Les élections couplées du dimanche 25 janvier dernier, l'électorat a choisi d'écrire un nouveau chapitre de l'histoire politiqu...
Les élections couplées du dimanche 25 janvier dernier, l'électorat a choisi d'écrire un nouveau chapitre de l'histoire politique du nouveau parti de l’ancien président Mohamed Abdallah Sambi. Le parti JUWA a remporté une éclatante victoire. Avec un député admis au premier tour à Moroni Nord, et 12 candidats au second tour, il a raflé les conseillés des Iles.
La consultation populaire du 25 janvier dernier a été marquée par une réussite du parti JUWA conduit par l’ancien président Mohamed Abdallah Sambi. Ce dernier est à leur première participation à une élection. Sur les 24 candidats que le Parti JUWA avait présentés, 12 sont au second tour. Un seul d’entre eux, a pu retrouver le chemin de l'Assemblée nationale dès le premier round. Il s'agit d’Ibrahim Papa secrétaire général du parti à Moroni. « Ces résultats nous l’avons eu tout d’abord par la confiance que les électeurs ont placé au parti et à son leader. Cette victoire est due par une campagne sereine, apaisé, courtoise, et un programme que nous avons défendu en une seule voie dans l’ensemble du territoire », a justifié Ibrahim Papa secrétaire général du parti. Ce nouveau parti qui vient de fêter son premier anniversaire quelques mois avant les élections a cartonné sa mise en raison de son influence avec ses 3000 adhérents détenteurs de cartes de membres et le millier de sympathisants au saint de la population.
La consultation populaire du 25 janvier dernier a été marquée par une réussite du parti JUWA conduit par l’ancien président Mohamed Abdallah Sambi. Ce dernier est à leur première participation à une élection. Sur les 24 candidats que le Parti JUWA avait présentés, 12 sont au second tour. Un seul d’entre eux, a pu retrouver le chemin de l'Assemblée nationale dès le premier round. Il s'agit d’Ibrahim Papa secrétaire général du parti à Moroni. « Ces résultats nous l’avons eu tout d’abord par la confiance que les électeurs ont placé au parti et à son leader. Cette victoire est due par une campagne sereine, apaisé, courtoise, et un programme que nous avons défendu en une seule voie dans l’ensemble du territoire », a justifié Ibrahim Papa secrétaire général du parti. Ce nouveau parti qui vient de fêter son premier anniversaire quelques mois avant les élections a cartonné sa mise en raison de son influence avec ses 3000 adhérents détenteurs de cartes de membres et le millier de sympathisants au saint de la population.
Les résultats provisoires publiés par la CENI ont dévoilé que le parti JUWA a devancé toutes les tendances politiques du pays. Avec ses 9 candidats au second tour dans les 9 circonscriptions d’Anjouan, le parti possède la majorité absolue dans le conseil de l’ile d’Anjouan avec 14 conseillé sur 19 représentants de l’ile. A Ngazidja, il totalise 2 candidats au second tour, un admis au premier tour plus celui du PEC son allié politique. Quant au conseil de l’ile, il est le plus campé en capitalisant 5 élus sur les 23 représentants. Avec son unique candidat au second tour à Mohéli, le parti JUWA a le un tiers du conseil de l’ile avec trois élus sur les 9 représentants de l’ile. JUWA termine bon en premier place sur la liste de 26 partis qui ont pris part à ces élections. « Nous remercions les électeurs qui ont placé notre parti au premier rend des force politique du pays », a-t-il ajouté. Du coup, Juwa se retrouve dans une situation favorable et pourrait être le parti dominant à l’assemblé pour n’est pas dire le parti majoritaire à l’assemblé. « Nous appelons encore une fois, tous les hommes pris de paix, de stabilité, du patriotisme, qui croient au développement de ce pais à nous rejoindre et à contribuer à notre victoire finale qui sera sans doute la victoire de tout le peuple comorien » a annoncé le SG du parti.
Concernant la victoire du secrétaire général du parti dès le premier tour, Ibrahim Papa déclare que sauf la magie qui peu sauver son adversaire. Selon lui, les contestations du candidat de l’orange ne renverseront pas l’écart de 32 pour cent. « Je pensais que l’ORANGE est un fruit qu’une fois tombé, reste à terre. Mais je me suis rendu compte que c’est une animal blessé à l’agonie qui gesticule », a-t-il rappelé.
Par Nakidine Hassane