Bien que les élections auront lieu dans toutes les régions des 3 îles de l’archipel mais nous avons choisit de faire une première analyse...
Bien que les élections auront lieu dans toutes les régions des 3 îles de l’archipel mais nous avons choisit de faire une première analyse sur la région de Mitsamihouli Mboudé pour la seule raison qu’elle est l’une des rares régions que toutes les forces politiques se présentent.
D’abord nous allons commencer par le parti Juwa d’où son candidat n’est que le député sortant de cette région. Mohamed Djaffar candidat à sa propre succession présente bien sur des faiblesses qui pourront lui coûter sa place car malgré qu’il soit élu député sous le régime Sambi il reste toujours inconnu dans la région. Bien que la tendance lui place en 3eme position mais sa chance de regagner la confiance des électeurs de la région semble infime, bien qu’il a toujours l’ombre de Sambi à coté. Il n’est plus un homme du terrain, son répertoire régional est moins lotis, une rare présence dans la région, et un bilan personnel négatif.
Pour le ministre de relations extérieures Monsieur Elarif Saïd Hassane, le nouveau né dans la scène politique régionale, il a du peine sur la planche mais il semble que le gouvernement ne veut pas gagner ces élections malgré sa détermination. Prés un an et demi qu’il a passé au Mirex, il n’a pas pu forger une image dans sa région. Il n’a jamais signé ni un contrat ni une décision d’une personne de sa région. Bénéficiant les soutiens des charlatans de la région qui cherchent par si et par là à sauvegarder leurs survivance au saint du gouvernement, il a la chance d’atteindre le deuxième tour s’il reçoit la bénédiction du toirikati chadhuili. Mais son bilan d’un an et demi au Mirex est lamentable dans la région, il n’a pas des bonne relations personnelles surtout avec la jeunesse.
Pour le percheur Foundi Ali Hadji qui se cache derrière l’ombre de Houmed Msaidié, il n’a plus ni le charisme ni le poids d’arracher ce duel mais il a la tête sur les épaules de Msadié dont toutes les chances sont misés sur lui. Mais en réalité foudi n’est prêt à se genre du combat. Surtout qu’il n’est compte plus aller siéger à l’assemblé. Il parait à ce sujet qu’il est entrain de négocier un poste d’ambassadeur dans un pays arabe en cas de victoire d’où les raison des alliances Radhi- UUPDC. Mais en réalité Foundi a beaucoup des sympathisants religieux mais pas politique bien qu’il confonde ses deux points. Dans son entourage, on lui a déconseillé mainte fois, dans son village même, il n’a pas la réputation d’un homme politique. Mais tout cela ne lui a pas empêché d’être placé en premier tendance, un placé qui pourrait le perdre au détriment du ministre.
Pour le représentant de la RDC, c’est ne plus Kabila du de la République démocratique du Congo mais plutôt le candidat Abass Mhadjou qui symbolise le locataire de Mrodjou. Il a d’abord des faiblesses familiales car son frère de même père et mère Farouk Mhadjou est le candidat du parti Orange. Ce qui fait qu’il n’a pas arrivé à balayer devant sa porte n’en parle plus celles des autres. Deuxièmement, il n’est pas évidant que la ville de OUELA son village natale soit un champ pour les enfants de Mhadjou. Donc, dans sa ville natale aussi il a un adversaire de taille qui est son frère de même sang. Dans la région, avec la politique de grande ville de son gouverneur Mougni Baraka, il n’a que des sympathisants probablement a Djomani dont son suppléant est d’origine et peut être à Ntsaoueni pour son commissaire au finance. Abass Mhadjou n’est pas au poids pour l’exécutif de Ngazidja puisque Mougni lui-même est inactif dans la région. Connu sous sa grande Guelle mais Abass n’a pas la carrure d’un représentant de la région. Son poste de conseillé adjoint à Mrodjou n’est qu’un méprise régional du Gouverneur. Mais cela ne l’empêche pas d’être parmi le 5 premier du tableau régional.
Pour le colonel Campagnard, son geste de s’opposer aux mercenaire de Bob Denard, lui a forgé lui mage d’un homme intègre, un patriote avéré, mais pas un politicien. Surtout qu’il parait que sa candidature est derrière la suer du colonel Azali Assoumani qui veut a tout pris banaliser les lignes de Msaidié même dans sa région. En plus que, malgré son héroïsme dans l’armé, aucun jeune de la région ne peut lui valoir la grâce qu’il est dans l’armée à cause de lui. Propriétaire de la société de la voirie dans la capitale comorienne, mais aucune personne de la région dans son personnel. Originaire de Mandza, par sa mère, il est bizarrement connu de son mitsamihoulisme dont son père est originaire. On ne lui rapproche de rien mais l’héros de la nation n’est pas en bonne augure car ici on ne vote pas par conviction mais plutôt par intérêt et délayage des poches.
Pour les autres candidats, leur participation, n’est qu’un rappel à la population qu’ils ne sont pas parti s’installer en France mais la chance de gagner même le quota qu’il les faut pour qu’on les rembourse leurs caution est très minime.
Nakidine Hassane
D’abord nous allons commencer par le parti Juwa d’où son candidat n’est que le député sortant de cette région. Mohamed Djaffar candidat à sa propre succession présente bien sur des faiblesses qui pourront lui coûter sa place car malgré qu’il soit élu député sous le régime Sambi il reste toujours inconnu dans la région. Bien que la tendance lui place en 3eme position mais sa chance de regagner la confiance des électeurs de la région semble infime, bien qu’il a toujours l’ombre de Sambi à coté. Il n’est plus un homme du terrain, son répertoire régional est moins lotis, une rare présence dans la région, et un bilan personnel négatif.
Pour le ministre de relations extérieures Monsieur Elarif Saïd Hassane, le nouveau né dans la scène politique régionale, il a du peine sur la planche mais il semble que le gouvernement ne veut pas gagner ces élections malgré sa détermination. Prés un an et demi qu’il a passé au Mirex, il n’a pas pu forger une image dans sa région. Il n’a jamais signé ni un contrat ni une décision d’une personne de sa région. Bénéficiant les soutiens des charlatans de la région qui cherchent par si et par là à sauvegarder leurs survivance au saint du gouvernement, il a la chance d’atteindre le deuxième tour s’il reçoit la bénédiction du toirikati chadhuili. Mais son bilan d’un an et demi au Mirex est lamentable dans la région, il n’a pas des bonne relations personnelles surtout avec la jeunesse.
Pour le percheur Foundi Ali Hadji qui se cache derrière l’ombre de Houmed Msaidié, il n’a plus ni le charisme ni le poids d’arracher ce duel mais il a la tête sur les épaules de Msadié dont toutes les chances sont misés sur lui. Mais en réalité foudi n’est prêt à se genre du combat. Surtout qu’il n’est compte plus aller siéger à l’assemblé. Il parait à ce sujet qu’il est entrain de négocier un poste d’ambassadeur dans un pays arabe en cas de victoire d’où les raison des alliances Radhi- UUPDC. Mais en réalité Foundi a beaucoup des sympathisants religieux mais pas politique bien qu’il confonde ses deux points. Dans son entourage, on lui a déconseillé mainte fois, dans son village même, il n’a pas la réputation d’un homme politique. Mais tout cela ne lui a pas empêché d’être placé en premier tendance, un placé qui pourrait le perdre au détriment du ministre.
Pour le représentant de la RDC, c’est ne plus Kabila du de la République démocratique du Congo mais plutôt le candidat Abass Mhadjou qui symbolise le locataire de Mrodjou. Il a d’abord des faiblesses familiales car son frère de même père et mère Farouk Mhadjou est le candidat du parti Orange. Ce qui fait qu’il n’a pas arrivé à balayer devant sa porte n’en parle plus celles des autres. Deuxièmement, il n’est pas évidant que la ville de OUELA son village natale soit un champ pour les enfants de Mhadjou. Donc, dans sa ville natale aussi il a un adversaire de taille qui est son frère de même sang. Dans la région, avec la politique de grande ville de son gouverneur Mougni Baraka, il n’a que des sympathisants probablement a Djomani dont son suppléant est d’origine et peut être à Ntsaoueni pour son commissaire au finance. Abass Mhadjou n’est pas au poids pour l’exécutif de Ngazidja puisque Mougni lui-même est inactif dans la région. Connu sous sa grande Guelle mais Abass n’a pas la carrure d’un représentant de la région. Son poste de conseillé adjoint à Mrodjou n’est qu’un méprise régional du Gouverneur. Mais cela ne l’empêche pas d’être parmi le 5 premier du tableau régional.
Pour le colonel Campagnard, son geste de s’opposer aux mercenaire de Bob Denard, lui a forgé lui mage d’un homme intègre, un patriote avéré, mais pas un politicien. Surtout qu’il parait que sa candidature est derrière la suer du colonel Azali Assoumani qui veut a tout pris banaliser les lignes de Msaidié même dans sa région. En plus que, malgré son héroïsme dans l’armé, aucun jeune de la région ne peut lui valoir la grâce qu’il est dans l’armée à cause de lui. Propriétaire de la société de la voirie dans la capitale comorienne, mais aucune personne de la région dans son personnel. Originaire de Mandza, par sa mère, il est bizarrement connu de son mitsamihoulisme dont son père est originaire. On ne lui rapproche de rien mais l’héros de la nation n’est pas en bonne augure car ici on ne vote pas par conviction mais plutôt par intérêt et délayage des poches.
Pour les autres candidats, leur participation, n’est qu’un rappel à la population qu’ils ne sont pas parti s’installer en France mais la chance de gagner même le quota qu’il les faut pour qu’on les rembourse leurs caution est très minime.
Nakidine Hassane