La femme la plus riche du Nigeria, FolorunshoAlakija, a révélé qu’elle n’était pas allée à l’université, en insistant sur le fait que l’é...
La femme la plus riche du Nigeria, FolorunshoAlakija, a révélé qu’elle n’était pas allée à l’université, en insistant sur le fait que l’éducation formelle ne fait pas partie des conditions pour réussir dans la vie.
Alakija, businesswoman qui pèse 2,6 milliards de dollars selon les estimations du magazine Forbes, aurait fait cette révélation jeudi avant-dernier, en répondant aux étudiants de l’Université de Lagos lors d’une cérémonie à l’occasion du Jour de la Jeunesse Internationale des Nations Unies édition 2014.
« J’ai 63 ans et ma carrière est en plein essor. Alors, quelle est votre excuse? Je ne suis jamais allée à l’Université et je suis fière de le dire parce que je ne pense pas qu’il y ait eu un impact particulièrement négatif », a-t-elle déclaré.
La femme d’affaires nigériane a expliqué aux élèves que si un diplôme universitaire est important et peut améliorer de façon significative ses perspectives dans la vie, le travail acharné et la persévérance sont les outils les plus cruciaux pour le succès.
« Vous n’êtes pas obligés de décrocher un diplôme universitaire pour être en mesure de réussir. Toutefois estimez-vous privilégiés d’ajouter cette plume à votre chapeau » a déclaré Alakija.
Alakija a étudié dans la filière du secrétariat puis du stylisme à Londres quand elle était jeune, et est ensuite retournée au Nigeria pour travailler comme secrétaire dans une banque commerciale.
Elle a ensuite fondé SupremeStitches, une entreprise qui répondait aux besoins d’une clientèle aisée, y compris ceux de l’ancienne première dame du Nigéria, MaryamBabangida.
En 1993, elle a acquis une licence de prospection pétrolière qui lui a permis d’avoir les droits sur un territoire lucratif dans les eaux côtières du Nigéria. Son entreprise, FamfaOil, détient maintenant des actions à hauteur de 60% dans le domaine du pétrole.
Alakija est également la fondatrice de « La Rose de la Fondation Sharon », qui fournit un soutien aux orphelins et aux veuves.
Source : lentrepreneuriat.net
Alakija, businesswoman qui pèse 2,6 milliards de dollars selon les estimations du magazine Forbes, aurait fait cette révélation jeudi avant-dernier, en répondant aux étudiants de l’Université de Lagos lors d’une cérémonie à l’occasion du Jour de la Jeunesse Internationale des Nations Unies édition 2014.
« J’ai 63 ans et ma carrière est en plein essor. Alors, quelle est votre excuse? Je ne suis jamais allée à l’Université et je suis fière de le dire parce que je ne pense pas qu’il y ait eu un impact particulièrement négatif », a-t-elle déclaré.
La femme d’affaires nigériane a expliqué aux élèves que si un diplôme universitaire est important et peut améliorer de façon significative ses perspectives dans la vie, le travail acharné et la persévérance sont les outils les plus cruciaux pour le succès.
« Vous n’êtes pas obligés de décrocher un diplôme universitaire pour être en mesure de réussir. Toutefois estimez-vous privilégiés d’ajouter cette plume à votre chapeau » a déclaré Alakija.
Alakija a étudié dans la filière du secrétariat puis du stylisme à Londres quand elle était jeune, et est ensuite retournée au Nigeria pour travailler comme secrétaire dans une banque commerciale.
Elle a ensuite fondé SupremeStitches, une entreprise qui répondait aux besoins d’une clientèle aisée, y compris ceux de l’ancienne première dame du Nigéria, MaryamBabangida.
En 1993, elle a acquis une licence de prospection pétrolière qui lui a permis d’avoir les droits sur un territoire lucratif dans les eaux côtières du Nigéria. Son entreprise, FamfaOil, détient maintenant des actions à hauteur de 60% dans le domaine du pétrole.
Alakija est également la fondatrice de « La Rose de la Fondation Sharon », qui fournit un soutien aux orphelins et aux veuves.
Source : lentrepreneuriat.net