UN CONSTATATION GRAVE POUVANT NUIRE SERIEUSEMENT A LA RENAISSANCE DE L’ÉCONOMIE MALGACHE! Les évènements qui se sont succédés depuis une hu...
UN CONSTATATION GRAVE POUVANT NUIRE SERIEUSEMENT A LA RENAISSANCE DE L’ÉCONOMIE MALGACHE!
En outre, un autre groupe de trafiquants planifie des embarquements qui proviennent de leur dépôt de la commune d'Antanambe Mananara Nord, ce 26 juin, d'après toujours une alerte adressée aux ONG engagées dans la protection de l'environnement. De même, tous les stocks du côté de Soanierana Ivongo vont tous aussi être embarqués à partir de la nuit du 24, 25 et 26 juin.
Des simples citoyens tirent la sonnette d'alarme. Mais, pour le moment, il n'y a pas de véritable réaction vigoureuse de la part des autorités. Le régime est-il réellement prêt à lancer la lutte contre ce trafic ? Les trafiquants vont naturellement profiter de la fête nationale du 26 juin et des préparatifs des festivités pour exporter d'importantes cargaisons de bois de rose.
En réalité, la véritable lutte contre ce fléau n'a pas vraiment commencé. Il n'y a eu que des gesticulations qui n'ont pas permis de juguler ni même de réduire le trafic de bois de rose dans le pays. Des noms de personnalités connues du grand public ont été cités dans des rapports divers, mais aucun d'entre ces trafiquants notoires n'a été interpellé.
Depuis 2009, des milliers de containers de bois de rose avaient été exportés illégalement d'après un responsable de l'Alliance Voahary gasy, mais pratiquement rien n'a été fait pour stopper les magouilles. La situation est grave actuellement, car les trafiquants ont trouvé les moyens de procéder à de nouvelle coupe. Ces opérations s'effectuent jusqu'au niveau des réserves naturelles. Il n'est donc pas seulement question d'écouler les stocks qui encombrent certains hangars mais la destruction des forêts primaires malgaches se poursuit dans le même temps.
Il n'y a pas que le trafic de bois de rose et d'autres bois précieux qui représente toutefois un vrai danger pour la Grande Ile. Car des experts ont récemment soutenu que si la déforestation se poursuit dans son rythme actuel, Madagascar deviendra un pays désertique dans une vingtaine, voire une quinzaine d'années. Une catastrophe pour la future génération.
Ce qui est en train de se passer aujourd'hui semble ainsi justifier toutes les accusations de fraudes lors des dernières élections. Une fois de plus, la démocratie, à travers les élections truquées, a servi de moyen pour placer des personnages impopulaires sur le trône.
C'est ainsi que moins de six mois après son avènement au pouvoir, Hery Rajaonarimampianina et son équipe sont vilipendés par leurs opposants. A chaque occasion, ils sont critiqués. La moindre maladresse constitue une opportunité pour les détracteurs de s'attaquer aux dirigeants actuels, tout aussi imprudents qu'incompétents.
Et quand un ministre des Affaires étrangères d'un gouvernement aux abois joue au funambule pour se justifier d'un refus du retour de Marc Ravalomanana au pays, il n'y a rien d'étonnant qu'une frange importante de l'opinion publique se retourne contre ce régime déjà très fragile.
Les maladresses se succèdent ainsi et les conséquences arrivent très vite. Dans le même temps, on ne constate aucun résultat probant sur le terrain. Le président de la République s'est contenté d'effet d'annonce depuis des mois. Tous les maux qui ont miné le pays continuent à sévir : l'insécurité n'est pas maîtrisée, la corruption est toujours présente partout, les délestages continuent, l'économie a du mal à décoller, les trafics de bois de rose n'ont pas été stoppés et les dirigeants sont toujours aussi dépensiers. Il n'est pas étonnant s'ils se trouvent désormais sur le banc des accusés."
Les évènements qui se sont succédés depuis une huitaine de jours nous font constatés que des Organismes internationaux comme le GIS-M,puis les bailleurs de fonds de références, méconnaissent totalement le dossier de la résolution de la crise de Madagascar ou bien disons le ouvertement ils prennent Madagascar pour un "Pays hors zone" et toujours sous le couvert d'un langage diplomatique. C'est honteux, pourquoi ne pas reconnaître que les milliards dépensés pour ces élections qui pourtant auraient dues régulariser cette crise, n'ont servis à rien, bien au contraire à préparer un avenir plus noir que ce n'était, car là on vous pousse à agir en inconscients, voyez les nombreux exemples dans ce monde de violences.
Je vous laisse lire l'excellent article du quotidien La Nation à Madagascar, je n'ai rien à rajouter il est clair, précis et mérite d'être repris à l'International.
Les exportations de bois de rose se poursuivent en ce moment même dans la partie Nord-Est de Madagascar.
Un bateau d'une capacité de 400 tonnes embarque des bois de rose, près de Cap Est.Comme d'habitude, il n'y aura aucune arrestation, ni de véritable interpellation. D'après des sources locales, qui venaient d'alerter ainsi des organisations pour la défense de l'environnement, c'est un bateau en bois, d'une capacité de 400 tonnes, qui reçoit des cargaisons de bois de rose de la part de petites embarcations d'environ 50 tonnes à Cap est. Les mêmes sources spécifient que ce bateau provenait d'un pays africain mais on ignore la destination des bois de rose embarqués depuis au moins quatre jours.
En outre, un autre groupe de trafiquants planifie des embarquements qui proviennent de leur dépôt de la commune d'Antanambe Mananara Nord, ce 26 juin, d'après toujours une alerte adressée aux ONG engagées dans la protection de l'environnement. De même, tous les stocks du côté de Soanierana Ivongo vont tous aussi être embarqués à partir de la nuit du 24, 25 et 26 juin.
Des simples citoyens tirent la sonnette d'alarme. Mais, pour le moment, il n'y a pas de véritable réaction vigoureuse de la part des autorités. Le régime est-il réellement prêt à lancer la lutte contre ce trafic ? Les trafiquants vont naturellement profiter de la fête nationale du 26 juin et des préparatifs des festivités pour exporter d'importantes cargaisons de bois de rose.
En réalité, la véritable lutte contre ce fléau n'a pas vraiment commencé. Il n'y a eu que des gesticulations qui n'ont pas permis de juguler ni même de réduire le trafic de bois de rose dans le pays. Des noms de personnalités connues du grand public ont été cités dans des rapports divers, mais aucun d'entre ces trafiquants notoires n'a été interpellé.
Depuis 2009, des milliers de containers de bois de rose avaient été exportés illégalement d'après un responsable de l'Alliance Voahary gasy, mais pratiquement rien n'a été fait pour stopper les magouilles. La situation est grave actuellement, car les trafiquants ont trouvé les moyens de procéder à de nouvelle coupe. Ces opérations s'effectuent jusqu'au niveau des réserves naturelles. Il n'est donc pas seulement question d'écouler les stocks qui encombrent certains hangars mais la destruction des forêts primaires malgaches se poursuit dans le même temps.
Il n'y a pas que le trafic de bois de rose et d'autres bois précieux qui représente toutefois un vrai danger pour la Grande Ile. Car des experts ont récemment soutenu que si la déforestation se poursuit dans son rythme actuel, Madagascar deviendra un pays désertique dans une vingtaine, voire une quinzaine d'années. Une catastrophe pour la future génération.
est malheureusement pas le souci des trafiquants et des dirigeants du pays.s dirigeants sur le banc des accusés"
Et puis pour appuyer ma note personnelle en début de blog, voici encore un excellent article du quotidien La Nation, qui vous démontre que le Gouvernement actuel est à la merci d'un revirement total de la population d'abord, puis de la Communauté Internationale ensuite.
Jamais, dans l'histoire politique du pays, un régime n'a connu en si peu de temps de sévère traitement comme celui de Hery Rajaonarimampianina. L'opinion publique n'est guère tendre à l'endroit des nouveaux dirigeants. La moindre erreur de la part des tenants du pouvoir est exploitée à fond par leurs adversaires. Mais il n'y a pas grand monde pour défendre la cause de ce régime complètement cloué au pilori. Car, en vérité, depuis le début, il n'y avait jamais eu « le peuple » derrière Hery Rajaonarimampianina.
Tout ce qui s'est passé depuis son investiture, le 25 janvier dernier, justifie l'impopularité d'un président qui, il faut le rappeler, n'avait obtenu que 15% des suffrages lors du premier tour de l'élection présidentielle de fin 2013. Le stade de Mahamasina clairsemé, le jour de l'investiture, l'obligation de recourir à la force et au paiement d'indemnités pour s'assurer du remplissage du même stade, lors de la célébration de la fête nationale du 26 juin, et les critiques acerbes dont fait l'objet les dirigeants, à chaque occasion, constituent une preuve irréfutable de l'impopularité de ce régime.
Ce qui est en train de se passer aujourd'hui semble ainsi justifier toutes les accusations de fraudes lors des dernières élections. Une fois de plus, la démocratie, à travers les élections truquées, a servi de moyen pour placer des personnages impopulaires sur le trône.
C'est ainsi que moins de six mois après son avènement au pouvoir, Hery Rajaonarimampianina et son équipe sont vilipendés par leurs opposants. A chaque occasion, ils sont critiqués. La moindre maladresse constitue une opportunité pour les détracteurs de s'attaquer aux dirigeants actuels, tout aussi imprudents qu'incompétents.
Quand le Premier ministre Kolo Roger affirme, par exemple, que « la compagnie aérienne nationale Air Madagascar a été détruite par ses dirigeants durant cinq ans », il avait oublié que le président du Conseil d'administration a été l'actuel président de la République lui-même. Rien d'étonnant si les deux hommes font l'objet, par la suite, d'une attaque en règle dans les médias et dans les coulisses politiques.
Et quand un ministre des Affaires étrangères d'un gouvernement aux abois joue au funambule pour se justifier d'un refus du retour de Marc Ravalomanana au pays, il n'y a rien d'étonnant qu'une frange importante de l'opinion publique se retourne contre ce régime déjà très fragile.
Les maladresses se succèdent ainsi et les conséquences arrivent très vite. Dans le même temps, on ne constate aucun résultat probant sur le terrain. Le président de la République s'est contenté d'effet d'annonce depuis des mois. Tous les maux qui ont miné le pays continuent à sévir : l'insécurité n'est pas maîtrisée, la corruption est toujours présente partout, les délestages continuent, l'économie a du mal à décoller, les trafics de bois de rose n'ont pas été stoppés et les dirigeants sont toujours aussi dépensiers. Il n'est pas étonnant s'ils se trouvent désormais sur le banc des accusés."
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.