Comme le fusible dans un circuit électrique et électronique, le Charisme de Hamada Madi Boléro encaisse tous les chocs du régime Ikililou...
Comme le fusible dans un circuit électrique et électronique, le Charisme de Hamada Madi Boléro encaisse tous les chocs du régime Ikililou Dhoinine.
Malins ! Les adversaires du régime « Iki » ont compris qu'un fusible est un organe de sécurité dont le rôle est d'interrompre le courant électrique dans le circuit électrique et électronique qu'il protège en cas de défaut. C'est pourquoi ils réclament sans cesse et avec insistance la « tête de Boléro ». En d'autre terme, ces danseurs de « Samba » (la samba est une danse populaire du Brésil et que les amateurs de samba s'appellent eux aussi les « Sambistes ») et autres détracteurs, demandent au chef de l'Etat de sauter lui-même « son fusible » pour se retrouver en suite sans défense. Apparemment leur minute de vérité risque de se faire attendre longtemps.
A tout ceux qui ont l'oreille : Tout a été dit dans le discours d'investiture de Boléro, le 13 octobre 2012
Le devoir de vérité de Hamada Madi Boléro était au rendez-vous le jour de son investiture en octobre 2012. Dans son discours lors de la cérémonie de passation de service, organisée le samedi 13 octobre 2012 à Beit-Salam, Boléro a informé à ceux qui voulaient l'entendre que le président Ikililou Dhoinine préfère remplacer « la samba des Sambistes » par un autre rythme. Le « Boléro » ? Le président Ikililou après avoir découvert les mensonges de son prédécesseur, a décidé de tout changer. Ainsi il a donné comme mission au nouveau Directeur de Cabinet de :
- donner un nouveau souffle à sa politique
-changer le modèle de gouvernance de son prédécesseur
- changer l'orientation politique de son prédécesseur
- changer l'organisation politique de son prédécesseur
- enfin, conformer le pays au niveau national et multinational.
Dans son discours lors de la cérémonie de passation de service le samedi 13 octobre 2012 le nouveau Directeur de Cabinet nous disait :
« En me nommant Directeur de Cabinet, le Chef de l'Etat m'a demandé de donner un nouveau souffle à l'action qu'il mène à la tête de l'Etat comorien […] Un nouveau souffle sur la politique de son prédécesseur, l'ancien raïs Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI ; cette dernière doit être remodelée, réorientée, réorganisée, mais encore il doit se conformer à l'intérieur du pays aux aspirations légitimes des Comoriens.
Ce nouveau souffle doit aussi et surtout se conformer, à l'extérieur du pays aux intérêts géostratégiques de notre pays dans un monde désormais tourné vers le respect des droits humains, de l'égalité du genre pour un meilleur partage de responsabilités entre l'homme et la femme dans une société où l'égalité des chances est une priorité…
Ce nouveau souffle voulu par le président, doit permettre à notre pays de retrouver la place qui est la sienne dans le concert des nations en s'appuyant d'abord sur une coopération régionale intelligente avec notre voisinage immédiat la (COI ), ensuite sur notre organisation continentale, l'Union Africaine ( Ua ) sur une coopération linguistique à travers l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), une coopération basée sur nos origines et même sur notre religion l'Islam, dont la Ligue des Etats Arabes et l'Organisation de la Conférence Islamique et bien sûr sur nos partenaires multilatéraux, l'Union Européenne et ses Institutions notamment financières et de développement et l'Organisation des Nations Unies avec ses organismes coordonnés dans notre pays par le Pnud…
Le Cabinet du Chef de l'Etat, dans un système présidentiel comme le nôtre redevient ce laboratoire où désormais les petites querelles inutiles et politiciennes vont devoir disparaître à jamais pour laisser la place au travail, au travail, et encore au travail. En tant que premier collaborateur du Président IKILILOU Dhoinine, j'ai accepté d'impulser ce nouveau souffle sans passion mais avec détermination et en m'engageant devant lui, je pensais à vous tous, Conseillers, Chargés de Mission, Personnel administratif ici présent. Rassurez vous, il n'y aura pas de résultats probants ou escomptés sans notre engagement sincère. En tous les cas, j'y veillerai ».
« Je voudrais vous dire que la polémique est inutile et la récréation est terminée ».
« Depuis mon enfance et durant tout mon parcours politique, je m'en suis véritablement et énergiquement engagé. Dans cette détermination, le Président IKILILOU et moi-même avons toujours été côte à côte et du côté de ceux qui ont combattu le séparatisme. Ensemble, nous avons été aux premières loges dés lors qu'il s'agisse de Mwali au sein d'un pays uni et solidaire… me trouver à ses côtés comme lui hier, à mes côtés, ne doit pas vous paraître étonnant et soyez rassurés ce sera avec fidélité et dans la loyauté sans faille que je dirigerai son cabinet ».
En novembre 2012, le régime politique Ikililou Dhoinine était dans une dérive mortelle. Deux affaires menaçaient de faire disparaître purement et simplement le régime Dhoinine après 1 an et 5 mois seulement : La crise parlementaire de 2012 qui avait privé le président de l'assemblée Hamidou Bourhane son droit de présider la session de 2012 et l'affaire « Combo-Salimou ».
Le président de la république avait besoin de Hamada Madi Boléro, non seulement pour son expérience, ses compétences et son professionnalisme, mais aussi pour son « Charisme » pour lui servir de fusible car en 2012, il n'y avait pas une personne charismatique dans son gouvernement pour encaisser les coups à sa place.
Pourtant, dans un régime sans premier ministre, il doit y avoir au moins un homme charismatique capable d'amorcer les chocs ou du moins les encaisser.
Je pense que c'est ainsi qu'en novembre 2012, le président Dhoinine a décidé de nommer l'incontournable Boléro à la tête de son cabinet. En tout cas en le faisant, « Iki » a installé dans son gouvernement l'équivalent d'un fusible dans un système électrique. De ce fait, on peut dire qu'il peut dormir tranquille puisque désormais, il faudra d'abord sauter le fusible avant de pouvoir envoyer un choc au président. Si cet objectif était parmi les raisons qui ont ramené Boléro au poste de Directeur du Cabinet chargé de la Défense, alors oui, on peut dire sans risque de se tromper que c'est une nomination très intelligente effectuée au bon moment par le Chef de l'État. Par conséquent, Boléro est devenu inévitablement le fusible de ce régime.
Désormais, il faudra d'abord faire sauter la tête de Boléro avant d'espérer un débordement du président et de son gouvernement. C'est pourquoi les malins réclament sans cesse et avec insistance la « tête de Boléro ». En attendant, le fusible de Beit-Salam encaisse les chocs, tous les chocs de toute l'équipe Ikililou. Cela montre aussi que ses concurrents ont du pain sur la planche. Est-il vraiment facile de trouver un homme d'expérience, de compétences professionnelles et ayant ce Charisme pour servir de fusible à ce chef de l'Etat très timide et à toute son équipe ?
Merci de bien vouloir me laisser un message si vous connaissez au moins une personne.
Pour la compétence, on peut prier sans honte que tous les ministères avancent en vitesse « V » de croisière comme le ministère de la défense ces deux dernières années, n'est ce pas ? Alors oui, yeux dans les yeux qu'on se le dise ! Tout le mal qu'a fait Boléro ne lui attire pas tant de persécution et de haine que ses bonnes qualités. N'en déplaise à ses détracteurs, mais la vie est un oignon qu'on épluche en pleurant : Les danseurs de « Samba » vont devoir danser le « Boléro » encore pour longtemps !
Par Mrimdu
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Malins ! Les adversaires du régime « Iki » ont compris qu'un fusible est un organe de sécurité dont le rôle est d'interrompre le courant électrique dans le circuit électrique et électronique qu'il protège en cas de défaut. C'est pourquoi ils réclament sans cesse et avec insistance la « tête de Boléro ». En d'autre terme, ces danseurs de « Samba » (la samba est une danse populaire du Brésil et que les amateurs de samba s'appellent eux aussi les « Sambistes ») et autres détracteurs, demandent au chef de l'Etat de sauter lui-même « son fusible » pour se retrouver en suite sans défense. Apparemment leur minute de vérité risque de se faire attendre longtemps.
A tout ceux qui ont l'oreille : Tout a été dit dans le discours d'investiture de Boléro, le 13 octobre 2012
Le devoir de vérité de Hamada Madi Boléro était au rendez-vous le jour de son investiture en octobre 2012. Dans son discours lors de la cérémonie de passation de service, organisée le samedi 13 octobre 2012 à Beit-Salam, Boléro a informé à ceux qui voulaient l'entendre que le président Ikililou Dhoinine préfère remplacer « la samba des Sambistes » par un autre rythme. Le « Boléro » ? Le président Ikililou après avoir découvert les mensonges de son prédécesseur, a décidé de tout changer. Ainsi il a donné comme mission au nouveau Directeur de Cabinet de :
- donner un nouveau souffle à sa politique
-changer le modèle de gouvernance de son prédécesseur
- changer l'orientation politique de son prédécesseur
- changer l'organisation politique de son prédécesseur
- enfin, conformer le pays au niveau national et multinational.
Dans son discours lors de la cérémonie de passation de service le samedi 13 octobre 2012 le nouveau Directeur de Cabinet nous disait :
« En me nommant Directeur de Cabinet, le Chef de l'Etat m'a demandé de donner un nouveau souffle à l'action qu'il mène à la tête de l'Etat comorien […] Un nouveau souffle sur la politique de son prédécesseur, l'ancien raïs Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI ; cette dernière doit être remodelée, réorientée, réorganisée, mais encore il doit se conformer à l'intérieur du pays aux aspirations légitimes des Comoriens.
Ce nouveau souffle doit aussi et surtout se conformer, à l'extérieur du pays aux intérêts géostratégiques de notre pays dans un monde désormais tourné vers le respect des droits humains, de l'égalité du genre pour un meilleur partage de responsabilités entre l'homme et la femme dans une société où l'égalité des chances est une priorité…
Ce nouveau souffle voulu par le président, doit permettre à notre pays de retrouver la place qui est la sienne dans le concert des nations en s'appuyant d'abord sur une coopération régionale intelligente avec notre voisinage immédiat la (COI ), ensuite sur notre organisation continentale, l'Union Africaine ( Ua ) sur une coopération linguistique à travers l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), une coopération basée sur nos origines et même sur notre religion l'Islam, dont la Ligue des Etats Arabes et l'Organisation de la Conférence Islamique et bien sûr sur nos partenaires multilatéraux, l'Union Européenne et ses Institutions notamment financières et de développement et l'Organisation des Nations Unies avec ses organismes coordonnés dans notre pays par le Pnud…
Le Cabinet du Chef de l'Etat, dans un système présidentiel comme le nôtre redevient ce laboratoire où désormais les petites querelles inutiles et politiciennes vont devoir disparaître à jamais pour laisser la place au travail, au travail, et encore au travail. En tant que premier collaborateur du Président IKILILOU Dhoinine, j'ai accepté d'impulser ce nouveau souffle sans passion mais avec détermination et en m'engageant devant lui, je pensais à vous tous, Conseillers, Chargés de Mission, Personnel administratif ici présent. Rassurez vous, il n'y aura pas de résultats probants ou escomptés sans notre engagement sincère. En tous les cas, j'y veillerai ».
« Je voudrais vous dire que la polémique est inutile et la récréation est terminée ».
« Depuis mon enfance et durant tout mon parcours politique, je m'en suis véritablement et énergiquement engagé. Dans cette détermination, le Président IKILILOU et moi-même avons toujours été côte à côte et du côté de ceux qui ont combattu le séparatisme. Ensemble, nous avons été aux premières loges dés lors qu'il s'agisse de Mwali au sein d'un pays uni et solidaire… me trouver à ses côtés comme lui hier, à mes côtés, ne doit pas vous paraître étonnant et soyez rassurés ce sera avec fidélité et dans la loyauté sans faille que je dirigerai son cabinet ».
En novembre 2012, le régime politique Ikililou Dhoinine était dans une dérive mortelle. Deux affaires menaçaient de faire disparaître purement et simplement le régime Dhoinine après 1 an et 5 mois seulement : La crise parlementaire de 2012 qui avait privé le président de l'assemblée Hamidou Bourhane son droit de présider la session de 2012 et l'affaire « Combo-Salimou ».
Le président de la république avait besoin de Hamada Madi Boléro, non seulement pour son expérience, ses compétences et son professionnalisme, mais aussi pour son « Charisme » pour lui servir de fusible car en 2012, il n'y avait pas une personne charismatique dans son gouvernement pour encaisser les coups à sa place.
Pourtant, dans un régime sans premier ministre, il doit y avoir au moins un homme charismatique capable d'amorcer les chocs ou du moins les encaisser.
Je pense que c'est ainsi qu'en novembre 2012, le président Dhoinine a décidé de nommer l'incontournable Boléro à la tête de son cabinet. En tout cas en le faisant, « Iki » a installé dans son gouvernement l'équivalent d'un fusible dans un système électrique. De ce fait, on peut dire qu'il peut dormir tranquille puisque désormais, il faudra d'abord sauter le fusible avant de pouvoir envoyer un choc au président. Si cet objectif était parmi les raisons qui ont ramené Boléro au poste de Directeur du Cabinet chargé de la Défense, alors oui, on peut dire sans risque de se tromper que c'est une nomination très intelligente effectuée au bon moment par le Chef de l'État. Par conséquent, Boléro est devenu inévitablement le fusible de ce régime.
Désormais, il faudra d'abord faire sauter la tête de Boléro avant d'espérer un débordement du président et de son gouvernement. C'est pourquoi les malins réclament sans cesse et avec insistance la « tête de Boléro ». En attendant, le fusible de Beit-Salam encaisse les chocs, tous les chocs de toute l'équipe Ikililou. Cela montre aussi que ses concurrents ont du pain sur la planche. Est-il vraiment facile de trouver un homme d'expérience, de compétences professionnelles et ayant ce Charisme pour servir de fusible à ce chef de l'Etat très timide et à toute son équipe ?
Merci de bien vouloir me laisser un message si vous connaissez au moins une personne.
Pour la compétence, on peut prier sans honte que tous les ministères avancent en vitesse « V » de croisière comme le ministère de la défense ces deux dernières années, n'est ce pas ? Alors oui, yeux dans les yeux qu'on se le dise ! Tout le mal qu'a fait Boléro ne lui attire pas tant de persécution et de haine que ses bonnes qualités. N'en déplaise à ses détracteurs, mais la vie est un oignon qu'on épluche en pleurant : Les danseurs de « Samba » vont devoir danser le « Boléro » encore pour longtemps !
Par Mrimdu
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