On nous répète souvent qu’il y’a pas de sous métiers ou de travail qui ne mérite pas salaire. Certes de telles allégations ne sont pas faus...
On nous répète souvent qu’il y’a pas de sous métiers ou de travail qui ne mérite pas salaire. Certes de telles allégations ne sont pas fausses, mais nous nous sommes posés la question de savoir pourquoi les africains (noirs en particuliers puisque les autres se disent magrébins et ne souhaitent pas se rapprocher des noirs) occupent presque toujours certains secteurs d’activités jugés moins valeureux. Très probablement, la raison se trouve dans leur mentalité. Il est vrai qu’il existe un racisme et une discrimination ouverte dans la plupart des pays occidentaux mais ceux-ci n’expliquent pas tout. A côté du racisme et surtout de ce que les sociologues appellent la « discrimination indirecte », les noirs s’adonnent en général vers les tâches qu’ils considèrent comme étant naturellement les leurs. Par exemple, le fait de nettoyer les rues ou de balayer les marchés ou encore de faire le gardiennage. Si vous prenez un blanc et un noir, toutes choses égales par ailleurs, et que vous les présentiez deux postes de travail, le noir ira systématiquement vers celui qui paraît comme étant le plus dégradant. Dans sa tête, il se dit plus apte à effectuer une telle tâche ou que c’est plus facile pour lui d’être embaucher dans ce secteur.
D’un côté, il faut souligner le fait que l’égalité des droits n’est pas encore une réalité dans les pays européens. Il y’a encore des secteurs « sous réserves » en dépit des grands discours politiciens. Les administrations et certains domaines tels que les banques ou les postes politiques de responsabilité etc.… sont prisés par les « européens de souche ». On y rencontre parfois un ou deux noirs mais cela ne veut dire qu’il y’a intégration. C’est plutôt un moyen de convoquer un argument au cas où… C’est ainsi qu’on peut trouver un présentateur (vedette) dans une grande chaine de télévision ou de radio par-ci ou encore un ministre (figurant) par-là.
Récemment, les enquêtes effectuées par les sociologues démontrent que si le racisme recule de plus en plus, les préjugés demeurent encore. On ne tue ou n’agresse certes plus de noirs dans les rues comme cela se faisait d’antan mais on n’accepte toujours pas de les voir occuper certains postes. Aucun noir n’est par exemple « grand leader » d’un parti politique en Europe. Et on continue de dire à un noir qui présente son CV, comme le rapporte certaines enquêtes sociologiques, «Nous, on n’est pas raciste mais ce sont nos clients qui souhaitent un personnel de ce genre ». Et si on vous tient un tel discours dans un restaurant, il faut sous-entendre que c’est parce que le noir pue que les clients ne veulent pas de lui. Il faut appeler le chat par son nom. Tout le monde pue. Qui ne se lave pas pue (qu’il soit arabe ou chinois). Mais certains continuent de croire que cette puanteur est l’apanage du nègre. Bref, on peut citer mille exemples. Ce qui est important ici, c’est de souligner les « non-dits » et les raisons latentes qu’on ose à peine dire.
Mais comme nous l’avons soulevé au tout début, l’explication fondamentale est à chercher dans la mentalité des africains eux-mêmes. C’est parce qu’ils ne s’estiment pas dignes d’occuper des postes de responsabilité, qu’ils ruent massivement vers les secteurs les plus « délaissés ». Même si ce constat ne s’applique pas à tous les africains, force est de souligner que la plupart pensent de manière aliénée. Ce qui est dommageable, c’est que la population africaine qui se trouve en Occident constitue en général la « crème » du continent africain. Ils sont diplômés de haut niveau, étudiants ou ingénieurs. Ils préfèrent balayer les rues européennes que d’être fonctionnaires chez eux ou encore s’investir par rapport à leurs expériences universitaires dans la vie active.
Avec Malao Kanté
D’un côté, il faut souligner le fait que l’égalité des droits n’est pas encore une réalité dans les pays européens. Il y’a encore des secteurs « sous réserves » en dépit des grands discours politiciens. Les administrations et certains domaines tels que les banques ou les postes politiques de responsabilité etc.… sont prisés par les « européens de souche ». On y rencontre parfois un ou deux noirs mais cela ne veut dire qu’il y’a intégration. C’est plutôt un moyen de convoquer un argument au cas où… C’est ainsi qu’on peut trouver un présentateur (vedette) dans une grande chaine de télévision ou de radio par-ci ou encore un ministre (figurant) par-là.
Récemment, les enquêtes effectuées par les sociologues démontrent que si le racisme recule de plus en plus, les préjugés demeurent encore. On ne tue ou n’agresse certes plus de noirs dans les rues comme cela se faisait d’antan mais on n’accepte toujours pas de les voir occuper certains postes. Aucun noir n’est par exemple « grand leader » d’un parti politique en Europe. Et on continue de dire à un noir qui présente son CV, comme le rapporte certaines enquêtes sociologiques, «Nous, on n’est pas raciste mais ce sont nos clients qui souhaitent un personnel de ce genre ». Et si on vous tient un tel discours dans un restaurant, il faut sous-entendre que c’est parce que le noir pue que les clients ne veulent pas de lui. Il faut appeler le chat par son nom. Tout le monde pue. Qui ne se lave pas pue (qu’il soit arabe ou chinois). Mais certains continuent de croire que cette puanteur est l’apanage du nègre. Bref, on peut citer mille exemples. Ce qui est important ici, c’est de souligner les « non-dits » et les raisons latentes qu’on ose à peine dire.
Mais comme nous l’avons soulevé au tout début, l’explication fondamentale est à chercher dans la mentalité des africains eux-mêmes. C’est parce qu’ils ne s’estiment pas dignes d’occuper des postes de responsabilité, qu’ils ruent massivement vers les secteurs les plus « délaissés ». Même si ce constat ne s’applique pas à tous les africains, force est de souligner que la plupart pensent de manière aliénée. Ce qui est dommageable, c’est que la population africaine qui se trouve en Occident constitue en général la « crème » du continent africain. Ils sont diplômés de haut niveau, étudiants ou ingénieurs. Ils préfèrent balayer les rues européennes que d’être fonctionnaires chez eux ou encore s’investir par rapport à leurs expériences universitaires dans la vie active.
Avec Malao Kanté