Comme il fallait s'y attendre, le rapport sur le Sahara marocain que vient de transmettre le Secrétaire Général de l'ONU au Conseil...
Comme il fallait s'y attendre, le rapport sur le Sahara marocain que vient de transmettre le Secrétaire Général de l'ONU au Conseil de Sécurité a soulevé une vague d'enthousiasme dans les camps des séquestrés de Tindouf qui réclament leur retour dans leur pays qu'est le Maroc.
Un rapport qui a même provoqué des heurts sanglants entre les deux factions de la tribu des Rigubat à savoir celle des.Oulad Moussa et celle des Faqra, dont est issu le renégat Mohamed Abdelaziz.
En effet, le 12 avril 2015, face à la montée de la contestation, une première entre membres de la tribu principale des camps de la honte de Tindouf, notamment dans le campement dit "Aousserd", les miliciens polisariens, conduits par le fils aîné de Mohamed Abdelaziz, ont fait usage de leurs armes pour faire taire ce mouvement contestataire.
Les services et les militaires algériens ont encerclé les camps et imposé un total black-out sur ce tragique évènement dont le bilan serait très lourd.
Les séquestrés sahraouis marocains ne demandent que leur retour au Maroc ; un droit légitime qui leur est contesté par les responsables algériens et leurs affidés polisariens pour des raisons que tout le monde sait.
Il serait plus qu'urgent que le HCR organise un recensement de ces populations des camps des séquestrés de la honte à Tindouf et qu'un corridor sécuritaire et humanitaire international soit mis en place pour assurer le retour en toute sécurité des sahraouis marocain dans leur pays.
Les sahraouis marocains ne doivent pas devenir "un détail" entre les mains des responsables algéro-polisariens qui disposent du droit de vie ou de mort sur ces embastillés depuis près de 40 ans.
L'heure de la vérité est proche pour les responsables algériens et pour tous ceux qui soutiennent la thèse fallacieuse algérienne. Ils ne seront pas à plaindre à ce moment là !
Un rapport qui a même provoqué des heurts sanglants entre les deux factions de la tribu des Rigubat à savoir celle des.Oulad Moussa et celle des Faqra, dont est issu le renégat Mohamed Abdelaziz.
En effet, le 12 avril 2015, face à la montée de la contestation, une première entre membres de la tribu principale des camps de la honte de Tindouf, notamment dans le campement dit "Aousserd", les miliciens polisariens, conduits par le fils aîné de Mohamed Abdelaziz, ont fait usage de leurs armes pour faire taire ce mouvement contestataire.
Les services et les militaires algériens ont encerclé les camps et imposé un total black-out sur ce tragique évènement dont le bilan serait très lourd.
Les séquestrés sahraouis marocains ne demandent que leur retour au Maroc ; un droit légitime qui leur est contesté par les responsables algériens et leurs affidés polisariens pour des raisons que tout le monde sait.
Il serait plus qu'urgent que le HCR organise un recensement de ces populations des camps des séquestrés de la honte à Tindouf et qu'un corridor sécuritaire et humanitaire international soit mis en place pour assurer le retour en toute sécurité des sahraouis marocain dans leur pays.
Les sahraouis marocains ne doivent pas devenir "un détail" entre les mains des responsables algéro-polisariens qui disposent du droit de vie ou de mort sur ces embastillés depuis près de 40 ans.
L'heure de la vérité est proche pour les responsables algériens et pour tous ceux qui soutiennent la thèse fallacieuse algérienne. Ils ne seront pas à plaindre à ce moment là !