L'engagement politique, c'est d'abord l'honnêteté envers soi-même et envers les autres. Il n'est pas question de s...
L'engagement politique, c'est d'abord l'honnêteté envers soi-même et envers les autres. Il n'est pas question de s'affubler de l'apparence du parti JUWA pour être un membre du parti JUWA. Tous les jours, sur le terrain, nous prenons des engagements avec les militants pour construire un parti de valeurs digne de ce nom, un parti qui ne soit pas un conglomérat d'individus qui n'ont rien en partage que des arrangements pour le pouvoir. C'est un parti de progrès que nous voulons construire et l'une de ses ressorts, c'est la démocratie. A l'échelle du pays, la démocratie est le pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple. A l'échelle du parti, ce sont les militants qui tranchent...
C'est cela une de nos valeurs au parti JUWA. Ceux qui ne sont pas capables de se plier à cet exercice ne sont pas du parti JUWA et ne peuvent utiliser notre étiquette... Nos militants sont las des trahisons! Nos militants veulent de la sincérité et de l'engagement. Ils sont convaincus que le parti qui se propose de promouvoir les idées de SAMBI a un rôle déterminant à jouer pour donner de l'espoir et changer à terme les choses aux Comores. Mais en même temps, ils souhaitent exercer un droit de vigilance et ne tolèrent plus l'opportunisme politique. La formule retenue au parti, c'est la primaire pour désigner les candidats! Donner la voix aux militants. C'est une première et même tous les partis qui partage cette valeur de démocratie auraient dû faire de même.
Ceux qui ne peuvent pas parler aux militants, parce qu'ils ont tourné le dos à ceux-ci parlent d'éviction dans la désignation des candidats et ont enfreint les règles du parti. Un membre du parti ne peut s'arroger le droit de désigner à lui seul des candidats et les investir au nom du parti. Ceux qui ne sont pas désignés par le parti doivent avoir l'honnêteté de dire qui les a investis. Les manœuvres ont commencé! Ceux qui n'acceptent pas les règles du parti JUWA sont bien contents de porter l'étiquette du parti et expliquent que c'est une stratégie entre Sambi et Anisse. Que tout le monde sache que le parti JUWA est entrain de se construire sur des valeurs. Les manigances n'ont pas leur place au parti JUWA. La règle veut que quand on est du parti JUWA, on respecte la discipline du parti, les règles définies, et surtout qu'on apporte quelque chose au parti. L'investissement! C'est quoi l'investissement? Mobiliser autour de nos valeurs, mais ce n'est pas tout: Défendre nos valeurs, notre politique qui est l'héritage légué par Sambi, l'espoir laissé par celui-ci. Bien malin qui pourra nous dire que Dhulkamal investi par Anisse, l'inamovible commissaire à la réputation sulfureuse, ancien repenti du séparatisme anjouanais, proche de Mjamaé a défendu la politique de Sambi, hier et aujourd'hui! Je l'ai rencontré, il y a quelques jours: il a dit comme Anisse qu'il a un bilan de trois à défendre! Pourquoi n'attend-il pas 2016 pour défendre ce bilan? Bien malin qui pourra nous dire que le célèbre séparatiste A.Mohamed de Wani a défendu un jour la continuité, l'héritage de Sambi.
Cet ancien CRC investi aujourd'hui par Anisse est l'homme qui a cherché à faire capoter le deuxième tour des élections de président et de gouverneurs en 2009. Il a été au démembrement de Dzouani proposant des millions à des membres pour obtenir de ce dernier des listes doublons de membres de bureaux de vote éditées à l'échelle d'Anjouan contrairement à la loi, dans l'optique de provoquer la confusion le dimanche du scrutin. C'est l'ami de Boléro qui a fait partie d'une délégation comorienne partie en France pour initier des accords dont on ne connait pas la teneur. Boléro me confia après avoir critiqué le mode de composition de la délégation et sa légitimité que c'est le gouverneur Anisse qui l'a proposé, et en aucun cas, ce n'est ni Ikililou ni lui qui s'est permis de choisir un représentant anjouanais. Bien malin qui pourra nous dire quand la grande gueule légendaire du temps de Sambi a défendu la continuité de sa politique? Mohamed Anfane est surtout connu pour être un directeur inamovible pourtant mêlé dans une histoire de falsification de timbres. Anisse le sait! Puisque la femme de celui tenu pour le bouc émissaire est venu clamer l'innocence de son mari au cours d'une fête devant le gouverneur faisant scandale qui ne l'honore pas.
L'opportuniste Mohamed Anfane est connu pour ses relations privilégiées avec Boléro, l'ennemi du peuple. C'est lui l'artisan du rapprochement mal vécu par l'électorat Sambiste qui a voté pour Anisse entre celui-ci et Boléro, l'ennemi du peuple. Qui n'a pas entendu parler du Voulé entre ces gens-là à Shissiwani? Quand j'ai interrogé Anisse sur le sujet! Il a tout simplement boudé! Qui est Lookmann? Commissaire importé de France comme si Anisse ne pouvait pas trouver dans la région un défenseur de la politique de Sambi, de la continuité sur laquelle il a été élu. Qui est Dahililou Omar investi à la cuvette? Un monsieur comme cela... Sans envergure. Qui est Mohamed Rachad investi par Anisse comme conseiller de l'île à la cuvette? Un juwa de circonstance, un monsieur qui a défié sambi jusqu'au débarquement! Un monsieur qui est venu me voir chez moi pour l'aider à avoir l'investiture. Je lui ai dit: Vous êtes la quatrième personne à venir me voir. Au parti JUWA, ce sont les militants qui tranchent. Comme aux autres, je lui ai ajouté: retourne à Tsembéhou, voir les militants. Il n'a pas été investi par les militants, mais par un omnipotent gouverneur!!!
Qui est Moussoid investi Bambao Mtsanga? Un ancien CRC qui a combattu Sambi en 2009, reconverti sambiste par Anisse pour la circonstance, mais les militants vigilants ne sont pas dupes et ils ne l'ont pas investi. L'omnipotent gouverneur l'a fait. Alors Anisse n'a pas de problème avec Sambi. A ma connaissance, c'est un ami de Sambi jusqu'à preuve du contraire. Il a un problème avec l'électorat sambi qui l'avait choisi en 2009. Cet électorat s'est trouvé marginalisé par les décisions d'Anisse et sa pratique du pouvoir. Mais Anisse qui marche sur les traces de Nourdine Bourhane n'a pas non plus compris ce que le pouvoir du peuple. Il pense peut-être que son amitié avec Sambi suffise et que la voix du peuple, la voix de militants ne compte pas. Si j'étais l'ami de Sambi comme Anisse, je serais le premier à promouvoir les valeurs de démocratie qui sont chères à lui.
C'est cela une de nos valeurs au parti JUWA. Ceux qui ne sont pas capables de se plier à cet exercice ne sont pas du parti JUWA et ne peuvent utiliser notre étiquette... Nos militants sont las des trahisons! Nos militants veulent de la sincérité et de l'engagement. Ils sont convaincus que le parti qui se propose de promouvoir les idées de SAMBI a un rôle déterminant à jouer pour donner de l'espoir et changer à terme les choses aux Comores. Mais en même temps, ils souhaitent exercer un droit de vigilance et ne tolèrent plus l'opportunisme politique. La formule retenue au parti, c'est la primaire pour désigner les candidats! Donner la voix aux militants. C'est une première et même tous les partis qui partage cette valeur de démocratie auraient dû faire de même.
Ceux qui ne peuvent pas parler aux militants, parce qu'ils ont tourné le dos à ceux-ci parlent d'éviction dans la désignation des candidats et ont enfreint les règles du parti. Un membre du parti ne peut s'arroger le droit de désigner à lui seul des candidats et les investir au nom du parti. Ceux qui ne sont pas désignés par le parti doivent avoir l'honnêteté de dire qui les a investis. Les manœuvres ont commencé! Ceux qui n'acceptent pas les règles du parti JUWA sont bien contents de porter l'étiquette du parti et expliquent que c'est une stratégie entre Sambi et Anisse. Que tout le monde sache que le parti JUWA est entrain de se construire sur des valeurs. Les manigances n'ont pas leur place au parti JUWA. La règle veut que quand on est du parti JUWA, on respecte la discipline du parti, les règles définies, et surtout qu'on apporte quelque chose au parti. L'investissement! C'est quoi l'investissement? Mobiliser autour de nos valeurs, mais ce n'est pas tout: Défendre nos valeurs, notre politique qui est l'héritage légué par Sambi, l'espoir laissé par celui-ci. Bien malin qui pourra nous dire que Dhulkamal investi par Anisse, l'inamovible commissaire à la réputation sulfureuse, ancien repenti du séparatisme anjouanais, proche de Mjamaé a défendu la politique de Sambi, hier et aujourd'hui! Je l'ai rencontré, il y a quelques jours: il a dit comme Anisse qu'il a un bilan de trois à défendre! Pourquoi n'attend-il pas 2016 pour défendre ce bilan? Bien malin qui pourra nous dire que le célèbre séparatiste A.Mohamed de Wani a défendu un jour la continuité, l'héritage de Sambi.
Cet ancien CRC investi aujourd'hui par Anisse est l'homme qui a cherché à faire capoter le deuxième tour des élections de président et de gouverneurs en 2009. Il a été au démembrement de Dzouani proposant des millions à des membres pour obtenir de ce dernier des listes doublons de membres de bureaux de vote éditées à l'échelle d'Anjouan contrairement à la loi, dans l'optique de provoquer la confusion le dimanche du scrutin. C'est l'ami de Boléro qui a fait partie d'une délégation comorienne partie en France pour initier des accords dont on ne connait pas la teneur. Boléro me confia après avoir critiqué le mode de composition de la délégation et sa légitimité que c'est le gouverneur Anisse qui l'a proposé, et en aucun cas, ce n'est ni Ikililou ni lui qui s'est permis de choisir un représentant anjouanais. Bien malin qui pourra nous dire quand la grande gueule légendaire du temps de Sambi a défendu la continuité de sa politique? Mohamed Anfane est surtout connu pour être un directeur inamovible pourtant mêlé dans une histoire de falsification de timbres. Anisse le sait! Puisque la femme de celui tenu pour le bouc émissaire est venu clamer l'innocence de son mari au cours d'une fête devant le gouverneur faisant scandale qui ne l'honore pas.
L'opportuniste Mohamed Anfane est connu pour ses relations privilégiées avec Boléro, l'ennemi du peuple. C'est lui l'artisan du rapprochement mal vécu par l'électorat Sambiste qui a voté pour Anisse entre celui-ci et Boléro, l'ennemi du peuple. Qui n'a pas entendu parler du Voulé entre ces gens-là à Shissiwani? Quand j'ai interrogé Anisse sur le sujet! Il a tout simplement boudé! Qui est Lookmann? Commissaire importé de France comme si Anisse ne pouvait pas trouver dans la région un défenseur de la politique de Sambi, de la continuité sur laquelle il a été élu. Qui est Dahililou Omar investi à la cuvette? Un monsieur comme cela... Sans envergure. Qui est Mohamed Rachad investi par Anisse comme conseiller de l'île à la cuvette? Un juwa de circonstance, un monsieur qui a défié sambi jusqu'au débarquement! Un monsieur qui est venu me voir chez moi pour l'aider à avoir l'investiture. Je lui ai dit: Vous êtes la quatrième personne à venir me voir. Au parti JUWA, ce sont les militants qui tranchent. Comme aux autres, je lui ai ajouté: retourne à Tsembéhou, voir les militants. Il n'a pas été investi par les militants, mais par un omnipotent gouverneur!!!
Qui est Moussoid investi Bambao Mtsanga? Un ancien CRC qui a combattu Sambi en 2009, reconverti sambiste par Anisse pour la circonstance, mais les militants vigilants ne sont pas dupes et ils ne l'ont pas investi. L'omnipotent gouverneur l'a fait. Alors Anisse n'a pas de problème avec Sambi. A ma connaissance, c'est un ami de Sambi jusqu'à preuve du contraire. Il a un problème avec l'électorat sambi qui l'avait choisi en 2009. Cet électorat s'est trouvé marginalisé par les décisions d'Anisse et sa pratique du pouvoir. Mais Anisse qui marche sur les traces de Nourdine Bourhane n'a pas non plus compris ce que le pouvoir du peuple. Il pense peut-être que son amitié avec Sambi suffise et que la voix du peuple, la voix de militants ne compte pas. Si j'étais l'ami de Sambi comme Anisse, je serais le premier à promouvoir les valeurs de démocratie qui sont chères à lui.
Par Ahmed Bourhane