Je viens de faire un petit constat sur les causes et les facteurs qui maintiennent notre pays dans le sous développement, incapacité de go...
Je viens de faire un petit constat sur les causes et les facteurs qui maintiennent notre pays dans le sous développement, incapacité de gouvernance, la corruption, l' échec des projets qui visent à persécuter la pauvreté pour ne citer que cela et je me suis rendu compte qu'il y a une handicape liée à l' éducation de nous, les jeunes innocents de ce pays.
L' idée n’ est pas commune a toutes les autres qui sursautent par ci par là, dans les télévisions, la presse, débats etc. Il s`agit d`une inconscience de la part de nous les jeunes, des parents et enfin de l`Etat. Nombreux sont les élèves des l`école primaire qui n`ont pas une vision de leur futur vie, de ce qu`ils veulent être demain mais (non pas ce qu`ils veulent exercer demain) .J`estime par ailleurs que 40% des élèves comoriens ont déjà des filières biens précise à poursuivre après le BAC.
Les élèves qui ont travaillés durs et titulaires des mentions sont accordés de bourses qui, cependant sont indésirables du moment où ces derniers donnent accès à des études la plus part de fois différent de ce que le jeune élève comorien veut poursuivre. Faute de moyens, les élèves montent à bord et ne savent pas où est la destination du bateau. Combien des élèves comoriens se trouvent aujourd’hui incarcérés à plaindre de leurs sort parce qu' ils ne savent même pas ce qu' ils sont entrain d`étudier en université mais qui n`ont pas le choix car ils ont été privilégié d`une bourse d`étude ?
D`autres élèves faute de moyens sont victimes au pire : Poursuivre leurs études dans l`université des Comores, une université qui ne répond pas à tous les besoins des élèves. Une fois encore l`élève se trouve borner à des études comme sciences de la vie et de la terre, des soit- disant mathématiques, physiques ou encore l`IUT qui offre de l`informatique, quelques études sans bases ni vision mais des cours dispensés pour offrir des diplômes à la hâte.
Je ne suis pas la à réciter ce que nous connaissons déjà mais des enquêtes menées révèlent que 80% des élèves qui étudient à l`université des Comores font des études non planifiées, non souhaitées mais les font parcequ' ils n' ont pas d`autres choix. Une autre révèle que 70% qui étudient a l`extérieur sont confrontés à des disciplines non souhaitées, non visionnées mais qui par le vouloir de quitter le pays pour l`extérieur ont choisi des filières juste à la hâte. Ainsi, ces jeunes dans leurs études sont handicapés mentalement, ils parcourent des layons qui mènent juste à trouver un boulot pour répondre à des quelques besoins limités mais pas de plans valables pour une vie meilleure ni pour eux ni pour le pays.
Par conséquent, aucune institution marche correctement, les jeunes remplissent nos places publics, détournent les deniers du peuple, abusent des pouvoirs. A dire que les quelques ressortissants embauchés dans un travail ne sont pas à la hauteur de celui ci ou regrettent de ce qu`ils sont devenus au détriment de ce qu`ils devraient être. Les anglais disent « hobby is the best teacher ».
Avant une prise de conscience de ce problème, le pays aura à affronter des milliers de difficultés de placer des jeunes qui l`avenir est ternie, aura à donner naissance à des corrompus et des tyrans. Il est sure que si chaque élève comorien pourrait avoir la chance de réaliser son rêve en effectuant les études qu`il a souhaité, chacun serait responsable de son choix et serait à la hauteur des ses visions. Bref, L`État, les parents, et nous même les étudiants en sont responsables de ces turbulences et ce ci explique pourquoi nombreux préfèrent partir pour la France pour avoir un travail abominable au lieu de retourner partager ce qu`il est capable. Combien des Comoriens de retour au pays se plaignent de n`avoir pas eu la chance d`être ce qu`ils souhaitaient ?
BOINA BASSAM (Ressortissant comorien venant de Ngazidja, Mbeni, Hamahamet) étudient en 2ème année de Médecine en chine.
L' idée n’ est pas commune a toutes les autres qui sursautent par ci par là, dans les télévisions, la presse, débats etc. Il s`agit d`une inconscience de la part de nous les jeunes, des parents et enfin de l`Etat. Nombreux sont les élèves des l`école primaire qui n`ont pas une vision de leur futur vie, de ce qu`ils veulent être demain mais (non pas ce qu`ils veulent exercer demain) .J`estime par ailleurs que 40% des élèves comoriens ont déjà des filières biens précise à poursuivre après le BAC.
Les élèves qui ont travaillés durs et titulaires des mentions sont accordés de bourses qui, cependant sont indésirables du moment où ces derniers donnent accès à des études la plus part de fois différent de ce que le jeune élève comorien veut poursuivre. Faute de moyens, les élèves montent à bord et ne savent pas où est la destination du bateau. Combien des élèves comoriens se trouvent aujourd’hui incarcérés à plaindre de leurs sort parce qu' ils ne savent même pas ce qu' ils sont entrain d`étudier en université mais qui n`ont pas le choix car ils ont été privilégié d`une bourse d`étude ?
D`autres élèves faute de moyens sont victimes au pire : Poursuivre leurs études dans l`université des Comores, une université qui ne répond pas à tous les besoins des élèves. Une fois encore l`élève se trouve borner à des études comme sciences de la vie et de la terre, des soit- disant mathématiques, physiques ou encore l`IUT qui offre de l`informatique, quelques études sans bases ni vision mais des cours dispensés pour offrir des diplômes à la hâte.
Je ne suis pas la à réciter ce que nous connaissons déjà mais des enquêtes menées révèlent que 80% des élèves qui étudient à l`université des Comores font des études non planifiées, non souhaitées mais les font parcequ' ils n' ont pas d`autres choix. Une autre révèle que 70% qui étudient a l`extérieur sont confrontés à des disciplines non souhaitées, non visionnées mais qui par le vouloir de quitter le pays pour l`extérieur ont choisi des filières juste à la hâte. Ainsi, ces jeunes dans leurs études sont handicapés mentalement, ils parcourent des layons qui mènent juste à trouver un boulot pour répondre à des quelques besoins limités mais pas de plans valables pour une vie meilleure ni pour eux ni pour le pays.
Par conséquent, aucune institution marche correctement, les jeunes remplissent nos places publics, détournent les deniers du peuple, abusent des pouvoirs. A dire que les quelques ressortissants embauchés dans un travail ne sont pas à la hauteur de celui ci ou regrettent de ce qu`ils sont devenus au détriment de ce qu`ils devraient être. Les anglais disent « hobby is the best teacher ».
Avant une prise de conscience de ce problème, le pays aura à affronter des milliers de difficultés de placer des jeunes qui l`avenir est ternie, aura à donner naissance à des corrompus et des tyrans. Il est sure que si chaque élève comorien pourrait avoir la chance de réaliser son rêve en effectuant les études qu`il a souhaité, chacun serait responsable de son choix et serait à la hauteur des ses visions. Bref, L`État, les parents, et nous même les étudiants en sont responsables de ces turbulences et ce ci explique pourquoi nombreux préfèrent partir pour la France pour avoir un travail abominable au lieu de retourner partager ce qu`il est capable. Combien des Comoriens de retour au pays se plaignent de n`avoir pas eu la chance d`être ce qu`ils souhaitaient ?
BOINA BASSAM (Ressortissant comorien venant de Ngazidja, Mbeni, Hamahamet) étudient en 2ème année de Médecine en chine.