Dans un article du 1er Aout 2014 paru sur le site du journal lexpress.mu , on peut lire en titre « Escroquerie via Facebook : après les Nigé...
Dans un article du 1er Aout 2014 paru sur le site du journal lexpress.mu, on peut lire en titre « Escroquerie via Facebook : après les Nigérians les Comoriens».
Les réseaux sociaux, dont notamment Facebook, Google+, MySpace, Twitter et Linkedin offrent un espace d’échange rapide et facile entre leurs utilisateurs. Des millions de messages sont quotidiennement postés à des degrés de confidentialité différents sur des messageries internes ou sur des toiles publiques (notamment le fameux mur de Facebook).
Dans la mesure où la création de profils ou comptes d’utilisateur est particulièrement facile sur les réseaux sociaux, il arrive que des personnes ouvrent des profils sous de fausses identités. Il y a d’un côté le recours à des pseudonymes, de l’autre l’utilisation de l’identité d’autrui ( une personne d'un même ou d'un autre au bout du monde) . C’est surtout cette deuxième hypothèse qui pose problème, en ce qu’elle peut aboutir à une véritable usurpation d’identité .
A côté de la création d’un profil en utilisant le nom d’autrui, on peut constater de plus en plus d’accès frauduleux au profil créé par son propriétaire légitime. Ces accès frauduleux peuvent aboutir à une véritable reprise de l’identité numérique d’autrui.
Pour pouvoir s’inscrire sur un réseau social, il faut généralement disposer d’une adresse e-mail valable. Les autres informations peuvent être librement renseignées par l’utilisateur. Ce système d’inscription – avantageux de par sa simplicité – présente l’inconvénient qu’il ne permet qu’une identification incomplète des utilisateurs. La création d’un profil frauduleux est dès lors particulièrement facile, d’autant plus que de nombreux fournisseurs proposent des adresses e-mail gratuites qui peuvent également être ouvertes très facilement.
A l’heure actuelle, les paramètres de confidentialité des réseaux sociaux sont configurés pour permettre une communication très large des noms attribués aux profils. Autrement dit, le nom choisi pour un profil constitue l’élément clé pour rechercher (et retrouver) celui-ci. En pratique, il y a lieu de constater que les personnes qui créent des profils au nom d’autrui en font un usage très étendu. Ils se créent notamment des listes d’amis sur Facebook et entrent ainsi en contact avec les connaissances de la personne dont ils ont pris l’identité.
La rédaction
Irchad Abdallah
Ci dessous des captures d'écran de l'article en question :
Les réseaux sociaux, dont notamment Facebook, Google+, MySpace, Twitter et Linkedin offrent un espace d’échange rapide et facile entre leurs utilisateurs. Des millions de messages sont quotidiennement postés à des degrés de confidentialité différents sur des messageries internes ou sur des toiles publiques (notamment le fameux mur de Facebook).
Dans la mesure où la création de profils ou comptes d’utilisateur est particulièrement facile sur les réseaux sociaux, il arrive que des personnes ouvrent des profils sous de fausses identités. Il y a d’un côté le recours à des pseudonymes, de l’autre l’utilisation de l’identité d’autrui ( une personne d'un même ou d'un autre au bout du monde) . C’est surtout cette deuxième hypothèse qui pose problème, en ce qu’elle peut aboutir à une véritable usurpation d’identité .
A côté de la création d’un profil en utilisant le nom d’autrui, on peut constater de plus en plus d’accès frauduleux au profil créé par son propriétaire légitime. Ces accès frauduleux peuvent aboutir à une véritable reprise de l’identité numérique d’autrui.
Pour pouvoir s’inscrire sur un réseau social, il faut généralement disposer d’une adresse e-mail valable. Les autres informations peuvent être librement renseignées par l’utilisateur. Ce système d’inscription – avantageux de par sa simplicité – présente l’inconvénient qu’il ne permet qu’une identification incomplète des utilisateurs. La création d’un profil frauduleux est dès lors particulièrement facile, d’autant plus que de nombreux fournisseurs proposent des adresses e-mail gratuites qui peuvent également être ouvertes très facilement.
A l’heure actuelle, les paramètres de confidentialité des réseaux sociaux sont configurés pour permettre une communication très large des noms attribués aux profils. Autrement dit, le nom choisi pour un profil constitue l’élément clé pour rechercher (et retrouver) celui-ci. En pratique, il y a lieu de constater que les personnes qui créent des profils au nom d’autrui en font un usage très étendu. Ils se créent notamment des listes d’amis sur Facebook et entrent ainsi en contact avec les connaissances de la personne dont ils ont pris l’identité.
La rédaction
Commentaire d'un internaute :
Super torchon de la part de lexpress.mu
Vous n'êtes pas sans savoir que pour créer un vrai et/ou un faux compte Facebook, on ne vous demande pas votre pièce d'identité encore moins votre certificat de nationalité. Ensuite argumenter sa charge juste en ayant visualisé quelques comptes Facebook avec des soi-disants patronymes très prisés chez les comoriens relève plus de la mauvaise foi que du journalisme.
Pouvez vous nous confirmer avoir localisé les adresses IP des contrevenants? Je suis sûr que non puisque, je vais vous l'apprendre, aux Comores, les transactions bancaires électroniques sont inexistantes. Je vous demanderais donc de retirer votre chiffon et surtout de respecter ce métier noble qu'est le journalisme.
Irchad Abdallah
Ci dessous des captures d'écran de l'article en question :