Des heurts avec les forces de l'ordre ont éclaté près de la place de la Bastille, au moment de la dissolution d'une manifestation en...
Des heurts avec les forces de l'ordre ont éclaté près de la place de la Bastille, au moment de la dissolution d'une manifestation en soutien aux Palestiniens.
Des heurts avec les forces de l'ordre ont éclaté dimanche après-midi à Paris, près de la place de la Bastille, au moment de la dissolution d'une manifestation en soutien aux Palestiniens et à la population de Gaza. Le cortège de plusieurs milliers de personnes était parti en début d'après-midi de la station de métro Barbès et a descendu dans le calme le boulevard Magenta en direction de la place de la République puis de la Bastille.
Mais quand la tête du cortège est arrivée à la place de la Bastille, des heurts ont éclaté avec un cordon de forces de l'ordre massé sur le boulevard Beaumarchais. Des projectiles ont commencé à voler en direction des policiers et des gendarmes, qui ont répliqué à coups de grenades lacrymogènes. Les heurts se poursuivaient à 18 heures. Auparavant, le cortège avait défilé derrière une grande banderole qui affichait "Soutien total à la lutte du peuple palestinien".
La foule, très jeune et féminine, scandait des slogans comme : "Nous sommes tous des Palestiniens !", "Israël assassin !" ou "Une seule solution, fin de l'occupation !". De nombreux manifestants portaient à bout de bras des pancartes sur lesquelles ils avaient collé des photos, tirées de sites web, représentant des enfants palestiniens tués ou blessés, des maisons rasées ou des champignons de fumée montant de quartiers de Gaza bombardés.
"Je suis venu pour dire non à ce massacre", dit Amid Hamadouch, 30 ans, un autocollant "Boycott d'Israël, État raciste" sur son blouson. "Ils bombardent des innocents. Il y a certes des missiles lancés du côté du Hamas, mais la riposte israélienne est disproportionnée. Ils attaquent la population civile et non les responsables du Hamas." À côté de lui défile un groupe de jeunes filles voilées portant des panneaux sur lesquels elles ont écrit : "Nous ne demandons que la justice", "Résister est un droit" ou "Les Palestiniens ne partiront pas, ils sont chez eux".
Des heurts avec les forces de l'ordre ont éclaté dimanche après-midi à Paris, près de la place de la Bastille, au moment de la dissolution d'une manifestation en soutien aux Palestiniens et à la population de Gaza. Le cortège de plusieurs milliers de personnes était parti en début d'après-midi de la station de métro Barbès et a descendu dans le calme le boulevard Magenta en direction de la place de la République puis de la Bastille.
Mais quand la tête du cortège est arrivée à la place de la Bastille, des heurts ont éclaté avec un cordon de forces de l'ordre massé sur le boulevard Beaumarchais. Des projectiles ont commencé à voler en direction des policiers et des gendarmes, qui ont répliqué à coups de grenades lacrymogènes. Les heurts se poursuivaient à 18 heures. Auparavant, le cortège avait défilé derrière une grande banderole qui affichait "Soutien total à la lutte du peuple palestinien".
"Nous sommes tous des Palestiniens !"
La foule, très jeune et féminine, scandait des slogans comme : "Nous sommes tous des Palestiniens !", "Israël assassin !" ou "Une seule solution, fin de l'occupation !". De nombreux manifestants portaient à bout de bras des pancartes sur lesquelles ils avaient collé des photos, tirées de sites web, représentant des enfants palestiniens tués ou blessés, des maisons rasées ou des champignons de fumée montant de quartiers de Gaza bombardés.
"Je suis venu pour dire non à ce massacre", dit Amid Hamadouch, 30 ans, un autocollant "Boycott d'Israël, État raciste" sur son blouson. "Ils bombardent des innocents. Il y a certes des missiles lancés du côté du Hamas, mais la riposte israélienne est disproportionnée. Ils attaquent la population civile et non les responsables du Hamas." À côté de lui défile un groupe de jeunes filles voilées portant des panneaux sur lesquels elles ont écrit : "Nous ne demandons que la justice", "Résister est un droit" ou "Les Palestiniens ne partiront pas, ils sont chez eux".