S’il est une qualité du président A.A.M.Sambi à valoriser plus que d’autres, c’est sa réactivité ! La classe politique et la communauté in...
S’il est une qualité du président A.A.M.Sambi à valoriser plus que d’autres, c’est sa réactivité ! La classe politique et la communauté internationale ont étalé durant près de dix ans leur impuissance face au problème de la rébellion anjouanaise et à la dérive indépendantiste de l’île. Le président A.A.M.Sambi analyse la situation, tire les leçons et réajuste le tir et en moins de deux ans, il réussit là où les autres se sont résignés à une fausse fatalité. On a même vu des gens qui avaient un destin national se mettre au pas d’un petit bandit…
Des exemples comme celui-ci sont légion. Mais celui qui mérite d’être souligné avec force, c’est la réponse qu’A.A.M.SAMBI est entrain d’apporter à la félonie et à l’opportunisme politique à l’image d’Ikililou, de Nourdine Bourhane et de Mamadou qui se déploient souvent au détriment des attentes des comoriens aspirant au décollage socio-économique…
Oui les comoriens en ont assez de ce jeu qui ne permet pas au pays de se lancer dans la bataille contre le sous-développement ! Ils ont confiance au président A.A.M.Sambi dans leur grande majorité, mais dans le même, ils s’interrogent sur l’opportunité de celui-ci à trouver des gens sûrs, des gens de principes pour l’accompagner efficacement dans cette entreprise difficile. Anisse clame à l’envi qu’il est l’ami du président A.A.M.Sambi , mais pour les comoriens, en particulier les anjouanais, il a toujours fait partie de ces gens qui n’inspirent pas confiance.
Un mélange de genre terrible !
L’idée du président A.A.M.Sambi de créer un parti est donc une preuve de réactivité par rapport à un problème réel. Une réponse que nous applaudissons ! Le président A.A.M.SAMBI a dit : « Nous allons apprendre à nous connaître dans le cadre du parti : il faut savoir à qui on confie des responsabilités. Par le passé, nous avons été abusés en nous fiant au seul fait du curriculum vitae ». Que c’est encore une fois formidable et promoteur de reconnaître un problème, d’analyser sa source et d’agir en conséquence ! L’esprit du parti tel qu’il est conçu est donc un filet anti-sous marin ; les requins passeront difficilement. Avec la démocratie participative et la voix donnée aux militants, la bête noire du petit potentat du nord, le président A.A.M.SAMBI tire les leçons des erreurs passées et s’entoure de garde-fous nécessaires pour faire reculer la félonie, l’opportunisme politique et promouvoir l’esprit de mérite.
En dépit du séisme politique engendré par le comportement d’Anisse dont l’onde de choc n’ira pas loin à condition de savoir refermer vite ce chapitre qui n’en est pas un, nous sommes dans la bonne voie. Le requin est pris dans le filet ! Et le requin ici n’est pas n’importe qui. Un Nourdine Bourhane, un Mamadou ou un Ikililou facile à identifier maintenant. Mais de celui-ci qui sait prendre toutes nos couleurs à la perfection jusqu’à inviter Ikililou Dhoinine à participer à la direction du parti JUWA qui combat l’orientation politique de celui-ci. Mais de celui-ci qui s’est accaparé à 80% du bureau politique du JUWA à Anjouan en y plaçant ceux qui oeuvrent activement au retour des séparatistes aujourd’hui. Mais du petit, du prétentieux potentat du nord avec une morgue qui lui sied mal, car on se demande d’où vient tout cela.
Suffit-il de se parer des atours du parti JUWA pour défier les militants, les mépriser à la faveur de la fourberie ? Le petit potentat a tout faux sur la ligne et il n’a pas l’intelligence de se méfier du nouveau dispositif anti sous-marin.
Et les militants racontent, et la personnalité de l’homme s’éclaire mieux. Ce garçon a une philosophie. Ecraser les autres pour se frayer un chemin. Le président A.A.M.Sambi ne pouvait attendre sauf preuve du contraire un retour de ce qu’il avait investi en lui, pas plus que le parti ne pouvait attendre fidélité et investissement de sa part.
Les militants racontent que pour se hisser coordinateur, il a su jouer de la langue de vipère contre un frère auprès de Mr.Antoy alors puissant secrétaire général qu’il récompensera contre vents et marées d’une nomination à la Cour constitutionnelle. Les militants constatent en effet que ce rejeton politique de Mjamaé qu’il récompense de la nomination d’un certain Housni, le docteur en je ne sais quoi allait soutenir Mohamed Djaffar contre le candidat d’A.A.M.Sambi aux élections de gouverneur de 2008 à Anjouan. Mais finalement il soutiendra le candidat Moussa Toyb contre son ami Mohamed Djaffar.
Le gars n’a pas de direction. C’est l’incarnation de la schyzophrénie parfaite : Il se dit unioniste mais il est entouré de séparatistes : Dhulkamal connu pour ses positions confédérales sur les Comores et sa proximité avec les milieux séparatistes durs. Housni, fils de Mjamaé qui attend organiser un procès contre A.A.M.Sambi pour avoir organisé le débarquement sur l’île d’Anjouan et avoir agressé celle-ci. Abdallah Mohamed, connu pour ses positions séparatistes… La liste serait longue. Allez voir dans la cohorte des conseillers obscurs d’Anisse, les séparatistes qui grouillent !
Le 15 mars 2014, il donne une conférence à Moroni, entouré de Dhul et de Housni pour un retour des séparatistes. A l’époque l’actualité aux Comores se résumait au débat entre les mjamaéistes et les Djafaristes. Il a fallu qu’A.A.M.SAMBI monte au créneau le 25 mars 2014, jour commémoration du débarquement pour clore ou repousser le débat insipide et inutile que nous imposait l’intelligence du petit potentat du nord en reprécisant la position des militants : La justice passe, on reconnaît sa faute, puis on pardonne.
Le petit potentat du nord ne connait rien en politique que la course et la conservation du pouvoir. Fuite en avant ou réel engagement en faveur du retour à la case séparatiste ? L’histoire le dira ! Une chose est sûre. Il flirte depuis un moment avec les séparatistes et dimanche dernier, il reçoit en grande pompe et à coups de publicité relayée par la propagande pro-bacariste sur facebbok des séparatistes à Dar Nadja. Il leur aurait même assuré qu’il travaille depuis un moment pour le retour de Bacaristes. RIEN D’ETONNANT.
Mais le petit potentat ne sait pas que Bacar ne peut plus fouetter les gens. Que ce soir Bacar ou lui, c’est le peuple qui va trancher… Il est perdu notre ami Anisse ! Il court, il court ! il court dans tous les sens. Visiblement la sérénité commence à être une denrée rare pour lui. Où va-t-il finir sa course. A.A.M a récemment dit que nous aurons à faire de mauvaises imprécations à ceux qui veulent tricher avec le JUWA. Et que si on n’est pas en phase avec le parti, on peut juste le quitter. Ce jour-là Anisse aurait même dit : on peut quitter le JUWA et ne pas être inquiété dans son poste de travail (sic). C’était vers la fin du mois de ramadan dernier loin d’une réunion de clarification! Mais au vu de ce qui se passe aujourd’hui, il avait caché ses vraies intentions. Il voulait dire sans doute : je virerai ceux qui sont fidèles au parti JUWA. Anisse, DOUA YA DJAM IMOUSSIKI. Pourtant comme bon musulman, il aurait pu se méfier des DOUA. Nous avons toutes les raisons d’être satisfaits ! Il vaut mieux maintenant que plus tard…
BOURHANE Ahmed
Des exemples comme celui-ci sont légion. Mais celui qui mérite d’être souligné avec force, c’est la réponse qu’A.A.M.SAMBI est entrain d’apporter à la félonie et à l’opportunisme politique à l’image d’Ikililou, de Nourdine Bourhane et de Mamadou qui se déploient souvent au détriment des attentes des comoriens aspirant au décollage socio-économique…
Oui les comoriens en ont assez de ce jeu qui ne permet pas au pays de se lancer dans la bataille contre le sous-développement ! Ils ont confiance au président A.A.M.Sambi dans leur grande majorité, mais dans le même, ils s’interrogent sur l’opportunité de celui-ci à trouver des gens sûrs, des gens de principes pour l’accompagner efficacement dans cette entreprise difficile. Anisse clame à l’envi qu’il est l’ami du président A.A.M.Sambi , mais pour les comoriens, en particulier les anjouanais, il a toujours fait partie de ces gens qui n’inspirent pas confiance.
Un mélange de genre terrible !
L’idée du président A.A.M.Sambi de créer un parti est donc une preuve de réactivité par rapport à un problème réel. Une réponse que nous applaudissons ! Le président A.A.M.SAMBI a dit : « Nous allons apprendre à nous connaître dans le cadre du parti : il faut savoir à qui on confie des responsabilités. Par le passé, nous avons été abusés en nous fiant au seul fait du curriculum vitae ». Que c’est encore une fois formidable et promoteur de reconnaître un problème, d’analyser sa source et d’agir en conséquence ! L’esprit du parti tel qu’il est conçu est donc un filet anti-sous marin ; les requins passeront difficilement. Avec la démocratie participative et la voix donnée aux militants, la bête noire du petit potentat du nord, le président A.A.M.SAMBI tire les leçons des erreurs passées et s’entoure de garde-fous nécessaires pour faire reculer la félonie, l’opportunisme politique et promouvoir l’esprit de mérite.
En dépit du séisme politique engendré par le comportement d’Anisse dont l’onde de choc n’ira pas loin à condition de savoir refermer vite ce chapitre qui n’en est pas un, nous sommes dans la bonne voie. Le requin est pris dans le filet ! Et le requin ici n’est pas n’importe qui. Un Nourdine Bourhane, un Mamadou ou un Ikililou facile à identifier maintenant. Mais de celui-ci qui sait prendre toutes nos couleurs à la perfection jusqu’à inviter Ikililou Dhoinine à participer à la direction du parti JUWA qui combat l’orientation politique de celui-ci. Mais de celui-ci qui s’est accaparé à 80% du bureau politique du JUWA à Anjouan en y plaçant ceux qui oeuvrent activement au retour des séparatistes aujourd’hui. Mais du petit, du prétentieux potentat du nord avec une morgue qui lui sied mal, car on se demande d’où vient tout cela.
Suffit-il de se parer des atours du parti JUWA pour défier les militants, les mépriser à la faveur de la fourberie ? Le petit potentat a tout faux sur la ligne et il n’a pas l’intelligence de se méfier du nouveau dispositif anti sous-marin.
Et les militants racontent, et la personnalité de l’homme s’éclaire mieux. Ce garçon a une philosophie. Ecraser les autres pour se frayer un chemin. Le président A.A.M.Sambi ne pouvait attendre sauf preuve du contraire un retour de ce qu’il avait investi en lui, pas plus que le parti ne pouvait attendre fidélité et investissement de sa part.
Les militants racontent que pour se hisser coordinateur, il a su jouer de la langue de vipère contre un frère auprès de Mr.Antoy alors puissant secrétaire général qu’il récompensera contre vents et marées d’une nomination à la Cour constitutionnelle. Les militants constatent en effet que ce rejeton politique de Mjamaé qu’il récompense de la nomination d’un certain Housni, le docteur en je ne sais quoi allait soutenir Mohamed Djaffar contre le candidat d’A.A.M.Sambi aux élections de gouverneur de 2008 à Anjouan. Mais finalement il soutiendra le candidat Moussa Toyb contre son ami Mohamed Djaffar.
Le gars n’a pas de direction. C’est l’incarnation de la schyzophrénie parfaite : Il se dit unioniste mais il est entouré de séparatistes : Dhulkamal connu pour ses positions confédérales sur les Comores et sa proximité avec les milieux séparatistes durs. Housni, fils de Mjamaé qui attend organiser un procès contre A.A.M.Sambi pour avoir organisé le débarquement sur l’île d’Anjouan et avoir agressé celle-ci. Abdallah Mohamed, connu pour ses positions séparatistes… La liste serait longue. Allez voir dans la cohorte des conseillers obscurs d’Anisse, les séparatistes qui grouillent !
Le 15 mars 2014, il donne une conférence à Moroni, entouré de Dhul et de Housni pour un retour des séparatistes. A l’époque l’actualité aux Comores se résumait au débat entre les mjamaéistes et les Djafaristes. Il a fallu qu’A.A.M.SAMBI monte au créneau le 25 mars 2014, jour commémoration du débarquement pour clore ou repousser le débat insipide et inutile que nous imposait l’intelligence du petit potentat du nord en reprécisant la position des militants : La justice passe, on reconnaît sa faute, puis on pardonne.
Le petit potentat du nord ne connait rien en politique que la course et la conservation du pouvoir. Fuite en avant ou réel engagement en faveur du retour à la case séparatiste ? L’histoire le dira ! Une chose est sûre. Il flirte depuis un moment avec les séparatistes et dimanche dernier, il reçoit en grande pompe et à coups de publicité relayée par la propagande pro-bacariste sur facebbok des séparatistes à Dar Nadja. Il leur aurait même assuré qu’il travaille depuis un moment pour le retour de Bacaristes. RIEN D’ETONNANT.
Sambi inaugure le siège de son nouveau parti JUWA -2013 |
Mais le petit potentat ne sait pas que Bacar ne peut plus fouetter les gens. Que ce soir Bacar ou lui, c’est le peuple qui va trancher… Il est perdu notre ami Anisse ! Il court, il court ! il court dans tous les sens. Visiblement la sérénité commence à être une denrée rare pour lui. Où va-t-il finir sa course. A.A.M a récemment dit que nous aurons à faire de mauvaises imprécations à ceux qui veulent tricher avec le JUWA. Et que si on n’est pas en phase avec le parti, on peut juste le quitter. Ce jour-là Anisse aurait même dit : on peut quitter le JUWA et ne pas être inquiété dans son poste de travail (sic). C’était vers la fin du mois de ramadan dernier loin d’une réunion de clarification! Mais au vu de ce qui se passe aujourd’hui, il avait caché ses vraies intentions. Il voulait dire sans doute : je virerai ceux qui sont fidèles au parti JUWA. Anisse, DOUA YA DJAM IMOUSSIKI. Pourtant comme bon musulman, il aurait pu se méfier des DOUA. Nous avons toutes les raisons d’être satisfaits ! Il vaut mieux maintenant que plus tard…
BOURHANE Ahmed