Il y a deux sortes de dettes, I : Le déficit commercial c'est la différence entre les achats et les ventes à l'étranger II : L...
Il y a deux sortes de dettes,
I : Le déficit commercial c'est la différence entre les achats et les ventes à l'étranger
II : La dette publique : c'est l'argent que le pays emprunte aux fonds monétaire international (OFMI) pour assurer ses dépenses lorsqu'elles excèdent les recettes, souvent c'est des dépenses sociales et de fonctionnements ), sur lesquelles le pays paie des intérêts; dans certains cas le OFMI peut décider d'annuler cette dette pour éviter que les intérêts pèsent trop lourd dans l'économie d'un pays, pour finir tous les pays donnent de l'argent au OFMI pour constituer cette réserve d'argent en fonction de leur richesse c'est de la mutuelle à l'échelle mondial.
I : Le déficit commercial c'est la différence entre les achats et les ventes à l'étranger
II : La dette publique : c'est l'argent que le pays emprunte aux fonds monétaire international (OFMI) pour assurer ses dépenses lorsqu'elles excèdent les recettes, souvent c'est des dépenses sociales et de fonctionnements ), sur lesquelles le pays paie des intérêts; dans certains cas le OFMI peut décider d'annuler cette dette pour éviter que les intérêts pèsent trop lourd dans l'économie d'un pays, pour finir tous les pays donnent de l'argent au OFMI pour constituer cette réserve d'argent en fonction de leur richesse c'est de la mutuelle à l'échelle mondial.
C'est quoi la dette publique?
Tous les états ou presque ont des dettes ; c'est même souvent les états des pays les plus riches qui sont le plus endettés. Tout simplement parce que les créanciers leur font confiance et leur prêtent donc à des taux très bas, ce qui permet de financer leur budget à bon compte.
Car un état ne rembourse en principe jamais sa dette : ayant une durée de vie réputée infinie (sauf révolution, banqueroute...), il peut se contenter de payer les intérêts et, lorsqu'une créance arrive à échéance, faire de nouveaux emprunts pour rembourser le capital. En fait, grâce à l'inflation et à la croissance économique, une dette perd chaque année un peu de sa valeur ; donc, si la dette publique restait constante en valeur absolue, sa valeur réelle s'éteindrait d'elle même en quelques dizaines d'année (un milliard d'euros en 2057 vaudra beaucoup moins que le milliard d'euros de 2007). Il faut surtout éviter que la dette prenne des proportions dangereuses par rapport à la richesse du pays, d'où les fameux critères de Maastricht : pas plus de 60% du PIB pour la dette, pas plus de 3% du PIB pour le déficit (déficit budgétaire = accroissement de la dette publique sur un an).
Qui sont les créanciers des états ? Lorsque l'état français (par exemple) emprunte, il le fait sous forme d'obligations (les OAT : obligations assimilables du trésor) qui donnent droit à celui qui les achète à percevoir un coupon (les intérêts) chaque année, et à se faire rembourser le capital au bout d'une durée fixée (souvent 10 ans). Se sont les investisseurs institutionnels (banques, compagnies d'assurance, fonds divers) qui les achètent, et les "revendent" à leurs clients sous forme de produits d'épargne (SICAV, assurance vie...). Donc si tu as de l'assurance vie ou des SICAV obligataires, tu es indirectement créancier de l'état français, ou d'autres états.
Quant à savoir si c'est bien ou mal d'avoir des dettes, ça dépend surtout de ce qu'on fait de l'argent emprunté : s'endetter pour acheter sa maison ça peut être mieux que de rester locataire ; si c'est pour manger ou s'habiller, c'est plus gênant. Pareil pour un état : s'endetter pour investir dans la recherche ou les infrastructures de transport, ça peut être un choix judicieux ; faire des dettes pour payer les fonctionnaires ou les intérêts de la dette, ça devient problématique.
Car un état ne rembourse en principe jamais sa dette : ayant une durée de vie réputée infinie (sauf révolution, banqueroute...), il peut se contenter de payer les intérêts et, lorsqu'une créance arrive à échéance, faire de nouveaux emprunts pour rembourser le capital. En fait, grâce à l'inflation et à la croissance économique, une dette perd chaque année un peu de sa valeur ; donc, si la dette publique restait constante en valeur absolue, sa valeur réelle s'éteindrait d'elle même en quelques dizaines d'année (un milliard d'euros en 2057 vaudra beaucoup moins que le milliard d'euros de 2007). Il faut surtout éviter que la dette prenne des proportions dangereuses par rapport à la richesse du pays, d'où les fameux critères de Maastricht : pas plus de 60% du PIB pour la dette, pas plus de 3% du PIB pour le déficit (déficit budgétaire = accroissement de la dette publique sur un an).
Qui sont les créanciers des états ? Lorsque l'état français (par exemple) emprunte, il le fait sous forme d'obligations (les OAT : obligations assimilables du trésor) qui donnent droit à celui qui les achète à percevoir un coupon (les intérêts) chaque année, et à se faire rembourser le capital au bout d'une durée fixée (souvent 10 ans). Se sont les investisseurs institutionnels (banques, compagnies d'assurance, fonds divers) qui les achètent, et les "revendent" à leurs clients sous forme de produits d'épargne (SICAV, assurance vie...). Donc si tu as de l'assurance vie ou des SICAV obligataires, tu es indirectement créancier de l'état français, ou d'autres états.
Quant à savoir si c'est bien ou mal d'avoir des dettes, ça dépend surtout de ce qu'on fait de l'argent emprunté : s'endetter pour acheter sa maison ça peut être mieux que de rester locataire ; si c'est pour manger ou s'habiller, c'est plus gênant. Pareil pour un état : s'endetter pour investir dans la recherche ou les infrastructures de transport, ça peut être un choix judicieux ; faire des dettes pour payer les fonctionnaires ou les intérêts de la dette, ça devient problématique.