Depuis 2003, les avancements des salaires des fonctionnaires de l’État ont été suspendu par le FMI et Banque mondiale, en dehors des enseign...
Depuis 2003, les avancements des salaires des fonctionnaires de l’État ont été suspendu par le FMI et Banque mondiale, en dehors des enseignants. Mais en 2010, dans le gouvernement de transition de Sambi, le ministre de la justice en la personne de Djazila a violé cette règle pour avancer certains fonctionnaires anjouanais.
En arrivant au pouvoir le président IKILILOU n’a pas gelé cette mascarade. Mais on vient de constater encore que dans ce gouvernement IKILILOU 2, surtout ce deux derniers mois, la masse salariale vient de doublé. La cause en est que, le ministre candidat Abdou Housseine a d’abord mit la poudre aux yeux du gouvernement en faisant un avancement en premier lieu aux ministres fonctionnaires, puis il a profité ce bah chiche pour avancer les anjouanais. Des indices qui ont passé de 740 jusqu’à 1440 pour les uns et de 1800 pour les autres.
Un avancement survenu seulement pour les anjouanais surtout de sa région où il est candidat. Des fonctionnaires recrues il y a moins de 10 ans ont aujourd’hui une indice de 1440 alors que ses confrères de Ngazidja qui ont plus de 15 ans d’expérience ont des indices stagnant de 620 à 740. Pour bouillonner la soupe, le président IKI a encore choisit madame Bahia ministre du transport une anjouanaise à la place d’Abdou Housseine qui est candidat aux élections de 2015.
Au moment ou Nourdine Bourhane vient d’atterrir au Mirex alors que Sitty Kassime fait son entré à l’éducation. L’incontournable Mamadou reste dans le naufrage au finance avec une hausse de la masse salariale qui vient de doublé à cause des avancements aménagés par le ministre Abdou Housseine. Le gouverneur de Ngazidja reste toujours un observateur à la bouche scotchée alors que 250 enseignants de l’école secondaire sont entrain de bailler dans nos places publique, et 150 autres instituteurs de l’école primaire sont jetés dans la rue après deux ans de corvée avec comme argument, « nous voulons contrôler la masse salariale ». Une plaisanterie grandiose pour l’exécutif de Ngazidja puisqu’on voit les recrutements qui s’opèrent dans les autres iles qui ne tient pas compte des instructions du FMI et Banque Mondiale.
Nakidine Hassane
En arrivant au pouvoir le président IKILILOU n’a pas gelé cette mascarade. Mais on vient de constater encore que dans ce gouvernement IKILILOU 2, surtout ce deux derniers mois, la masse salariale vient de doublé. La cause en est que, le ministre candidat Abdou Housseine a d’abord mit la poudre aux yeux du gouvernement en faisant un avancement en premier lieu aux ministres fonctionnaires, puis il a profité ce bah chiche pour avancer les anjouanais. Des indices qui ont passé de 740 jusqu’à 1440 pour les uns et de 1800 pour les autres.
Un avancement survenu seulement pour les anjouanais surtout de sa région où il est candidat. Des fonctionnaires recrues il y a moins de 10 ans ont aujourd’hui une indice de 1440 alors que ses confrères de Ngazidja qui ont plus de 15 ans d’expérience ont des indices stagnant de 620 à 740. Pour bouillonner la soupe, le président IKI a encore choisit madame Bahia ministre du transport une anjouanaise à la place d’Abdou Housseine qui est candidat aux élections de 2015.
Au moment ou Nourdine Bourhane vient d’atterrir au Mirex alors que Sitty Kassime fait son entré à l’éducation. L’incontournable Mamadou reste dans le naufrage au finance avec une hausse de la masse salariale qui vient de doublé à cause des avancements aménagés par le ministre Abdou Housseine. Le gouverneur de Ngazidja reste toujours un observateur à la bouche scotchée alors que 250 enseignants de l’école secondaire sont entrain de bailler dans nos places publique, et 150 autres instituteurs de l’école primaire sont jetés dans la rue après deux ans de corvée avec comme argument, « nous voulons contrôler la masse salariale ». Une plaisanterie grandiose pour l’exécutif de Ngazidja puisqu’on voit les recrutements qui s’opèrent dans les autres iles qui ne tient pas compte des instructions du FMI et Banque Mondiale.
Nakidine Hassane