Annoncé aux quatre coins de l’Europe et libre de tout contrat, Samuel Eto’o n’a pourtant signé nulle part jusqu’à présent. Sa gourmandise sa...
Annoncé aux quatre coins de l’Europe et libre de tout contrat, Samuel Eto’o n’a pourtant signé nulle part jusqu’à présent. Sa gourmandise salariale pourrait bien en être l’explication…
Dans quel club évoluera Samuel Eto’o cette saison ? A moins d’avoir
un don divinatoire, difficile de répondre à cette question avec
certitude. Courtisé, le Camerounais l’est incontestablement. Même à 33
ans, ou plus pour ceux qui souhaitent emboiter le pas à José Mourinho
qui avait ironisé sur l’âge réel de l’attaquant il y a quelques mois.
Mais pour l’instant, force est de constater qu’il ne s’est engagé nulle
part et que les pistes s’envolent les unes après les autres. Ainsi,
début août, les contacts noués avec la Juventus Turin se sont
brutalement arrêtés avec la déclaration de Beppe Marotta, le directeur
sportif de la Vieille Dame : «Avec tout le respect que nous avons pour ce champion, il ne représente pas le profil que nous recherchons.»
Quelques jours plus tard, l’Ajax Amsterdam mettait également un terme aux pourparlers. D’autres noms de clubs, tels que West Ham, Monaco ou Wolfsburg, furent avancés, sans qu’il soit possible de démêler le vrai du faux. Et aujourd’hui, il semblerait que Liverpool soit la dernière formation à renoncer au Camerounais. Autant d’échecs qui poussent forcément à s’interroger. Surtout concernant un joueur connu et reconnu par tous, ce qui signifie que lorsque la Juventus ou Liverpool se résignent à le faire venir, il semble peu probable que cela soit dû à des raisons sportives. Autrement dit, libre comme l’air depuis la fin de sa collaboration avec Chelsea, où l’a remplacé un certain Didier Drogba, de trois ans son aîné pourtant, Eto’o véhicule l’image d’un joueur désireux de signer LE dernier gros contrat de sa carrière. Avec un appétit considérable.
Rien de surprenant au sujet d’un joueur qui était le mieux payé au monde il y a un peu plus d’un an, lorsqu’il percevait 20 millions d’euros à l’Anzhi Makachkala. Et même à Londres la saison dernière, il continuait d’émarger entre 7 et 8 millions d’euros selon les sources. Du côté d’Amsterdam, certaines langues se sont déliées et ont évoqué des desideratas du Camerounais s’élevant à au moins 3 millions d’euros, avec un contrat d’au moins deux ans. Un investissement considérable pour un joueur clairement sur le déclin. Surtout pour des formations qui n’appartiennent pas à l’élite financière du Vieux Continent. Et si même Liverpool, aux moyens nettement plus recommandables, se met également à abdiquer, il y a de quoi s’inquiéter, à ce tarif-là, pour la fin de carrière d’Eto’o…Par Cédric Callier,sport24lefigaro.fr
Quelques jours plus tard, l’Ajax Amsterdam mettait également un terme aux pourparlers. D’autres noms de clubs, tels que West Ham, Monaco ou Wolfsburg, furent avancés, sans qu’il soit possible de démêler le vrai du faux. Et aujourd’hui, il semblerait que Liverpool soit la dernière formation à renoncer au Camerounais. Autant d’échecs qui poussent forcément à s’interroger. Surtout concernant un joueur connu et reconnu par tous, ce qui signifie que lorsque la Juventus ou Liverpool se résignent à le faire venir, il semble peu probable que cela soit dû à des raisons sportives. Autrement dit, libre comme l’air depuis la fin de sa collaboration avec Chelsea, où l’a remplacé un certain Didier Drogba, de trois ans son aîné pourtant, Eto’o véhicule l’image d’un joueur désireux de signer LE dernier gros contrat de sa carrière. Avec un appétit considérable.
Rien de surprenant au sujet d’un joueur qui était le mieux payé au monde il y a un peu plus d’un an, lorsqu’il percevait 20 millions d’euros à l’Anzhi Makachkala. Et même à Londres la saison dernière, il continuait d’émarger entre 7 et 8 millions d’euros selon les sources. Du côté d’Amsterdam, certaines langues se sont déliées et ont évoqué des desideratas du Camerounais s’élevant à au moins 3 millions d’euros, avec un contrat d’au moins deux ans. Un investissement considérable pour un joueur clairement sur le déclin. Surtout pour des formations qui n’appartiennent pas à l’élite financière du Vieux Continent. Et si même Liverpool, aux moyens nettement plus recommandables, se met également à abdiquer, il y a de quoi s’inquiéter, à ce tarif-là, pour la fin de carrière d’Eto’o…