Les premières investigations menées après la cyber-attaque contre TV5 Monde viennent de parler et elles sont ahurissantes. En effet, ils ne...
Les premières investigations menées après la cyber-attaque contre TV5 Monde viennent de parler et elles sont ahurissantes.
En effet, ils ne fait aucun doute pour les enquêteurs que l'attaque a été menée depuis un ordinateur basé à Alger avec l'assistance d'un second stationné, pour sa part, en Irak.
Les spécialistes en charge de l'enquête sont catégoriques et ont même donné le nom et le pseudo du pirate. Il s'agit de Najaf qui opère sous le code de John Dz.
Quant à celui qui se trouve en Irak, il opère sous le nom de Khattab.
Il est à noter que selon, les enquêteurs, les couleurs du drapeau algérien se trouvent sur chaque page de TV5 piratée et non celles de DAESH, à savoir le noir et blanc d'où de nombreuses interrogations qui seront très bientôt levées assure William Raymond, fondateur de breaking 3.0.
Il est devenu évident que certaines émissions ont commencé à déranger certaines parties algériennes qui ont décidé de faire taire pour un moment cette chaine TV française.
Une attaque qui prouve les atteintes des responsables algériens aux droits et libertés de la presse mais aussi, et c'est très grave, leurs accointances malfaisantes avec les terroristes de DAESH.
Les responsables algériens ne peuvent plus le nier, les faits sont là, les preuves sont réelles et irréfutables. Ces responsables algériens devront en répondre devant la justice française.
En effet, ils ne fait aucun doute pour les enquêteurs que l'attaque a été menée depuis un ordinateur basé à Alger avec l'assistance d'un second stationné, pour sa part, en Irak.
Les spécialistes en charge de l'enquête sont catégoriques et ont même donné le nom et le pseudo du pirate. Il s'agit de Najaf qui opère sous le code de John Dz.
Quant à celui qui se trouve en Irak, il opère sous le nom de Khattab.
Il est à noter que selon, les enquêteurs, les couleurs du drapeau algérien se trouvent sur chaque page de TV5 piratée et non celles de DAESH, à savoir le noir et blanc d'où de nombreuses interrogations qui seront très bientôt levées assure William Raymond, fondateur de breaking 3.0.
Il est devenu évident que certaines émissions ont commencé à déranger certaines parties algériennes qui ont décidé de faire taire pour un moment cette chaine TV française.
Une attaque qui prouve les atteintes des responsables algériens aux droits et libertés de la presse mais aussi, et c'est très grave, leurs accointances malfaisantes avec les terroristes de DAESH.
Les responsables algériens ne peuvent plus le nier, les faits sont là, les preuves sont réelles et irréfutables. Ces responsables algériens devront en répondre devant la justice française.