En l'an 2010 aussi, Le Ministre Fahmi Saïd Ibrahim était à Addis Abeba : Document inédit ! Un document explosif qui dévoile la maniganc...
En l'an 2010 aussi, Le Ministre Fahmi Saïd Ibrahim était à Addis Abeba : Document inédit !
Un document explosif qui dévoile la manigance et la mauvaise foi des Sambistes sur la question de la tournante entre les îles. Le dossier que Fahmi et Dossar ont remis aux autorités de l'Union Africaine en 2010 a bel et bien mentionné noir sur blanc que la tournante de 2016 revient à la Grand-Comore et pour un « Grand-Comorien ». Alors, Ahmed Sambi est un Grand-Comorien ? Visiblement quand il s'agit de mentir ouvertement, il y a des gens qui sont plutôt forts. Il y a pire, c'est qu'une fois qu'on a la preuve de leurs mensonges, rien ne change. Tout de même, ils doivent savoir que nous sommes au courant de leur volonté de toujours mentir aux comoriens. Constatez vous même qu'en 2010 ils ont tranché aussi pour Mayotte.
En 2010, Fahmi Saïd Ibrahim ministre des relations extérieures est parti à Addis-Abeba avec Mohamed Bacar Dossar pour rencontrer les autorités de l'Union Africaine parce que le 1er mars 2010, les "congressistes" sambistes ont voté la proposition de loi qui fixe au 27 novembre 2011, la date des élections présidentielles harmonisées. Naturellement cela a soulevé les réactions de la population Mohélienne « Mpaka Modja Nguefo ». Dans cette situation où l'ancien raïs Ahmed Sambi était acculé par les manifestations de la population de Mohéli pour qu'il parte et laisse à un Mohélien la présidence, ils sont partis à Addis Abeba pour prouver leur bonne foi aux autorités de l'Union Africaine en remettant un dossier officiel « La réforme constitutionnelle de 2009 ».
Chers lecteurs, le contenu de ce document remis aux autorités de l'Union Africaine en 2010 par Fahmi Saïd Ibrahim ministre des relations extérieures et Mohamed Bacar Dossar ministre des finances de l'époque, je vous invite à le découvrir pour enfin comprendre le fossé qui existe entre leurs paroles et leurs actes. Oui, le fossé est énorme. Par exemples, il est mentionné noir sur blanc dans le document qu'ils ont remis aux autorités de l'Union Africaine, (la tournante à Mohéli en 2011) pour un « Mohélien ». On constate également que contrairement à ce que Fahmi Saïd Ibrahim avance aujourd'hui comme argument dans le but de donner la tournante de Ngazidja à son ami Ahmed Sambi, il est mentionné noir sur blanc que la tournante de 2016 revient à la grande Comore et pour un « Grand Comorien ». Pourquoi ce revirement de Fahmi Saïd Ibrahim et Bacar Dossar, qui nous font croire que Ahmed Sambi peut être candidat en 2016 ? A savoir !
Le 1er mars 2010, les congressistes ont voté la proposition de loi qui fixe au 27 novembre 2011, la date des élections présidentielles harmonisées. cela a soulevé les réactions de la population Mohélienne « Mpaka Modja Nguefo ». Ainsi donc, puisque l'ancien président Ahmed Sambi était acculé par les manifestations de la population de Mohéli pour qu'il parte et laisse à un Mohélien la présidence, Mohamed Bacar Dossar accompagné de Fahmi Saïd Ibrahim sont partis à Addis-Abeba et ont remis au Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union Africaine un document argumentaire dont le contenu et la suite des événements montrent combien que cette équipe n'est pas du tout sérieux malgré l'apparence.
On constate que parmi les huit (8) points essentiels de la réforme constitutionnelle de 2009, il y a la nécessité d'éliminer toute ambiguïté sur la tournante. Il y a aussi les élections des députés et des conseillers le même jour et l'élection du président de I'Union et les Gouverneurs des îles aux mêmes dates.
Visiblement entre ce qu'ils ont écrit et ce qu'ils nous racontent aujourd'hui le fossé est énorme. Pourquoi ?
- D'abord parce qu'ils sont partis à Addis Abeba en 2010 pour remettre une réforme constitutionnelle qui a prévu les regroupements des élections législatives des députés de l'Union et des conseillers des îles le même jour et l' élection du chef de l'Etat et des Gouverneurs le même jour. Sauf que bizarrement, en 2014 ces partis (Juwa-Ridja-Pec et autres) ont réclamé la fin du mandat des députés, 8 mois avant la fin du mandat des conseillers. Dans ce cas on se demande pourquoi ils ont fait cette reforme en 2009 ? D'ailleurs sur ce point Saïd Larifou du parti Ridja avait réclamé « un Conseil législatif de transition », aujourd'hui on comprend mieux pourquoi le "Ridja" voulait un parlement « consensuel » puisque ce parti n'était pas en mesure de présenter des candidats aux législatives. pourtant un parlement « consensuel» aurait ramené des députés Ridja à Hamramba.
- En suite la réforme constitutionnelle de 2009 avait comme objectif : éliminer toute ambiguïté sur la tournante, n'est ce pas ?
En la rendant obligatoire au bout des cinq ans de mandat du président de I'Union. Ici encore, en lisant ce document on constate que la réforme constitutionnelle de 2009 a prévu la tournante à Mohéli en 2011 pour un « Mohélien ». Comme elle a prévu la tournante en Grand-Comore en 2016 pour un « Grand-Comorien ». Alors, quand le leader du parti Pec se dit prêt à donner le tour de Ngazidja à l'ancien Président Ahmed Sambi, on se demande s'il a oublié le document officiel qu'il a remis en main propres aux autorités de l'Union africaine et surtout pourquoi ce qu'il dit est différend de ce qu'ils ont écrit... A suivre....
Un document explosif qui dévoile la manigance et la mauvaise foi des Sambistes sur la question de la tournante entre les îles. Le dossier que Fahmi et Dossar ont remis aux autorités de l'Union Africaine en 2010 a bel et bien mentionné noir sur blanc que la tournante de 2016 revient à la Grand-Comore et pour un « Grand-Comorien ». Alors, Ahmed Sambi est un Grand-Comorien ? Visiblement quand il s'agit de mentir ouvertement, il y a des gens qui sont plutôt forts. Il y a pire, c'est qu'une fois qu'on a la preuve de leurs mensonges, rien ne change. Tout de même, ils doivent savoir que nous sommes au courant de leur volonté de toujours mentir aux comoriens. Constatez vous même qu'en 2010 ils ont tranché aussi pour Mayotte.
En 2010, Fahmi Saïd Ibrahim ministre des relations extérieures est parti à Addis-Abeba avec Mohamed Bacar Dossar pour rencontrer les autorités de l'Union Africaine parce que le 1er mars 2010, les "congressistes" sambistes ont voté la proposition de loi qui fixe au 27 novembre 2011, la date des élections présidentielles harmonisées. Naturellement cela a soulevé les réactions de la population Mohélienne « Mpaka Modja Nguefo ». Dans cette situation où l'ancien raïs Ahmed Sambi était acculé par les manifestations de la population de Mohéli pour qu'il parte et laisse à un Mohélien la présidence, ils sont partis à Addis Abeba pour prouver leur bonne foi aux autorités de l'Union Africaine en remettant un dossier officiel « La réforme constitutionnelle de 2009 ».
Chers lecteurs, le contenu de ce document remis aux autorités de l'Union Africaine en 2010 par Fahmi Saïd Ibrahim ministre des relations extérieures et Mohamed Bacar Dossar ministre des finances de l'époque, je vous invite à le découvrir pour enfin comprendre le fossé qui existe entre leurs paroles et leurs actes. Oui, le fossé est énorme. Par exemples, il est mentionné noir sur blanc dans le document qu'ils ont remis aux autorités de l'Union Africaine, (la tournante à Mohéli en 2011) pour un « Mohélien ». On constate également que contrairement à ce que Fahmi Saïd Ibrahim avance aujourd'hui comme argument dans le but de donner la tournante de Ngazidja à son ami Ahmed Sambi, il est mentionné noir sur blanc que la tournante de 2016 revient à la grande Comore et pour un « Grand Comorien ». Pourquoi ce revirement de Fahmi Saïd Ibrahim et Bacar Dossar, qui nous font croire que Ahmed Sambi peut être candidat en 2016 ? A savoir !
Le 1er mars 2010, les congressistes ont voté la proposition de loi qui fixe au 27 novembre 2011, la date des élections présidentielles harmonisées. cela a soulevé les réactions de la population Mohélienne « Mpaka Modja Nguefo ». Ainsi donc, puisque l'ancien président Ahmed Sambi était acculé par les manifestations de la population de Mohéli pour qu'il parte et laisse à un Mohélien la présidence, Mohamed Bacar Dossar accompagné de Fahmi Saïd Ibrahim sont partis à Addis-Abeba et ont remis au Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union Africaine un document argumentaire dont le contenu et la suite des événements montrent combien que cette équipe n'est pas du tout sérieux malgré l'apparence.
On constate que parmi les huit (8) points essentiels de la réforme constitutionnelle de 2009, il y a la nécessité d'éliminer toute ambiguïté sur la tournante. Il y a aussi les élections des députés et des conseillers le même jour et l'élection du président de I'Union et les Gouverneurs des îles aux mêmes dates.
Visiblement entre ce qu'ils ont écrit et ce qu'ils nous racontent aujourd'hui le fossé est énorme. Pourquoi ?
- D'abord parce qu'ils sont partis à Addis Abeba en 2010 pour remettre une réforme constitutionnelle qui a prévu les regroupements des élections législatives des députés de l'Union et des conseillers des îles le même jour et l' élection du chef de l'Etat et des Gouverneurs le même jour. Sauf que bizarrement, en 2014 ces partis (Juwa-Ridja-Pec et autres) ont réclamé la fin du mandat des députés, 8 mois avant la fin du mandat des conseillers. Dans ce cas on se demande pourquoi ils ont fait cette reforme en 2009 ? D'ailleurs sur ce point Saïd Larifou du parti Ridja avait réclamé « un Conseil législatif de transition », aujourd'hui on comprend mieux pourquoi le "Ridja" voulait un parlement « consensuel » puisque ce parti n'était pas en mesure de présenter des candidats aux législatives. pourtant un parlement « consensuel» aurait ramené des députés Ridja à Hamramba.
- En suite la réforme constitutionnelle de 2009 avait comme objectif : éliminer toute ambiguïté sur la tournante, n'est ce pas ?
En la rendant obligatoire au bout des cinq ans de mandat du président de I'Union. Ici encore, en lisant ce document on constate que la réforme constitutionnelle de 2009 a prévu la tournante à Mohéli en 2011 pour un « Mohélien ». Comme elle a prévu la tournante en Grand-Comore en 2016 pour un « Grand-Comorien ». Alors, quand le leader du parti Pec se dit prêt à donner le tour de Ngazidja à l'ancien Président Ahmed Sambi, on se demande s'il a oublié le document officiel qu'il a remis en main propres aux autorités de l'Union africaine et surtout pourquoi ce qu'il dit est différend de ce qu'ils ont écrit... A suivre....