S'il est encore difficile de prédire les résultats des élections du 25 janvier prochain, il fait peu de doutes que des partis politique...
S'il est encore difficile de prédire les résultats des élections du 25 janvier prochain, il fait peu de doutes que des partis politiques battent campagne avec l'intention de faire oublier leur bilan, et n'admet pas que sa majorité se vaporiser. Plusieurs enquêtes les situant autour de 20% d'intentions de vote. C'est là toute l'énigme qui plane encore les Comores, où la population va voter les représentants du peuple le 25 janvier prochain dans le 23 circonscriptions pour renouveler les 33 députés de l'assemblée nationale. Un vote crucial qui dessinera les Comores de demain.
Un véritable test pour les pouvoirs en place.
De le départ, le parti au pouvoir, c'est-à-dire l'UPDC n'est pas en mesure de gagner la majorité des sièges de l'hémicycle et avait dû s'allier avec des partir de l'opposition et certains partis de la mouvance présidentielle pour former un bloque capable d'obtenir la majorité et de soutenir l'action du chef de l'Etat. Mais ce bloque risque de n'est pas trouver écho dans ces élections. Puisque depuis trois ans que le président IKILILOU est aux affaire, les promesses électorales et son slogan de campagne « le relais qui rassure » semblent être un souvenir. Les rênes du pouvoir sont confiées à un gouvernement de soit disant des technocrates apolitiques, mettant fin à une période d'entente des partis de la mouvance présidentielle. Depuis là, le relais ne rassure plus. Ce qui le relègue derrière les nouveaux partis comme celui de l'ancien président SAMBI qui semble être parmi le favori des ses échéances. Cette formation, qui regroupe plusieurs anciens cadres sambistes, met l'accent sur la relance de l'économie, l'emploi des jeunes et les préservations des libertés, notamment politiques et religieuses. Reste à voir si les comoriens seront prêtes à s'allier avec ce parti encore jeune, créé en 2013, avec des gents qui ont gouverné le pays durant 5 ans et difficile à les situer sur l'échiquier économique.
Un véritable test pour les pouvoirs en place.
De le départ, le parti au pouvoir, c'est-à-dire l'UPDC n'est pas en mesure de gagner la majorité des sièges de l'hémicycle et avait dû s'allier avec des partir de l'opposition et certains partis de la mouvance présidentielle pour former un bloque capable d'obtenir la majorité et de soutenir l'action du chef de l'Etat. Mais ce bloque risque de n'est pas trouver écho dans ces élections. Puisque depuis trois ans que le président IKILILOU est aux affaire, les promesses électorales et son slogan de campagne « le relais qui rassure » semblent être un souvenir. Les rênes du pouvoir sont confiées à un gouvernement de soit disant des technocrates apolitiques, mettant fin à une période d'entente des partis de la mouvance présidentielle. Depuis là, le relais ne rassure plus. Ce qui le relègue derrière les nouveaux partis comme celui de l'ancien président SAMBI qui semble être parmi le favori des ses échéances. Cette formation, qui regroupe plusieurs anciens cadres sambistes, met l'accent sur la relance de l'économie, l'emploi des jeunes et les préservations des libertés, notamment politiques et religieuses. Reste à voir si les comoriens seront prêtes à s'allier avec ce parti encore jeune, créé en 2013, avec des gents qui ont gouverné le pays durant 5 ans et difficile à les situer sur l'échiquier économique.
Au centre-gauche, les gouverneurs des iles qui sont sur une dynamique de ralliement avec le président de la république depuis trois ans, et qui tenteront d'amplifier cette dynamique et de faire mieux que lui en optant à une guerre ouverte au premier tour pour que chacun défende son parti. Chaque gouverneur cherche sa survie d'abord car les enjeux des ces élections ont une importance notable puisqu'elles devraient régir la viabilité des partis politique les années à venir. Les gouverneurs des iles se trouvent donc à la fois obliger de lutter avec le parti du président de la république, mais aussi plus limité pour n'est pas biaisé leur attente. L'enjeu de ces élections surtout pour le présidentielle de 2016 a aussi une importance non négligeable, puisque le président de la république possède le droit de dissolution du parlement. Ce qui déploie que c'est la majorité parlementaire qui déterminera le futur président de la république.
Quel projet économique pour les Comores ?
L'économie occupe une place importante dans les débats des ces élections. Alors que le Comores sont placés parmi le 48 pays le moins avancé, on a eu un effet extrêmement négatif sur une économie en grande partie dépendante de l'extérieur. Le chômage est brusquement passé, selon les statistiques de 50 à 75 % surtout de la jeunesse. On constate surtout chez les partis qui ont déjà gouvernés notamment la CRC et le Parti JUWA, la même préoccupation économique, avec de nombreuses propositions en faveur de l'économie, de la protection de l'environnement et du renforcement du service public, tandis qu'ils privilégié à leur mandant au pouvoir la promotion de la corruption et l'évasion fiscale. Enfin, pour la première fois, le chômage de jeunes intéresse personne, est aussi mise en avant, avec tout un programme magique que personne n'est en mesure de développer.
De son côté, l'opposition insiste sur le développement de la démocratie comme profession de foi, mais c'est surtout le volet social qui est imposé, avec la défense du service public. Le parti au pouvoir l'UPDC a pour sa part dévoilé ses mesures phares pour les Comores en se basant sur l'ouverture de la société de pêches qui va recruter plus de 1000 employés et faire une croissance économique ambitieuse du pays dans les années à venir, et se félicite de la réussite de ses trois années au pouvoir que les comoriens vivent sans l'eau ni électricité ni route avec un pouvoir d'achat criés. A gauche, l'économie reste au cœur des débats. Le parti JUWA a parmi leurs priorités la relance du tourisme avec une politique libérale. Dans ses propositions, SAMBI prône des réformes structurelles et un traitement de choc couplé à un bon climat des affaires.
Quel projet économique pour les Comores ?
L'économie occupe une place importante dans les débats des ces élections. Alors que le Comores sont placés parmi le 48 pays le moins avancé, on a eu un effet extrêmement négatif sur une économie en grande partie dépendante de l'extérieur. Le chômage est brusquement passé, selon les statistiques de 50 à 75 % surtout de la jeunesse. On constate surtout chez les partis qui ont déjà gouvernés notamment la CRC et le Parti JUWA, la même préoccupation économique, avec de nombreuses propositions en faveur de l'économie, de la protection de l'environnement et du renforcement du service public, tandis qu'ils privilégié à leur mandant au pouvoir la promotion de la corruption et l'évasion fiscale. Enfin, pour la première fois, le chômage de jeunes intéresse personne, est aussi mise en avant, avec tout un programme magique que personne n'est en mesure de développer.
De son côté, l'opposition insiste sur le développement de la démocratie comme profession de foi, mais c'est surtout le volet social qui est imposé, avec la défense du service public. Le parti au pouvoir l'UPDC a pour sa part dévoilé ses mesures phares pour les Comores en se basant sur l'ouverture de la société de pêches qui va recruter plus de 1000 employés et faire une croissance économique ambitieuse du pays dans les années à venir, et se félicite de la réussite de ses trois années au pouvoir que les comoriens vivent sans l'eau ni électricité ni route avec un pouvoir d'achat criés. A gauche, l'économie reste au cœur des débats. Le parti JUWA a parmi leurs priorités la relance du tourisme avec une politique libérale. Dans ses propositions, SAMBI prône des réformes structurelles et un traitement de choc couplé à un bon climat des affaires.
Voilà donc autant de défi décisif que devra relever les futurs élus dont leur mission sera des voter de lois et des proposer des projets de lois, ils donnent des promesses qui devront relancer l'économie et garantir la stabilité en respectant la démocratie. Verdict le week-end prochain.