Ah qu’il était beau le slogan de la campagne de l’élection présidentielle de 2010 du candidat Ikililou Dhoinine : le relais qui rassure. ...
Ah qu’il était beau le slogan de la campagne de l’élection présidentielle de 2010 du candidat Ikililou Dhoinine : le relais qui rassure. Soutenu par son mentor, la population espérait une présidence apaisée, une rupture avec les changements brusques de régime. Car depuis l’accession de notre pays à l’Independence en 1975, le pays a vécu pour la première fois, le 26 mai 2011, le passage de relais de deux Présidents appartenant au même régime politique : Ikililou Dhoinine, ancien Vice-président d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi de 2006 à 2011 a accédé à la magistrature suprême, un candidat désigné par Sambi pour « rassurer le relais ». Un choix fait en violation flagrante de la loi électorale qui disposait que « aucun candidat à l’élection présidentielle ne peut recevoir des titulaires des fonctions judiciaires, administratives, militaires ou paramilitaires de l’Union ou des Îles, aucun appui susceptible de le favoriser par rapport aux autres candidats ». Au mois de novembre 2010, à l’occasion d’ide El Kabîr, il avait apporté sans réserve son soutien personnel au candidat Ikililou Dhoinine. En tant que 1er magistrat du pays, Chef des armées, symbole de l’Unité nationale et arbitre et le modérateur du fonctionnement régulier des institutions, le président de l’Union devait garder une certaine neutralité pour éviter de favoriser un candidat par rapport á un autre. Il ne l’a pas fait et a pesé de toute son énergie pour faire élire l’actuel chef de l’Etat avec au passage les moyens de l’Etat.
On s’attendait ainsi à une gouvernance apaisée, à un suivi des dossiers légués par son prédécesseur, mais très vite, le gentil successeur qui a attendu 5 mois pour prendre ses fonctions à Beit-Salam, s’est brouillé avec son mentor et la population ébahie, assiste à une guerre de tranchée menée par les mêmes acteurs qui gouvernent le pays depuis 2006, voire pour certains depuis 1999. Le nouveau Président a lancé les premières hostilités en se débarrassant dès le début de son régime des principaux ténors de son mentor. La goutte d’eau qui a débordé le vase, est la nomination en octobre 2012 de l’ancien Président par intérim, candidat malheureux aux primaires de l’élection présidentielle de novembre 2009 et ancien Secrétaire régional de la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC), parti politique de l' opposition qui a combattue le pouvoir Sambi et a même porte plainte contre lui, au poste de Directeur de cabinet de la Présidence en charge de la défense, Hamadi Madi Bolero. Au lendemain de cette nomination, nous écrivons dans ce blog que « avec cette nomination, le relais entre l’ancien président de l’Union et son successeur risque d’être coupé (…). C’est un revirement politique qui va laisser des traces dans la vie politique de ce pays. Les comoriens ont porté au pouvoir Dr Ikililou Dhoinine par ce qu’il incarnait la continuité de l’ancien régime. En coupant progressivement le pont avec ceux qui l’ont porté au pouvoir et en s’associant avec ceux qui l’ont combattu violement dans le passé, Dr Ikililou est entrain de se tirer une balle dans le pied et d’hypothéquer le crédit qu’il jouissait auprès de la population. Les chefs de l’Etat comoriens qui ont adopté des revirements politiques dans le passé au cours de leurs mandats, ont payé cher de cette absence de loyauté vis-à-vis de leur famille politique ». Cette analyse nous a valu les critiques acerbes des amis, partisans et courtisans du nouvel promu.
Lors d’un rassemblement politique organisé au foyer des Moroni le 16 février 2013, l’ancien président Sambi déclara que son successeur ne l’associe pas dans la gestion de son pouvoir et a intégré en son sein ses ennemis. Un mois plus tard, le dimanche 17 mars 2013 à Moroni, deux partis politiques ont été créés pour soutenir l’action du Président de l’Union : le mouvement pour la majorité présidentielle (MMP) qui remplaçait la mouvance pour la majorité présidentielle et l’Union pour le Développement des Comores (UPDC). Le MMP était composé d’une vingtaine de leaders des partis affiliés et des représentants des alliances MPU (Mouvance Présidentielle Unie, ARP (Alliance pour le renouveau et le progrès), et AJD (Alliance de la Justice et du Développement). Le MMP s’était donné pour Président l’ancien Vice-Président Ben Masssounde Rachid et pour Secrétaire Général, Djae Ahamada, du mouvement Orange. L’UPDC dont le congrès constitutif a pris fin le 17 mars 2013 avec l’élection de Mohamed Halifa, Délégué en charge de la production à la tête de ce nouveau parti politique.
Entre ces deux mouvements politiques, le Président Ikililou a choisi l’UPDC. Au lendemain du congrès constitutif de l’UPDC, il a reçu le 18 mars 2013, les membres du bureau politique de ce parti, composés de plusieurs de ses collaborateurs. Lors de cette réception, le Président de l’Union avait émis « le vœu ardent de voir enfin des partis d’envergure nationale qui ont leur mot à dire dans la prise des grandes décisions et d’orientation politiques et économiques du pays à l’instar de l’ANC, du FLN ou du Chama Chamapinduzi ».Le Président de la République a depuis tourné le dos aux partis politiques qui l’ont porté au pouvoir. Il s’était même moqué de ces partis lors de sa rencontre avec les cadres de Wanani-Mohéli, le jeudi 14 mars 2013 au palais de Beit-salam. Il avait ainsi déclaré « J’ai été soutenu par 52 partis politiques, mais soyons sérieux. Où sont ces 52 partis politiques dans ce petit pays ?».
Quatre mois après cette déclaration, au mois de juillet 2013, le Président de l’Union forma un nouveau gouvernement composé outre des membres imminents de l’UPDC, mais aussi un membre du mouvement Orange qui faisait partie du MMP. Ainsi le Ministère de l’Intérieur, de l’Information, de la Décentralisation, chargé des Relations avec les Institutions est occupé par HOUSSEIN HASSAN Ibrahim, un membre influent du mouvement Orange. Ce mouvement qui a prospéré sous Sambi, qui a fait élire en 2009 le Gouverneur de l’île autonome de Ngazidja, des députés de l’Union, des conseillers de l’île dont un des leurs occupe la présidence du conseil de l’Ile de Ngazidja. Ce mouvement a fait élire ses candidats avec une largesse financière inégalée dans l'histoire des campagnes électorales de ce pays, dont on ignore l’origine. C’est ce mouvement qui dirige le Ministère de l’intérieur qui mène la charge contre l’ancien président, qui lui aussi a créé son propre parti politique « Juwa » en octobre 2013. En effet, l’ ancien président a souhaité célébrer le 1er anniversaire de la création de son nouveau parti constitué par les rescapés du parti « Baobab » qui a porté au pouvoir le Président Ikililou, et son ancien puissant Trésorier Payeur Général (TPG), actuel Ministre de l’intérieur a signé une note circulaire pour interdire toute manifestation à caractère politique. En dépit de dette interdiction, les partisans du parti « Juwa » ont célébré leur anniversaire à la résidence privée du prince Said Ibrahim à Moroni. L’ancien Secrétaire Général du Gouvernement au temps de Sambi, Noudine Bourhane et l’ancien Ministre des Finances de Sambi de 2007 à 2009, Mohamed Ali Soilihi et actuels Vice-présidents en charge du Ministère de l’urbanisme et l’aménagement du territoire et du Ministère des Finances et du Budget auraient même voulu arrêté leur ancien mentor qui leur a permis de diriger aujourd’hui avec mépris et arrogance le pays. Le Vice-Président de l’Assemblée qui a été Ministre des Postes et Télécommunications chargé de la Communication et de la Promotion des Nouvelles Technologies de l’Information sous Sambi, qui est passé du Baobab, au mouvement Orange avant d’attenir au RDC du Gouverneur de l’ile autonome de Ngazidja, parle d’un héritage à propos des difficultés liées à la fourniture de l’eau et de l’électricité dans le pays.
Quel héritage ? Et pourtant, ce sont les mêmes acteurs qui dirigent ce pays depuis plus de 8 ans et demi. L’actuelle porte-parole du Gouvernement, Ministre de l’emploi, Mme Sitti Kassim et le Secrétaire Général du Gouvernement, Said Mohamed ont été durant le régime de Sambi au Ministère de l’énergie et au Secrétariat Général de ce Ministère. Le Conseiller spécial du Chef de l’Etat actuel, qui a critiqué sévèrement la manifestation du 1er novembre 2014, était également le Ministre de la justice sous le régime de Sambi. Le président du parti Orange, un pur produit de Sambi qui a affirmé que le parti JUWA n’a « rien à proposer sur les problèmes sociaux qui frappent le pays », a été le puisant Directeur Général des douanes sous Sambi et a profité des largesses de ce régime pour faire élire ses élus et disposer même d’une milice tolérée par l’Etat.
Celui qui se présente comme l’opposant numéro 1 de l’actuel chef de l’Etat, l’ancien président Sambi est celui qui a régné sans partage durant 5 ans et qui a même prorogé son mandat d’un an pour respecter au pouvoir, n’a toujours pas tiré les leçons de sa mauvaise gouvernance et des échecs de ses cinq ans de pouvoir. Il continue de croire que les Comoriens sont toujours naïfs et croient à ses rêves et à ses discours mielleux. Il s’appuie sur les mêmes personnes qui ont contribué à la ruine du pays. Celui qui a enfoncé la Société Comorienne des Hydrocarbures et qui a privé le pays de carburant durant 2 mois en 2008 est toujours à ses côtés pour lui conseiller. L’ancien ministre des Finances qui nous a menti avec son mentor sur les 2 milliards de dollars octroyés par de la Fondation Fatima est toujours aux avant-postes. L’arroseur arrosé, Ahmed Barwane, l’ancien Ministre de l’intérieur de Sambi qui avait signé une circulaire 2010 pour interdire les manifestations politiques en dehors des périodes électorales, proteste aujourd’hui contre les mesures scélérates prises par l’actuel Ministre de l’intérieur…
Finalement " le relais qui rassure" qui nous a été vanté en 2010 est devenu le relais qui achève ce pays, transmis par les mêmes acteurs qui sont au pouvoir depuis 8 ans et qui sont incapables d’apporter des solutions aux problèmes quotidiens de la population. Apres avoir été son vice-président pendant 5 ans et son intérimaire préféré, l’ancien président Sambi déclare ce 1er novembre, qu’il ne connaissait pas l’homme qu’il a imposé à la tête du pays, hormis son CV de pharmacien. Fausse allégation d’un ancien Président, aux abois comme son successeur qui veut tromper la population encore une fois, pour revenir achever le travail de sape et de destruction du pays entamé par les mêmes acteurs de ce mauvais film qui tarde vraiment à prendre fin.
On s’attendait ainsi à une gouvernance apaisée, à un suivi des dossiers légués par son prédécesseur, mais très vite, le gentil successeur qui a attendu 5 mois pour prendre ses fonctions à Beit-Salam, s’est brouillé avec son mentor et la population ébahie, assiste à une guerre de tranchée menée par les mêmes acteurs qui gouvernent le pays depuis 2006, voire pour certains depuis 1999. Le nouveau Président a lancé les premières hostilités en se débarrassant dès le début de son régime des principaux ténors de son mentor. La goutte d’eau qui a débordé le vase, est la nomination en octobre 2012 de l’ancien Président par intérim, candidat malheureux aux primaires de l’élection présidentielle de novembre 2009 et ancien Secrétaire régional de la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC), parti politique de l' opposition qui a combattue le pouvoir Sambi et a même porte plainte contre lui, au poste de Directeur de cabinet de la Présidence en charge de la défense, Hamadi Madi Bolero. Au lendemain de cette nomination, nous écrivons dans ce blog que « avec cette nomination, le relais entre l’ancien président de l’Union et son successeur risque d’être coupé (…). C’est un revirement politique qui va laisser des traces dans la vie politique de ce pays. Les comoriens ont porté au pouvoir Dr Ikililou Dhoinine par ce qu’il incarnait la continuité de l’ancien régime. En coupant progressivement le pont avec ceux qui l’ont porté au pouvoir et en s’associant avec ceux qui l’ont combattu violement dans le passé, Dr Ikililou est entrain de se tirer une balle dans le pied et d’hypothéquer le crédit qu’il jouissait auprès de la population. Les chefs de l’Etat comoriens qui ont adopté des revirements politiques dans le passé au cours de leurs mandats, ont payé cher de cette absence de loyauté vis-à-vis de leur famille politique ». Cette analyse nous a valu les critiques acerbes des amis, partisans et courtisans du nouvel promu.
Lors d’un rassemblement politique organisé au foyer des Moroni le 16 février 2013, l’ancien président Sambi déclara que son successeur ne l’associe pas dans la gestion de son pouvoir et a intégré en son sein ses ennemis. Un mois plus tard, le dimanche 17 mars 2013 à Moroni, deux partis politiques ont été créés pour soutenir l’action du Président de l’Union : le mouvement pour la majorité présidentielle (MMP) qui remplaçait la mouvance pour la majorité présidentielle et l’Union pour le Développement des Comores (UPDC). Le MMP était composé d’une vingtaine de leaders des partis affiliés et des représentants des alliances MPU (Mouvance Présidentielle Unie, ARP (Alliance pour le renouveau et le progrès), et AJD (Alliance de la Justice et du Développement). Le MMP s’était donné pour Président l’ancien Vice-Président Ben Masssounde Rachid et pour Secrétaire Général, Djae Ahamada, du mouvement Orange. L’UPDC dont le congrès constitutif a pris fin le 17 mars 2013 avec l’élection de Mohamed Halifa, Délégué en charge de la production à la tête de ce nouveau parti politique.
Entre ces deux mouvements politiques, le Président Ikililou a choisi l’UPDC. Au lendemain du congrès constitutif de l’UPDC, il a reçu le 18 mars 2013, les membres du bureau politique de ce parti, composés de plusieurs de ses collaborateurs. Lors de cette réception, le Président de l’Union avait émis « le vœu ardent de voir enfin des partis d’envergure nationale qui ont leur mot à dire dans la prise des grandes décisions et d’orientation politiques et économiques du pays à l’instar de l’ANC, du FLN ou du Chama Chamapinduzi ».Le Président de la République a depuis tourné le dos aux partis politiques qui l’ont porté au pouvoir. Il s’était même moqué de ces partis lors de sa rencontre avec les cadres de Wanani-Mohéli, le jeudi 14 mars 2013 au palais de Beit-salam. Il avait ainsi déclaré « J’ai été soutenu par 52 partis politiques, mais soyons sérieux. Où sont ces 52 partis politiques dans ce petit pays ?».
Quatre mois après cette déclaration, au mois de juillet 2013, le Président de l’Union forma un nouveau gouvernement composé outre des membres imminents de l’UPDC, mais aussi un membre du mouvement Orange qui faisait partie du MMP. Ainsi le Ministère de l’Intérieur, de l’Information, de la Décentralisation, chargé des Relations avec les Institutions est occupé par HOUSSEIN HASSAN Ibrahim, un membre influent du mouvement Orange. Ce mouvement qui a prospéré sous Sambi, qui a fait élire en 2009 le Gouverneur de l’île autonome de Ngazidja, des députés de l’Union, des conseillers de l’île dont un des leurs occupe la présidence du conseil de l’Ile de Ngazidja. Ce mouvement a fait élire ses candidats avec une largesse financière inégalée dans l'histoire des campagnes électorales de ce pays, dont on ignore l’origine. C’est ce mouvement qui dirige le Ministère de l’intérieur qui mène la charge contre l’ancien président, qui lui aussi a créé son propre parti politique « Juwa » en octobre 2013. En effet, l’ ancien président a souhaité célébrer le 1er anniversaire de la création de son nouveau parti constitué par les rescapés du parti « Baobab » qui a porté au pouvoir le Président Ikililou, et son ancien puissant Trésorier Payeur Général (TPG), actuel Ministre de l’intérieur a signé une note circulaire pour interdire toute manifestation à caractère politique. En dépit de dette interdiction, les partisans du parti « Juwa » ont célébré leur anniversaire à la résidence privée du prince Said Ibrahim à Moroni. L’ancien Secrétaire Général du Gouvernement au temps de Sambi, Noudine Bourhane et l’ancien Ministre des Finances de Sambi de 2007 à 2009, Mohamed Ali Soilihi et actuels Vice-présidents en charge du Ministère de l’urbanisme et l’aménagement du territoire et du Ministère des Finances et du Budget auraient même voulu arrêté leur ancien mentor qui leur a permis de diriger aujourd’hui avec mépris et arrogance le pays. Le Vice-Président de l’Assemblée qui a été Ministre des Postes et Télécommunications chargé de la Communication et de la Promotion des Nouvelles Technologies de l’Information sous Sambi, qui est passé du Baobab, au mouvement Orange avant d’attenir au RDC du Gouverneur de l’ile autonome de Ngazidja, parle d’un héritage à propos des difficultés liées à la fourniture de l’eau et de l’électricité dans le pays.
Quel héritage ? Et pourtant, ce sont les mêmes acteurs qui dirigent ce pays depuis plus de 8 ans et demi. L’actuelle porte-parole du Gouvernement, Ministre de l’emploi, Mme Sitti Kassim et le Secrétaire Général du Gouvernement, Said Mohamed ont été durant le régime de Sambi au Ministère de l’énergie et au Secrétariat Général de ce Ministère. Le Conseiller spécial du Chef de l’Etat actuel, qui a critiqué sévèrement la manifestation du 1er novembre 2014, était également le Ministre de la justice sous le régime de Sambi. Le président du parti Orange, un pur produit de Sambi qui a affirmé que le parti JUWA n’a « rien à proposer sur les problèmes sociaux qui frappent le pays », a été le puisant Directeur Général des douanes sous Sambi et a profité des largesses de ce régime pour faire élire ses élus et disposer même d’une milice tolérée par l’Etat.
Celui qui se présente comme l’opposant numéro 1 de l’actuel chef de l’Etat, l’ancien président Sambi est celui qui a régné sans partage durant 5 ans et qui a même prorogé son mandat d’un an pour respecter au pouvoir, n’a toujours pas tiré les leçons de sa mauvaise gouvernance et des échecs de ses cinq ans de pouvoir. Il continue de croire que les Comoriens sont toujours naïfs et croient à ses rêves et à ses discours mielleux. Il s’appuie sur les mêmes personnes qui ont contribué à la ruine du pays. Celui qui a enfoncé la Société Comorienne des Hydrocarbures et qui a privé le pays de carburant durant 2 mois en 2008 est toujours à ses côtés pour lui conseiller. L’ancien ministre des Finances qui nous a menti avec son mentor sur les 2 milliards de dollars octroyés par de la Fondation Fatima est toujours aux avant-postes. L’arroseur arrosé, Ahmed Barwane, l’ancien Ministre de l’intérieur de Sambi qui avait signé une circulaire 2010 pour interdire les manifestations politiques en dehors des périodes électorales, proteste aujourd’hui contre les mesures scélérates prises par l’actuel Ministre de l’intérieur…
Finalement " le relais qui rassure" qui nous a été vanté en 2010 est devenu le relais qui achève ce pays, transmis par les mêmes acteurs qui sont au pouvoir depuis 8 ans et qui sont incapables d’apporter des solutions aux problèmes quotidiens de la population. Apres avoir été son vice-président pendant 5 ans et son intérimaire préféré, l’ancien président Sambi déclare ce 1er novembre, qu’il ne connaissait pas l’homme qu’il a imposé à la tête du pays, hormis son CV de pharmacien. Fausse allégation d’un ancien Président, aux abois comme son successeur qui veut tromper la population encore une fois, pour revenir achever le travail de sape et de destruction du pays entamé par les mêmes acteurs de ce mauvais film qui tarde vraiment à prendre fin.
Par ComoresDroit
Photo.Image d'illustration
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