Quatre ressortissants des îles Comores et deux Syriens figurent parmi les 15 islamistes jugés aux Emirats arabes unis pour notamment appa...
Quatre ressortissants des îles Comores et deux Syriens figurent parmi les 15 islamistes jugés aux Emirats arabes unis pour notamment appartenance au Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, a rapporté mercredi la presse.
Les huit autres membres du groupe sont des Emiratis, a ajouté la presse au lendemain d’une nouvelle audience de la Haute cour fédérale d’Abou Dhabi, qui a fixé la prochaine au 19 octobre.
Le procès s’était ouvert le 8 septembre mais la nationalité des 16 accusés n’avait pas encore été révélée.
Quatre membres du groupe, des Emiratis, sont jugés par contumace, ont indiqué les journaux.
Les prévenus sont poursuivis pour appartenance et financement du Front Al-Nosra et d’Ahrar Al-Cham, "deux organisations terroristes (...), qui dépendent du réseau Al-Qaïda", ainsi que pour la fabrication d’explosifs, selon l’acte d’accusations.
Selon le quotidien Al-Ittihad d’Abou Dhabi, un témoin à charge a affirmé mardi devant la Haute cour que "deux accusés avaient suivi une formation militaire assurée par Daech", acronyme arabe de l’organisation Etat islamique (EI), cible d’une campagne de frappes aériennes menées par les Etats-Unis en Irak et en Syrie et à laquelle participe l’armée de l’air des Emirats.
Les Emirats arabes unis, riche pays pétrolier du Golfe, ont renforcé leur répression de toute dissidence sur fond d’hostilité aux groupes islamistes radicaux comme Al-Qaïda et à la confrérie des Frères musulmans, qui était au pouvoir en Égypte. Avec clicanoo.re
Les huit autres membres du groupe sont des Emiratis, a ajouté la presse au lendemain d’une nouvelle audience de la Haute cour fédérale d’Abou Dhabi, qui a fixé la prochaine au 19 octobre.
Le procès s’était ouvert le 8 septembre mais la nationalité des 16 accusés n’avait pas encore été révélée.
Quatre membres du groupe, des Emiratis, sont jugés par contumace, ont indiqué les journaux.
Les prévenus sont poursuivis pour appartenance et financement du Front Al-Nosra et d’Ahrar Al-Cham, "deux organisations terroristes (...), qui dépendent du réseau Al-Qaïda", ainsi que pour la fabrication d’explosifs, selon l’acte d’accusations.
Selon le quotidien Al-Ittihad d’Abou Dhabi, un témoin à charge a affirmé mardi devant la Haute cour que "deux accusés avaient suivi une formation militaire assurée par Daech", acronyme arabe de l’organisation Etat islamique (EI), cible d’une campagne de frappes aériennes menées par les Etats-Unis en Irak et en Syrie et à laquelle participe l’armée de l’air des Emirats.
Les Emirats arabes unis, riche pays pétrolier du Golfe, ont renforcé leur répression de toute dissidence sur fond d’hostilité aux groupes islamistes radicaux comme Al-Qaïda et à la confrérie des Frères musulmans, qui était au pouvoir en Égypte. Avec clicanoo.re