Maître Fahmi annonce à son tour la fusion «Djuwa-Pec». a-t-il vraiment d'autre choix ? Les militants, sympathisants et adhérents du P...
Maître Fahmi annonce à son tour la fusion «Djuwa-Pec». a-t-il vraiment d'autre choix ? Les militants, sympathisants et adhérents du Pec vont accepté cette mort tragique de leur parti ?
On le disait, il y avait de la musique dans le bouillonnement du ruisseau : Quand le «Pec» de Fahmi Said Ibrahim et le «Djuwa» d'Ahmed Sambi, fusionnaient (les leaders), à Epinay sur seine en région parisienne le 11 janvier 2014, avant de fusionner les idées des deux partis, ou simplement avant d’avertir les militants, les adhérents et les sympathisants : ça faisait danser pour les uns, ça faisait étonner pour les autres, et ça reste tout simplement l'étourderie du leader Fahmi, au regards des passionnés.
Ce serait se tromper que de voir dans le congrès du 11 janvier 2014, à Epinay sur seine en région parisienne, une alliance entre deux partis politiques "Pec et Djuwa" qui seraient appeler à négocier sur des idées et des programmes. D'ailleurs, nous sommes surpris de constater qu'il a fallu 11 mois au Leader du Pec, pour comprendre enfin que sa démarche entamée en Janvier 2014 avec Ahmed Sambi et le parti Djuwa, était une démarche fusionnelle et non une démarche d'alliance entre deux partis. Pourtant, quand nous avons eu le courage de dire à Maître Fahmi qu'il va vers une fusion mortelle de son parti, il nous disait que nous n'avons aucun sens de l'analyse. Aujourd'hui, non seulement il nous annonce à son tour la fusion «Djuwa-Pec», mais aussi il ne peut que constater que son parti n'a aucune possibilité d'exister légalement.
Désormais, entre Djuwa et Pec, tout se passera comme si le "Pec" n'avait pas de valeur en soi et ne pourra exister que comme un simple élément du parti Djuwa. En janvier 2014, le citoyen Mrimdu disait à Maître Fahmi que sa démarche fusionnelle avec le Djuwa serra inévitablement mortelle pour le parti Pec. En commentaire, Maître Fahmi a réagit d'une manière très arrogante, en disant que Mrimdu se trompe dans toute la ligne. Le résultat est là, et Maître Fahmi ne peut que constater.
Aujourd'hui encore, j'ai le regret d'annoncer à Maître Fahmi que son parti est tombé totalement dans une dépendance systématique, il dépend systématiquement du parti Djuwa. à ce stade, la fusion que Fahmi nous annonce n'est pas synonyme d'alliance, mais d'une disparition pure et simple du parti Pec. Oui, c'est une fusion qui n'a autre sens que de confirmer d'identité du parti Djuwa.
Il ne s'agit pas pour le Pec, d'une possibilité d'alliance avec Djuwa, qui aurait comme conséquence, la possibilité d'affirmer le Pec et donc de faire face ou contre tout ce qui ne serait pas conforme à ses idées et visions politiques, non et non. Il s'agit au contraire d'affirmer l'identité du parti Djuwa et la disparition du parti Pec. Alors oui, citoyens comoriens, dommage mais, il était une fois aux Comores, un parti politique s'appelait "Pec" de Fahmi Said Ibrahim !
Mrimdu
On le disait, il y avait de la musique dans le bouillonnement du ruisseau : Quand le «Pec» de Fahmi Said Ibrahim et le «Djuwa» d'Ahmed Sambi, fusionnaient (les leaders), à Epinay sur seine en région parisienne le 11 janvier 2014, avant de fusionner les idées des deux partis, ou simplement avant d’avertir les militants, les adhérents et les sympathisants : ça faisait danser pour les uns, ça faisait étonner pour les autres, et ça reste tout simplement l'étourderie du leader Fahmi, au regards des passionnés.
Ce serait se tromper que de voir dans le congrès du 11 janvier 2014, à Epinay sur seine en région parisienne, une alliance entre deux partis politiques "Pec et Djuwa" qui seraient appeler à négocier sur des idées et des programmes. D'ailleurs, nous sommes surpris de constater qu'il a fallu 11 mois au Leader du Pec, pour comprendre enfin que sa démarche entamée en Janvier 2014 avec Ahmed Sambi et le parti Djuwa, était une démarche fusionnelle et non une démarche d'alliance entre deux partis. Pourtant, quand nous avons eu le courage de dire à Maître Fahmi qu'il va vers une fusion mortelle de son parti, il nous disait que nous n'avons aucun sens de l'analyse. Aujourd'hui, non seulement il nous annonce à son tour la fusion «Djuwa-Pec», mais aussi il ne peut que constater que son parti n'a aucune possibilité d'exister légalement.
Désormais, entre Djuwa et Pec, tout se passera comme si le "Pec" n'avait pas de valeur en soi et ne pourra exister que comme un simple élément du parti Djuwa. En janvier 2014, le citoyen Mrimdu disait à Maître Fahmi que sa démarche fusionnelle avec le Djuwa serra inévitablement mortelle pour le parti Pec. En commentaire, Maître Fahmi a réagit d'une manière très arrogante, en disant que Mrimdu se trompe dans toute la ligne. Le résultat est là, et Maître Fahmi ne peut que constater.
Aujourd'hui encore, j'ai le regret d'annoncer à Maître Fahmi que son parti est tombé totalement dans une dépendance systématique, il dépend systématiquement du parti Djuwa. à ce stade, la fusion que Fahmi nous annonce n'est pas synonyme d'alliance, mais d'une disparition pure et simple du parti Pec. Oui, c'est une fusion qui n'a autre sens que de confirmer d'identité du parti Djuwa.
Il ne s'agit pas pour le Pec, d'une possibilité d'alliance avec Djuwa, qui aurait comme conséquence, la possibilité d'affirmer le Pec et donc de faire face ou contre tout ce qui ne serait pas conforme à ses idées et visions politiques, non et non. Il s'agit au contraire d'affirmer l'identité du parti Djuwa et la disparition du parti Pec. Alors oui, citoyens comoriens, dommage mais, il était une fois aux Comores, un parti politique s'appelait "Pec" de Fahmi Said Ibrahim !
Mrimdu