Le plus vieux métier du monde, la prostitution, est visible partout. A la présidence, dans les ministères, directions, commissariats, collèg...
Le plus vieux métier du monde, la prostitution, est visible partout. A la présidence, dans les ministères, directions, commissariats, collèges, lycées et universités, et même dans les campagnes, on trouve de ces femmes qui racolent et courtisent ouvertement des hommes pour un petit emploi ou une bonne note.
Les temps sont durs. Elles sont prêtes à tout pour assouvir les fantasmes de leurs partenaires dirigeants du pays en échange d'un futile poste d'assistante de direction. Nos sœurs, femmes, copines…ne font pas cela pour le plaisir charnel, ni d'ailleurs pour gagner quelques billets de banques sur-le-champ, mais dans la nécessité de trouver un boulot afin de faire face aux obligations familiales ou pour avoir un train de vie acceptable comme n'importe qui.
D'autres, et c'est le cas le plus alarmant, le font sous une pression de chantage.
Des directeurs de départements, des ministres, des commissaires…tous sans vergogne, n'hésitent pas à demander le corps d'une demandeuse d'emploi en échange d'un contrat de travail, CDI ou CDD. Conséquence de ce marché noir : beaucoup de filles négligent les études.
Les unes pensent que de toutes les façons elles ne seront pas acceptées par leurs justes valeur en matière de savoir, et les autres disent que quoique bardées de diplômes ou non, elles se trouveront facilement un boulot étant donné qu'elles soient prêtes à donner leur charme dès que Mr le Directeur ouvrira la bouche.
Quant aux collégiennes et lycéennes, le mal est grand. Des directeurs et des enseignants, sans oublier des membres de l'administration scolaires, tous ces responsables au moral dégradé n'hésitent pas à déflorer une mineure au besoin de celle-ci d'avoir facilement une bonne note. Certains utilisent le chantage comme arme de dissuasion, ils menacent l'élève de ne passer pas en classe supérieure avant de céder à leur fantasme.
Dans les universités, privées et publiques, l'affaire est grave aussi, très grave.
Là-bas, à l'Université de M'vouni, on donne une autre interprétation au sigle MST.
Au lieu de Maladie Sexuellement Transmissible, MST est traduit par ''Moyenne Sexuellement Transmissible''. Les temps sont durs, mes amis. Surtout quand on constate que la prostitution n'est pas seulement motivée par des intérêts pécuniaires.
Toufé Maecha
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Les temps sont durs. Elles sont prêtes à tout pour assouvir les fantasmes de leurs partenaires dirigeants du pays en échange d'un futile poste d'assistante de direction. Nos sœurs, femmes, copines…ne font pas cela pour le plaisir charnel, ni d'ailleurs pour gagner quelques billets de banques sur-le-champ, mais dans la nécessité de trouver un boulot afin de faire face aux obligations familiales ou pour avoir un train de vie acceptable comme n'importe qui.
D'autres, et c'est le cas le plus alarmant, le font sous une pression de chantage.
Des directeurs de départements, des ministres, des commissaires…tous sans vergogne, n'hésitent pas à demander le corps d'une demandeuse d'emploi en échange d'un contrat de travail, CDI ou CDD. Conséquence de ce marché noir : beaucoup de filles négligent les études.
Les unes pensent que de toutes les façons elles ne seront pas acceptées par leurs justes valeur en matière de savoir, et les autres disent que quoique bardées de diplômes ou non, elles se trouveront facilement un boulot étant donné qu'elles soient prêtes à donner leur charme dès que Mr le Directeur ouvrira la bouche.
Quant aux collégiennes et lycéennes, le mal est grand. Des directeurs et des enseignants, sans oublier des membres de l'administration scolaires, tous ces responsables au moral dégradé n'hésitent pas à déflorer une mineure au besoin de celle-ci d'avoir facilement une bonne note. Certains utilisent le chantage comme arme de dissuasion, ils menacent l'élève de ne passer pas en classe supérieure avant de céder à leur fantasme.
Dans les universités, privées et publiques, l'affaire est grave aussi, très grave.
Là-bas, à l'Université de M'vouni, on donne une autre interprétation au sigle MST.
Au lieu de Maladie Sexuellement Transmissible, MST est traduit par ''Moyenne Sexuellement Transmissible''. Les temps sont durs, mes amis. Surtout quand on constate que la prostitution n'est pas seulement motivée par des intérêts pécuniaires.
Toufé Maecha
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