Objet : Fais attention à toi, de ne pas être trainé dans le mauvais camp, celui de l'élimination politique. Cher ami, maître FAH...
Objet : Fais attention à toi, de ne pas être trainé dans le mauvais camp, celui de l'élimination politique.
Sur le plan idéologique, Fahami étant un citoyen à la fois français et comorien, produit intellectuel de fabrication Française, c’est un démocrate croyant à l'alternance de pouvoir politique, à l’opposé d’ Ahmed Sambi, sans diplôme mais fabriqué par l'Iran à devenir sophiste après avoir échoué, chassé par l'Arabie Saoudite, il croit que l'éternité d’un régime au pouvoir, est un facteur de stabilisation ,d'ailleurs, motif pour lequel, il en veut beaucoup à Ikililou, estimant de n'assurer le relais qui devrait rassure son pouvoir. Force est de constater, Sambi ne supportera pas l'idée d'un changement de régime au sommet de l'Etat, alors que ce n'est pas le cas de Fahmi qui est profondément fan de l'alternance pour le sommet de l'Etat. Sur le plan d'éthique, Maitre Fahami est un juriste capable d'enseigner gratuitement pendant un moment à l'université des Comores, tandis-que Sambi est un faux cheikh religieux apte de parcourir le monde pour aller mendier de l'argent, pour s'enrichir lui-même et sa famille.
Cher Maitre Fahami.
En te trouvant dans les mains du diable politicien comorien, tu es dans le mauvais camp qui est celui de l'élimination politique. Donc, méfie-toi frère Fahami, car faire une allégeance à un homme comme celui-là, Ya en avaient beaucoup qui l'ont déjà fait, mais la fin, tout le monde le sait, a toujours tourné au drame, à la trahison et à la méchanceté. Je t'écrirai une autre correspondance ouverte qui te permettra à réfléchir toi-même avec ce que je te dis. Et cette lettre portera la liste de ce que les comoriens, appellent, les victimes politiques de AHA. Sur ce, je te souhaite une bonne lecture très méditée et une fraternelle compréhension.
TADJIDINE Saïd Mzé
Ex Président du Mouvement de Jeunes Pour le Développement des Comores et Membre du haut niveau pour la libération de l'Ile Comorienne d'Anjouan.
Cher ami, maître FAHAMI.
Alors que vous participez à l'élection législative de notre pays, un des enjeux démocratiques les plus importants pour les 5 ans à venir des Comores, je vous souhaite d'abord, bon courage et surtout une bonne chance. Et en même temps, dans ce contexte électoral mouvementé, permettez-moi de te rappeler une de tes fameuse phrase si cher, si ce ne peut-être pas, celle qui a déterminée votre engagement dans la politique depuis votre retour à Moroni.
Ceux qui connaissent le maitre, Fahami a souvent l'habitude de dire à ses amis en cas de divergence que: "La Fraternité passe d'abord, avant même la Politique".
L'analyse de cette maxime, si cela ne se relève pas d'un slogan trompeur, ça suppose pour son auteur qu'il placerait constamment d'avantage, l'intérêt de la fraternité humaine au-dessus de l'intérêt mathématico-politicien. Justement ayant constaté cela, beaucoup des jeunes comme moi, étaient aux avants gardes, derrière toi, participant notamment, en faveur de ta campagne au gouvernorat de Ngazidja. L’On a cru en vous, comme l'homme de notre espoir. Notre accointance et estime à ton égard, allait jusqu'au point de te dédier moi-même, une place d'honneur de promotion politique à la tribune officielle de ma célébration de mon grand mariage, m’y référant le statut social coutumier de grand notable, et ce, malgré petit que je suis à tous les niveaux. J’ai accepté de partager cet honneur avec toi Fahami Saïd Ibrahim, justement, en raison de la fraternité humaine que tu nous a autant enchantée chaque occasion qu'on se parlait au téléphone.
Cher ami Fahami.
Mais ayant la chance de te connaitre, je ne peux pas aujourd’hui, te voler ce mérite de fraternité, mais plutôt de vous dire que désormais, je ne partage plus votre ligne politique soumise au sambisme dangereux, soumission à laquelle, ne honore ni votre autorité morale, personnelle, intellectuelle et j'ajoute, politique. Grave encore que cette allégeance à ton nouveau mentor, n’est pas à même à la hauteur de conduire le pays vers la prospérité.
Mais au contraire, cet alignement, nous fait honte. Nous qui étions nombreux à te soutenir.
Nous sommes aujourd’hui, nombreux ayant été déçus au fond de leur cœur. Combien des fois, avec tête froide et cartésienne, on n'a dit que Sambi, c'est le mauvais pire dirigent que notre nation n'ait jamais connu. Combien des fois, Sambi nous a menti, trahi, méprise la jeunesse de notre pays. Combien des fois, Sambi divise au lieu d'unir, combien son discours incarne la haine et non jamais la sagesse rassembleuse avançant notre pays vers sa stabilité politique. Comment un homme si avisé comme toi, peut-il se soumettre à un volontarisme commandé dont la finalité, c'est d'assouvir l'égocentrisme de Sambi.
Cher Maitre Fahami. As-tu oublié que j'étais parmi ceux ayant applaudi le turban vert, participé même à ses premières réunions restreintes organisées chez les hôtels d'Assadillah d'Itsandra Mdjini. J'étais là, même quand pour la première fois, le choix de vice-président Idi Nadhoim lui ait été proposé. Je n'ai jamais cru en aucune seconde, que toi maitre Fahami que je connais, était aussi désespérant et assoiffé du pouvoir, jusqu’ à renier tes convictions personnelles et politiques. En réalité vous n'aimez pas Ahmed Abdallah Sambi.
En effet, vous ne pouvez pas le supportez et lui non plus. Vous n'avez rien en commun, raison pour laquelle, je ne veux pas que cher ami Fahami, pactise avec quelqu’un au nom du mensonge électoral. Car en faisant ainsi, tu trahis ton fameux slogan de campagne de "Faire la Politique Autrement". C'est vrai, vous en avez la même couleur de peau, mais cela n'est pas un critère devant permettre une alliance électorale. J’insiste, je persiste et signe, le suivisme de Fahami à la Politique d'Etat Sambiste mensongère, sera sans un lendemain. D'abord, Ahmed Abdallah Sambi et mon cher ami Fahami, n’ont ni la même éducation, ni la même philosophie politique.
AHA, c'est un chiite et la confession du chiisme autorise le mensonge tant que ça peut procurer de jouissance instantanée à la foule, par contre Fahami, étant juriste, sa profession, lui impose à ne pas mentir, car ça peut lui couter la prison.
Alors que vous participez à l'élection législative de notre pays, un des enjeux démocratiques les plus importants pour les 5 ans à venir des Comores, je vous souhaite d'abord, bon courage et surtout une bonne chance. Et en même temps, dans ce contexte électoral mouvementé, permettez-moi de te rappeler une de tes fameuse phrase si cher, si ce ne peut-être pas, celle qui a déterminée votre engagement dans la politique depuis votre retour à Moroni.
Ceux qui connaissent le maitre, Fahami a souvent l'habitude de dire à ses amis en cas de divergence que: "La Fraternité passe d'abord, avant même la Politique".
L'analyse de cette maxime, si cela ne se relève pas d'un slogan trompeur, ça suppose pour son auteur qu'il placerait constamment d'avantage, l'intérêt de la fraternité humaine au-dessus de l'intérêt mathématico-politicien. Justement ayant constaté cela, beaucoup des jeunes comme moi, étaient aux avants gardes, derrière toi, participant notamment, en faveur de ta campagne au gouvernorat de Ngazidja. L’On a cru en vous, comme l'homme de notre espoir. Notre accointance et estime à ton égard, allait jusqu'au point de te dédier moi-même, une place d'honneur de promotion politique à la tribune officielle de ma célébration de mon grand mariage, m’y référant le statut social coutumier de grand notable, et ce, malgré petit que je suis à tous les niveaux. J’ai accepté de partager cet honneur avec toi Fahami Saïd Ibrahim, justement, en raison de la fraternité humaine que tu nous a autant enchantée chaque occasion qu'on se parlait au téléphone.
Cher ami Fahami.
Mais ayant la chance de te connaitre, je ne peux pas aujourd’hui, te voler ce mérite de fraternité, mais plutôt de vous dire que désormais, je ne partage plus votre ligne politique soumise au sambisme dangereux, soumission à laquelle, ne honore ni votre autorité morale, personnelle, intellectuelle et j'ajoute, politique. Grave encore que cette allégeance à ton nouveau mentor, n’est pas à même à la hauteur de conduire le pays vers la prospérité.
Mais au contraire, cet alignement, nous fait honte. Nous qui étions nombreux à te soutenir.
Nous sommes aujourd’hui, nombreux ayant été déçus au fond de leur cœur. Combien des fois, avec tête froide et cartésienne, on n'a dit que Sambi, c'est le mauvais pire dirigent que notre nation n'ait jamais connu. Combien des fois, Sambi nous a menti, trahi, méprise la jeunesse de notre pays. Combien des fois, Sambi divise au lieu d'unir, combien son discours incarne la haine et non jamais la sagesse rassembleuse avançant notre pays vers sa stabilité politique. Comment un homme si avisé comme toi, peut-il se soumettre à un volontarisme commandé dont la finalité, c'est d'assouvir l'égocentrisme de Sambi.
Cher Maitre Fahami. As-tu oublié que j'étais parmi ceux ayant applaudi le turban vert, participé même à ses premières réunions restreintes organisées chez les hôtels d'Assadillah d'Itsandra Mdjini. J'étais là, même quand pour la première fois, le choix de vice-président Idi Nadhoim lui ait été proposé. Je n'ai jamais cru en aucune seconde, que toi maitre Fahami que je connais, était aussi désespérant et assoiffé du pouvoir, jusqu’ à renier tes convictions personnelles et politiques. En réalité vous n'aimez pas Ahmed Abdallah Sambi.
En effet, vous ne pouvez pas le supportez et lui non plus. Vous n'avez rien en commun, raison pour laquelle, je ne veux pas que cher ami Fahami, pactise avec quelqu’un au nom du mensonge électoral. Car en faisant ainsi, tu trahis ton fameux slogan de campagne de "Faire la Politique Autrement". C'est vrai, vous en avez la même couleur de peau, mais cela n'est pas un critère devant permettre une alliance électorale. J’insiste, je persiste et signe, le suivisme de Fahami à la Politique d'Etat Sambiste mensongère, sera sans un lendemain. D'abord, Ahmed Abdallah Sambi et mon cher ami Fahami, n’ont ni la même éducation, ni la même philosophie politique.
AHA, c'est un chiite et la confession du chiisme autorise le mensonge tant que ça peut procurer de jouissance instantanée à la foule, par contre Fahami, étant juriste, sa profession, lui impose à ne pas mentir, car ça peut lui couter la prison.
Sur le plan idéologique, Fahami étant un citoyen à la fois français et comorien, produit intellectuel de fabrication Française, c’est un démocrate croyant à l'alternance de pouvoir politique, à l’opposé d’ Ahmed Sambi, sans diplôme mais fabriqué par l'Iran à devenir sophiste après avoir échoué, chassé par l'Arabie Saoudite, il croit que l'éternité d’un régime au pouvoir, est un facteur de stabilisation ,d'ailleurs, motif pour lequel, il en veut beaucoup à Ikililou, estimant de n'assurer le relais qui devrait rassure son pouvoir. Force est de constater, Sambi ne supportera pas l'idée d'un changement de régime au sommet de l'Etat, alors que ce n'est pas le cas de Fahmi qui est profondément fan de l'alternance pour le sommet de l'Etat. Sur le plan d'éthique, Maitre Fahami est un juriste capable d'enseigner gratuitement pendant un moment à l'université des Comores, tandis-que Sambi est un faux cheikh religieux apte de parcourir le monde pour aller mendier de l'argent, pour s'enrichir lui-même et sa famille.
Cher Maitre Fahami.
En te trouvant dans les mains du diable politicien comorien, tu es dans le mauvais camp qui est celui de l'élimination politique. Donc, méfie-toi frère Fahami, car faire une allégeance à un homme comme celui-là, Ya en avaient beaucoup qui l'ont déjà fait, mais la fin, tout le monde le sait, a toujours tourné au drame, à la trahison et à la méchanceté. Je t'écrirai une autre correspondance ouverte qui te permettra à réfléchir toi-même avec ce que je te dis. Et cette lettre portera la liste de ce que les comoriens, appellent, les victimes politiques de AHA. Sur ce, je te souhaite une bonne lecture très méditée et une fraternelle compréhension.
TADJIDINE Saïd Mzé
Ex Président du Mouvement de Jeunes Pour le Développement des Comores et Membre du haut niveau pour la libération de l'Ile Comorienne d'Anjouan.