque.
Ces femmes touchées par la carence fulgurante d’époux
Elles ne trouvent pas un homme qui devrait leur passer la bague au doigt. Dg, diplomates, banquières, médecins, avocates, journalistes, chefs d’entreprise, restauratrices, musiciennes, danseuses, commerciales, femmes de ménage, vendeuses ambulantes, vendeuses de poisson, laveuses, étudiantes sont toutes touchées par cette carence fulgurante. Personne n’y échappe. C’est incroyable ! Vu leur beauté, finesse, rondeur, générosité, intelligence et pourtant ce n’est pas du vent.
Appelées toujours par leur nom de jeune (à défaut d’entendre madame), elles vivent souvent très mal cette situation pesante et inquiétante pour leur famille en général. Ayant une crainte de ne pas trouver de mari avant la ménopause, le phénomène «Je fais mon enfant» fait des ravages dans le pays.
Mais faudrait-il leur en vouloir quand on sait que chaque personne souhaite avoir un héritier ou une héritière sans oublier que tout être humain a des pulsions et désirs sexuels ?
Les incriminées avouent habiller leur corps pour mieux l’exposer à l’appréciation des hommes.
Les marchés et les boutiques de tissus de toutes sortes, accessibles à toutes les bourses, jalonnent le pays tout entier. Pourtant, sous nos yeux éberlués, défile le paradoxe de nos dames et de nos filles si peu couvertes à la limite de l’indécence.
Les incriminées avouent habiller leur corps pour mieux l’exposer à l’appréciation des hommes. L’image projetée anticipe la satisfaction d’une attente prêtée curieusement à celui-là qui s’en offusque si bruyamment.
Les cœurs et les esprits bien pensants sont choqués de voir cette beauté et tant de douceurs vulgarisées dans les réseaux sociaux. Pourtant, avec toute cette masse de «connaissances» virtuelles ou réelles, les dames n’arrivent pas à réussir et mener une vie conjugale sans austérité ou sans virtuosité.
Elles sont indépendantes, autonomes et bénéficient d’une aisance financière. Elles travaillent, ont de très bons salaires, une maison ou un appartement, un compte bancaire bien garni, une voiture, une calebasse remplie de bijoux.
«Elles sont belles, intelligentes, bien faites, mais bêtes des fois, très bêtes»,
«Elles sont belles, intelligentes, bien faites, mais bêtes des fois, très bêtes», s’exclame-t-on dans ces réseaux de défouloir. Elles n’ont toujours pas compris que ce n’est pas la tenue extravagante qui attire.
«Le corps est le temple de l’esprit, mais dommage qu’il est si démoli par la nudité de nos sœurs. Le corps de la femme si mal vêtu est responsable du mauvais hivernage de l’année 2014», confie une dame.
Connaissant si bien leurs partenaires, les femmes usent des vêtements et d’autres accessoires afin de mieux mettre en valeur ce qu’elles ont de mieux à offrir à l’homme pour le divertir de l’essentiel qui se trouve ailleurs que sous les froufrous.
La femme sénégalaise est en train de créer une révolution en extrayant ses libertés individuelles de la surface de supervision de l’homme. En montrant aujourd’hui ce qui, hier, était caché, la femme pose un acte social qui brise des liens afin de mieux en créer d’autres à son avantage.
Ces nouveaux vêtements réinventent les rapports de la femme au corps social et à son propre corps. En s’habillant, la femme refuse de se couvrir et se met en valeur, en exposant ses atouts et ses atours.
“Il faut de nouvelles «Assises nationales…Ces femmes espèrent trouver une solution définitive dans le programme «Sénégal émergent»
Il est ici question de divertir par des effets d’inhibition et d’illusion afin de mieux se camoufler dans l’espace public miné et balisé par les couturières-stylistes. Y a-t-il réellement une crise d’époux dans le pays ou est-ce qu’elles vivent des liaisons avec des esprits maléfiques ? Il faut de nouvelles «Assises nationales pour apporter des propositions et des solutions à cette pénurie de maris», raille une dame.
Ces femmes espèrent trouver une solution définitive dans le programme «Sénégal émergent» en y trouvant leur compte sans ralentir la cadence, poursuit-elle. «Pourtant, la solution est toute simple : Demandez la main des hommes célibataires ou déjà mariés aux élans polygames, renchérit-elle
Source : actusen.com