En mon nom personnel et au nom du think tank "CEEC", je condamne avec la plus grande fermeté de tels actes de stigmatisation d...
En mon nom personnel et au nom du think tank "CEEC", je condamne avec la plus grande fermeté de tels actes de stigmatisation d'une catégorie de population et qui sont de nature à nuire à la cohésion sociale et nationale.
Moroni est la capitale des Comores et donc de tous les citoyens qui y vivent. Il est inacceptable de tolérer de tels actes de stigmatisation d'une frange de la population.
Au nom du think tank "CEEC", je demande l'ouverture d'une enquête aux plus hautes Autorités pour trouver les auteurs de tels actes inadmissibles. Chaque citoyen doit dire Non aux actes de racisme, de stigmatisation et de séparatisme.
Moroni est la capitale des Comores et donc de tous les citoyens qui y vivent. Il est inacceptable de tolérer de tels actes de stigmatisation d'une frange de la population.
Au nom du think tank "CEEC", je demande l'ouverture d'une enquête aux plus hautes Autorités pour trouver les auteurs de tels actes inadmissibles. Chaque citoyen doit dire Non aux actes de racisme, de stigmatisation et de séparatisme.
Que le Gouvernement prenne ses responsabilités et s'appuie au besoin sur les services de renseignements nationaux. La dénonciation par M. Said Mchangama est à son honneur. De tels actes ignominieux ne doivent pas être tolérés en aucune façon. On est tous Comoriens et Moroni, capitale des Comores est la ville de tous les citoyens qui y vivent sans distinction d'aucune sorte.
Darchari Mikidache, président du think tank "CEEC"
www.ceec-comores.com
Le geste de trop
Par Djounaid Djoubeir
Les tags ultra-communautaristes apparus ce matin sur les portes de certains comoriens originaires de l'île d’Anjouan, tout comme nous venons tous d'un coin du pays, est un avant coureur de lendemains incertains , obscurs, insultants et inacceptables. Difficile d'appréhender les motivations premières de ces ennemis de la nation dans la réalisation de ces salles besognes.
Au moment où le séparatisme continue de ramper sous des sables mouvants , on veut nous faire détourner les esprits et poser un autre problème inconnu de chez nous. Dans un pays où la citoyenneté d'une île n'existe point, il est ahurissant se découvrir de telles imbécillités si ce n'est pour créer le désordre dans l'espoir de gagner de brins de pouvoir; et encore? La mobilité d'un électorat dans une ville qui compte plus de 30 bureaux de vote constitue toujours un terreau pour la magouille et la corruption d'ailleurs entretenues par les mêmes groupes maladroitement politisés.
Les parrains d'hier se sentent aujourd’hui victimes et vice-versa.
Le ping-pong a accouché malheureusement d'un monstre Frankenstein.
La composition démographique de la ville de Moroni, malgré sa complexité liée seulement à la mobilité non maîtrisée de sa population , ne devrait pas nous ramener dans les bas fonds de je ne sais quel ostracisme. Les anjouanis, les mohéliens et les mahorais sont chez eux à Moroni, de surcroît , Capitale des Comores.
Ces actes sont tout simplement répréhensibles et l'Autorité judiciaire devrait se saisir d'elle même pour éradiquer ces bourgeons de la division et de la haine avant qu'il ne soit trop tard.
D'un autre angle, personne n'a le droit de crier "au secours" parce qu'il vient d'une région quand il se sent faible politiquement.
Les difficultés du Ministère de l’Intérieur et de la la Commission Nationale Électorale à élaborer une liste objective dans la Capitale sont le résultat de manœuvres de rachat de voix devenues monnaie courante dans le pays et singulièrement à Moroni où les électeurs volatiles et souvent manipulables ne se connaissent pas.
Par Djounaid Djoubeir