Une terrible nouvelle vient de tomber dans téléscripteurs des hauts responsables algériens le 09 avril 2015 : le Secrétaire Général de l...
Une terrible nouvelle vient de tomber dans téléscripteurs des hauts responsables algériens le 09 avril 2015 : le Secrétaire Général de l'ONU, Monsieur Ban Ki Moon, vient de confirmer dans son rapport son ferme refus à tout élargissement du mandat de la MINURSO au contrôle des Droits de l'Homme.
Une décision qui constitue un véritable camouflet pour l'Union Africaine et les algéro-polisariens qui avaient mandaté, le mozambicain Joachim Chissano, un revenant d'outre-tombe et vieille relique de cette organisation dite pan-africaine.
Et pour assurer son total rejet d'un quelconque changement dans le mandat fixé à la MINURSO, Monsieur Ban Ki Moon, propose dans son projet, qui sera soumis au Conseil de Sécurité, l'ouverture à Rabat d'une représentation du Haut Commissariat au Droits de l'Homme afin d'accompagner les avancées du Maroc en matière de défense des Droits Humains et ce, sans remettre en question le principe de souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Par ailleurs, le Secrétaire Général de l'ONU souligne dans son rapportles "pas positifs" du Maroc en matière de respect des Droits de l'Homme dans ses provinces sahariennes ainsi que les "investissements publics considérables", notamment en matière d'infrastructures routières et portuaires, dont elles bénéficient, notant une situation "globalement calme" qui y prévaut et rappelant au passage les nombreuses visites effectuées dans cette région marocaines par des délégations de Parlements nationaux étrangers, de diplomates, d'institutions gouvernementales et non gouvernementales, ainsi que de journalistes et des chercheurs internationaux.
Enfin, le summum, la cerise sur le gâteau, Monsieur Ban Ki Moon vient de créer la surprise : il appelle, et c'est une première depuis que l'ONU est en charge du dossier du Sahara marocain, à l'organisation d'un recensement des populations des camps de Tindouf.
Il a fallu attendre près de 40 années pour que l'ONU prenne le courage d'exiger un recensement des populations séquestrées dans les camps de la honte de Tindouf. Un grand soulagement de ces marocains sahraouis qui peuvent aujourd'hui caresser l'espoir d'un prochain retour dans leur pays qu'est le Maroc.
Un recensement que les dirigeants algériens ont toujours refusé en affichant un total mépris aux multiples demandes du HCR alors qu'ils ont obligation légales, politiques et morales vis-à-vis des séquestrés sahraouis de faciliter l'exécution de ce recensement pour assurer la protection des sahraouis marocains qu'ils ont embastillés depuis 1975.
En conclusion, le rapport du Secrétaire Général de l'ONU sur le Sahara marocain qui a été transmis au Conseil de Sécurité est une formidable défaite pour les dirigeants algériens, les miliciens du polisario, l'Union Africain et les ONG's qui soutiennent la fantomatique RASD.
Allô Alger ! Pourquoi vous ne toussez plus ?
Une décision qui constitue un véritable camouflet pour l'Union Africaine et les algéro-polisariens qui avaient mandaté, le mozambicain Joachim Chissano, un revenant d'outre-tombe et vieille relique de cette organisation dite pan-africaine.
Et pour assurer son total rejet d'un quelconque changement dans le mandat fixé à la MINURSO, Monsieur Ban Ki Moon, propose dans son projet, qui sera soumis au Conseil de Sécurité, l'ouverture à Rabat d'une représentation du Haut Commissariat au Droits de l'Homme afin d'accompagner les avancées du Maroc en matière de défense des Droits Humains et ce, sans remettre en question le principe de souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Par ailleurs, le Secrétaire Général de l'ONU souligne dans son rapportles "pas positifs" du Maroc en matière de respect des Droits de l'Homme dans ses provinces sahariennes ainsi que les "investissements publics considérables", notamment en matière d'infrastructures routières et portuaires, dont elles bénéficient, notant une situation "globalement calme" qui y prévaut et rappelant au passage les nombreuses visites effectuées dans cette région marocaines par des délégations de Parlements nationaux étrangers, de diplomates, d'institutions gouvernementales et non gouvernementales, ainsi que de journalistes et des chercheurs internationaux.
Enfin, le summum, la cerise sur le gâteau, Monsieur Ban Ki Moon vient de créer la surprise : il appelle, et c'est une première depuis que l'ONU est en charge du dossier du Sahara marocain, à l'organisation d'un recensement des populations des camps de Tindouf.
Il a fallu attendre près de 40 années pour que l'ONU prenne le courage d'exiger un recensement des populations séquestrées dans les camps de la honte de Tindouf. Un grand soulagement de ces marocains sahraouis qui peuvent aujourd'hui caresser l'espoir d'un prochain retour dans leur pays qu'est le Maroc.
Un recensement que les dirigeants algériens ont toujours refusé en affichant un total mépris aux multiples demandes du HCR alors qu'ils ont obligation légales, politiques et morales vis-à-vis des séquestrés sahraouis de faciliter l'exécution de ce recensement pour assurer la protection des sahraouis marocains qu'ils ont embastillés depuis 1975.
En conclusion, le rapport du Secrétaire Général de l'ONU sur le Sahara marocain qui a été transmis au Conseil de Sécurité est une formidable défaite pour les dirigeants algériens, les miliciens du polisario, l'Union Africain et les ONG's qui soutiennent la fantomatique RASD.
Allô Alger ! Pourquoi vous ne toussez plus ?