Il est parti un lundi, un lundi 29 novembre 2010, aux environs des 8h 20 au Centre Hospitalier National El Maarouf, cet établissement hos...
Il est parti un lundi, un lundi 29 novembre 2010, aux environs des 8h 20 au Centre Hospitalier National El Maarouf, cet établissement hospitalier au sein duquel il a exercé sa carrière professionnelle durant plus de 30 ans.
Ismaël SAADI père, était le benjamin des enfants de feu SAADI AHMED et de Waziri Abderemane, tous les deux originaires de Moroni, mais disposant d’ascendance à Mde pour le premier du cote du père, Ahmed Boina et de Mbeni pour la seconde du cote du père également. Avec ses 7 autres frères et sœurs, Ismaël SAADI père, ont donné à ce pays, des géologues, des sages-femmes, des infirmiers, des diplomates, des professeurs, des juristes, des ingénieurs, des biologistes, des financiers, des administrateurs…
Comme son père SAADI Ahmed et son grand frère Mohamed SAADI, il est devenu à la suite du décès de ce dernier, l’inamovible imam de la Mosquée de Mtsangani de Moroni. Il ne ratait pratiquement pas les cinq prières quotidiennes, surtout la prière matinale de l’Assoubh. D’ailleurs il était devenu malgré lui, le témoin et 1er spectateur des coups et tentatives de coup d’Etat qui ont endeuillé ce pays en raison de ses déplacements de l’aube. De nature très calme et réservée, il se sentait aussi bien à l’aise avec les jeunes de la place publique de Mtsangani à Moroni qu’avec les notables de sa trempe.
Ismaël SAADI père était cultivé. Il a effectué ses études à Madagascar sur un financement de son grand frère, l’un des premiers infirmiers d’Etat des Comores, ancien Consul de France à Zanzibar, Soule SAADI. Il aimait son pays et s’est toujours soucié de la détérioration de la vie sociale. Il pestait contre les régimes en place qui détournaient les fond publics et ne faisaient rien pour améliorer la vie des citoyens. Il était un lecteur assidu des journaux nationaux, surtout le Journal Al Watwan, qu’il a su conserver la quasi-totalité des numéros publiés depuis sa création. Il était aussi un auditeur attentif des radios locales et internationales, un fan du foot ball, et surtout du championnat français du Foot ball et de l’équipe de Paris Saint Germain.
Père de 8 enfants dont 1 seul garçon qui porte le même prénom que lui, il a veillé à leur éducation et a su leur transmettre les préceptes de l’intégrité, du respect d’autrui et de l’amour de la religion.
Paix à son âme.
Ismaël SAADI père, était le benjamin des enfants de feu SAADI AHMED et de Waziri Abderemane, tous les deux originaires de Moroni, mais disposant d’ascendance à Mde pour le premier du cote du père, Ahmed Boina et de Mbeni pour la seconde du cote du père également. Avec ses 7 autres frères et sœurs, Ismaël SAADI père, ont donné à ce pays, des géologues, des sages-femmes, des infirmiers, des diplomates, des professeurs, des juristes, des ingénieurs, des biologistes, des financiers, des administrateurs…
Comme son père SAADI Ahmed et son grand frère Mohamed SAADI, il est devenu à la suite du décès de ce dernier, l’inamovible imam de la Mosquée de Mtsangani de Moroni. Il ne ratait pratiquement pas les cinq prières quotidiennes, surtout la prière matinale de l’Assoubh. D’ailleurs il était devenu malgré lui, le témoin et 1er spectateur des coups et tentatives de coup d’Etat qui ont endeuillé ce pays en raison de ses déplacements de l’aube. De nature très calme et réservée, il se sentait aussi bien à l’aise avec les jeunes de la place publique de Mtsangani à Moroni qu’avec les notables de sa trempe.
Ismaël SAADI père était cultivé. Il a effectué ses études à Madagascar sur un financement de son grand frère, l’un des premiers infirmiers d’Etat des Comores, ancien Consul de France à Zanzibar, Soule SAADI. Il aimait son pays et s’est toujours soucié de la détérioration de la vie sociale. Il pestait contre les régimes en place qui détournaient les fond publics et ne faisaient rien pour améliorer la vie des citoyens. Il était un lecteur assidu des journaux nationaux, surtout le Journal Al Watwan, qu’il a su conserver la quasi-totalité des numéros publiés depuis sa création. Il était aussi un auditeur attentif des radios locales et internationales, un fan du foot ball, et surtout du championnat français du Foot ball et de l’équipe de Paris Saint Germain.
Père de 8 enfants dont 1 seul garçon qui porte le même prénom que lui, il a veillé à leur éducation et a su leur transmettre les préceptes de l’intégrité, du respect d’autrui et de l’amour de la religion.
Paix à son âme.
Par comoresdroit