Les élections harmonisés étant fixées pour le 25 janvier, le pays est entré, depuis ce matin du jeudi 25 décembre dans ce qu’on appelle la ...
Les élections harmonisés étant fixées pour le 25 janvier, le pays est entré, depuis ce matin du jeudi 25 décembre dans ce qu’on appelle la période électorale qui s’étend jusqu’au 23 janvier 2015.
La campagne électorale qui s’est officiellement ouverte depuis minuit ne durera que 30 jours.
Les enjeux sont en effet relativement énormes car une modification du mode électoral prévoit une combinaison de trois scrutins en même temps. Craignant une forte abstention de la population dont plus de 60% des électeurs ne sont pas recensés, les candidats ont un long chemin à parcourir. Seulement 275 348 personnes sont inscrites aux listes électorales dans une population estimée à plus de 800 000 habitants. Ce jeudi marqué le début de la campagne électorale, c’est une première journée sans éclat, mais surtout sans grand meeting prévu. Il semble bien que les candidats ont prévenu d’entamer la campagne sans apparaître en public.
A Mitsamihouli M’boudé, à l'extrême nord de l’ile, là où l'ancien ministre de la justice Mohamed Djaffar ouvre se déplace ce jeudi, les responsables du parti JUWA sont confiants. Les proches de Mohamed Djaffar tous mobilisés dans ce meeting au cours de la journée à Djomani. Mais la plupart des partis politiques préfèrent des réunions dans l'indifférence.
Pour Mohamed Chatur du parti CRC, « nous sommes prêt a entrée en campagne à la date fatidique. L’épreuve en est que nous avons aligné des candidats dans chaque localité. Le CRC est bien préparé à cette endurance, » a- il rassuré.
La campagne électorale qui s’est officiellement ouverte depuis minuit ne durera que 30 jours.
Les enjeux sont en effet relativement énormes car une modification du mode électoral prévoit une combinaison de trois scrutins en même temps. Craignant une forte abstention de la population dont plus de 60% des électeurs ne sont pas recensés, les candidats ont un long chemin à parcourir. Seulement 275 348 personnes sont inscrites aux listes électorales dans une population estimée à plus de 800 000 habitants. Ce jeudi marqué le début de la campagne électorale, c’est une première journée sans éclat, mais surtout sans grand meeting prévu. Il semble bien que les candidats ont prévenu d’entamer la campagne sans apparaître en public.
A Mitsamihouli M’boudé, à l'extrême nord de l’ile, là où l'ancien ministre de la justice Mohamed Djaffar ouvre se déplace ce jeudi, les responsables du parti JUWA sont confiants. Les proches de Mohamed Djaffar tous mobilisés dans ce meeting au cours de la journée à Djomani. Mais la plupart des partis politiques préfèrent des réunions dans l'indifférence.
Pour Mohamed Chatur du parti CRC, « nous sommes prêt a entrée en campagne à la date fatidique. L’épreuve en est que nous avons aligné des candidats dans chaque localité. Le CRC est bien préparé à cette endurance, » a- il rassuré.
Même son de cloche pour le RDC, qui s’est fixé comme objectif avoir la majorité à l’assemblé. « On est bien lotis pour entamer une campagne apaisée en souhaitant que nos candidats vont gagner. Mais pour cette première journée, nous avons choisit une réunion du bureau politique pour cadrer le message que nous allons véhiculer dans la campagne. » A annoncé Mohamed Soulé Issilam.
Pour Hassane Massoundi du parti Orange, son parti est bien parti pour ses échéances. « Notre parti est bien organisé et on est bien armée. Nous visons la majorité et on est prêt pour la campagne, d’ailleurs ont la débuté déjà avec les prés campagne. Mais pour cette première journée, nous allons se réunir pour formuler nos objectifs et déterminer le message de la campagne. » a-t – il précisé.
Quant au leader du parti Radhi, pour lui cette ouverture de campagne n’est pas étrange. « On va faire comme d’habitude, sillonner les villes et villages, faire le porte à porte, organiser des petites rencontres et réunions ici et là et puis on avisera pour la suite des événements. Mais dans la matinée, un regroupement de tous les candidats autour de la direction du parti pour affiner le message envers les électrices et électeurs est prévu. » A informé Houmed Msaidié du parti Radhi.
De son coté, Saïd Larifou du parti Ridja a affirmé que son parti a déjà mis les chaussures aux pieds pour entrer en lice. « On entre de plain-pied dans la période électorale. Celle-ci impose ses règles à commencer par l’obligation faite aux médias publics de garantir le pluralisme politique et surtout l’obligation d’équité entre les partis et les personnalités politiques. » A-t-il souhaité.
Pour que cette campagne soit réconfortée, l’ensemble de la classe ¬politique comorienne a signé un code de bonne conduite pour assurer le bon déroulement des trois élections harmonisées.
Pour Hassane Massoundi du parti Orange, son parti est bien parti pour ses échéances. « Notre parti est bien organisé et on est bien armée. Nous visons la majorité et on est prêt pour la campagne, d’ailleurs ont la débuté déjà avec les prés campagne. Mais pour cette première journée, nous allons se réunir pour formuler nos objectifs et déterminer le message de la campagne. » a-t – il précisé.
Quant au leader du parti Radhi, pour lui cette ouverture de campagne n’est pas étrange. « On va faire comme d’habitude, sillonner les villes et villages, faire le porte à porte, organiser des petites rencontres et réunions ici et là et puis on avisera pour la suite des événements. Mais dans la matinée, un regroupement de tous les candidats autour de la direction du parti pour affiner le message envers les électrices et électeurs est prévu. » A informé Houmed Msaidié du parti Radhi.
De son coté, Saïd Larifou du parti Ridja a affirmé que son parti a déjà mis les chaussures aux pieds pour entrer en lice. « On entre de plain-pied dans la période électorale. Celle-ci impose ses règles à commencer par l’obligation faite aux médias publics de garantir le pluralisme politique et surtout l’obligation d’équité entre les partis et les personnalités politiques. » A-t-il souhaité.
Pour que cette campagne soit réconfortée, l’ensemble de la classe ¬politique comorienne a signé un code de bonne conduite pour assurer le bon déroulement des trois élections harmonisées.
Par Nakidine Hassane
Affiche des listes électorales. ©lagazettedescomores |