Nous n’avons jamais fait des critiques contre ceux qui nous gouvernent juste pour le plaisir de les fustiger, et à chaque fois que nous con...
Nous n’avons jamais fait des critiques contre ceux qui nous gouvernent juste pour le plaisir de les fustiger, et à chaque fois que nous constatons que les choses ont été bien faites par des autorités agissant en bons pères de famille, nous ne tardons pas à le reconnaître. L’objectivité, la déontologie et le professionnalisme l’imposent car notre tâche ne doit pas s’apparenter à un déferlement de haine et de dénigrement systématique. De même, quand un groupe d’hommes se comporte très mal et de manière injuste envers le Président Ikililou Dhoinine, dont nous critiquons la gouvernance, malgré nos origines communes, nous ne saurions nous solidariser avec des gens qui sont dans l’erreur et dans le néant. Il n’y a pas de solidarité objective par simple haine, en tout cas pas sur ce site. C’est pour cela que depuis le début de cette affaire insensée et stupide dite «Hamada Madi Boléro-Notables de Grande-Comore», nous nous demandons toujours où sont passés les intellectuels, les hommes et les femmes justes et normaux pour dire à ces «notables» autoproclamés qu’exiger en public d’un Chef d’État qu’il se débarrasse de son premier collaborateur pour leur faire plaisir n’est pas leur rôle et n’est ni républicain, ni démocratique. Tous les appels à la sagesse qui ont été faits dans ce sens sont restés vains. Et lorsqu’à Mitsamiouli, ce samedi 28 juin 2014, Saïd Hassane Saïd Hachim s’arrogea le droit de déclarer que les Grands-Comoriens ne doivent plus assister à la Fête nationale du 6-Juillet, toutes les personnes sérieuses avaient compris que les limites du raisonnable, du tolérable et de l’acceptable avaient été largement dépassées. Par la suite, lors de l’accueil historique que les Comoriens réservèrent au Président Ikililou Dhoinine à l’Aéroport international de Hahaya le lundi 30 juin 2014, les «mauvais garçons» (le mot est de Mohamed Soilihi) ont été désavoués par le peuple comorien.
Mais, voilà que par les hasards du calendrier, les dates du 30 juin et du 6 juillet ne sont pas éloignées. Et, comme à l’accoutumée, 48 heures avant la célébration de la Fête nationale du 6-Juillet, donc chaque 4 juillet comme hier, la Présidence de la République, en collaboration avec le Département du Mufti, a organisé à la Mosquée Al Qasm de Moroni, une grande manifestation religieuse à la mémoire de tous ceux qui sont décédés après avoir pris une part très active dans la lutte pour l’indépendance et l’émancipation des Comores et dans l’œuvre d’édification d’un État viable et moderne aux Comores: les anciens chefs d’État décédés, les ministres, les Députés, les conseillers, les hommes et les femmes, tous citoyens des Comores.
Et puisque Saïd Hassane Saïd Hachim avait déclaré à Mitsamiouli que les Grands-comoriens n’iraient plus là où le Président Ikililou Dhoinine serait, à commencer par la Fête nationale du 6-Juillet, la population l’a désavoué une seconde fois, et de manière cinglante, après la première humiliation publique qu’elle lui a infligé par l’accueil triomphal de Hahaya, le lundi 30 juin 2014. Et c’est ainsi que la Grande Mosquée Al Qasm de Moroni Gobadjou, pour la première fois, était pleine à craquer. Les notables de Moroni, dont certains étaient vus à Mitsamiouli, le samedi 28 juin 2014, à savoir: Salim Abdourazak, Abdallah Mohamed Soifeine, Issihaka Abdourazak, et tous les autres, en plus de ceux qui étaient à Hahaya le 30 juin comme Nassor Halifa, étaient bien présents à la Mosquée, et avec l’élégance vestimentaire et morale moronienne qu’on leur connaît, pour accueillir dignement le Président Ikililou Dhoinine à la mosquée. On a même vu un des «mauvais garçons» les plus hargneux se dégouliner en salamalecs devant Hamada Madi Boléro comme s’il ne cherchait pas sa mort politique par un limogeage injuste et immérité. Dans le cas des vrais notables, on peut dire qu’ils ont accompli un geste républicain correspondant à surtout un geste de bon sens et de décence qui en dit long sur la suite de cette affaire insensée créée de toutes pièces par calcul politique par les crypto-sambistes, toujours obsédés par leur volonté de voir le Président Ikililou Dhoinine se débarrasser de Hamada Madi Boléro, son collaborateur le plus méritant et compétent, son ami depuis 1970, un homme à qui il fait une confiance entièrement méritée.
Le geste constaté à la Mosquée Al Qasm de Moroni tranche singulièrement avec le positionnement fanatique de certaines personnalités qui gagneraient à imiter les notables de Moroni, qui se sont désormais rangés du côté des véritables notables de Ngazidja qui ont refusé d’humilier le Chef d’Etat, fût-il un «Petit Président issu de la Plus Petite Île, Mohéli», un «PPPIM».
Il reste maintenant à savoir comment contenir la colère des deux «Ahmed», Ahmed Hassane El Barwane et Ahmed Abdallah Salim, eux qui ont juré devant le troisième Ahmed, Ahmed Sambi, qu’ils maîtriseraient Moroni et ses notables, oubliant justement que des personnalités comme Abdallah Mohamed Soiféine, Salim Abdourazak et tous les autres ont le sens de la dignité et ne peuvent se tromper, car ils ne sont pas dupes sur ce qui se trame sur instigation d’Ahmed Sambi et des crypto-sambistes. Une présence a été particulièrement remarquée, celle du grand notable de Ntsoudjini, l’irremplaçable Kadjadja. De l’avis de tout le monde, sa présence sur les lieux, notamment en raison de son âge et de son charisme naturel, ont rehaussé la beauté et le prestige de la cérémonie, rappelant aux morts-nés qu’ils ont échoué dans leur tentative de déstabilisation du Président Ikililou Dhoinine, uniquement parce qu’il est de Mohéli. Notre père à tous qu’est le grand dignitaire Kadjadja n’était pas à la Mosquée Al Qasm par hasard, loin s’en faut. Il a accompli un geste très symbolique, notamment pour remettre à leur place ceux qui ont des prétentions démesurées.
En tout état de cause, le clou de la cérémonie a été le discours du Grand Mufti de la République, qui a lancé à l’assistance: «Beaucoup de pays souffrent de divisions causées par des hommes irresponsables. La Somalie n’a même plus d’État à cause des divisions causées par des hommes sans scrupules. Des pays comme l’Afghanistan, l’Irak, la Syrie et d’autres souffrent à cause des divisions causées par les hommes. Nous ne voulons pas de ces divisions dans notre pays. Nous ne voulons ni de divisions, ni de guerre aux Comores. Et que Dieu éloigne de notre pays tous les gens qui veulent y apporter la division et la haine!». Le «Amen!» que lança l’assistance en écho à la prière du Grand Mufti aurait pu faire fondre la banquise tant il était fort, et là aussi, c’est un désaveu des «mauvais garçons», car tout le monde avait compris que le Grand Mufti les fustigeait sans les nommer. Ce qui est une forme de mépris que tous les spécialistes en communication connaissent fort bien.
Il ne reste plus qu’à demander aux «mauvais garçons» s’ils vont aller jusqu’au bout de leur projet insensé d’organisation d’un soulèvement populaire à la fin du mois sacré du Ramadan, pour déstabiliser puis renverser le Président Ikililou Dhoinine. Il reste également à leur demander s’ils n’ont pas encore compris que le peuple les a vomis et n’est pas prêt à se plier aux ordres de desperados en manque d’aventures et qui veulent faire mourir tout un pays par leur politique de la terre brûlée.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 4 juillet 2014.
Mais, voilà que par les hasards du calendrier, les dates du 30 juin et du 6 juillet ne sont pas éloignées. Et, comme à l’accoutumée, 48 heures avant la célébration de la Fête nationale du 6-Juillet, donc chaque 4 juillet comme hier, la Présidence de la République, en collaboration avec le Département du Mufti, a organisé à la Mosquée Al Qasm de Moroni, une grande manifestation religieuse à la mémoire de tous ceux qui sont décédés après avoir pris une part très active dans la lutte pour l’indépendance et l’émancipation des Comores et dans l’œuvre d’édification d’un État viable et moderne aux Comores: les anciens chefs d’État décédés, les ministres, les Députés, les conseillers, les hommes et les femmes, tous citoyens des Comores.
Et puisque Saïd Hassane Saïd Hachim avait déclaré à Mitsamiouli que les Grands-comoriens n’iraient plus là où le Président Ikililou Dhoinine serait, à commencer par la Fête nationale du 6-Juillet, la population l’a désavoué une seconde fois, et de manière cinglante, après la première humiliation publique qu’elle lui a infligé par l’accueil triomphal de Hahaya, le lundi 30 juin 2014. Et c’est ainsi que la Grande Mosquée Al Qasm de Moroni Gobadjou, pour la première fois, était pleine à craquer. Les notables de Moroni, dont certains étaient vus à Mitsamiouli, le samedi 28 juin 2014, à savoir: Salim Abdourazak, Abdallah Mohamed Soifeine, Issihaka Abdourazak, et tous les autres, en plus de ceux qui étaient à Hahaya le 30 juin comme Nassor Halifa, étaient bien présents à la Mosquée, et avec l’élégance vestimentaire et morale moronienne qu’on leur connaît, pour accueillir dignement le Président Ikililou Dhoinine à la mosquée. On a même vu un des «mauvais garçons» les plus hargneux se dégouliner en salamalecs devant Hamada Madi Boléro comme s’il ne cherchait pas sa mort politique par un limogeage injuste et immérité. Dans le cas des vrais notables, on peut dire qu’ils ont accompli un geste républicain correspondant à surtout un geste de bon sens et de décence qui en dit long sur la suite de cette affaire insensée créée de toutes pièces par calcul politique par les crypto-sambistes, toujours obsédés par leur volonté de voir le Président Ikililou Dhoinine se débarrasser de Hamada Madi Boléro, son collaborateur le plus méritant et compétent, son ami depuis 1970, un homme à qui il fait une confiance entièrement méritée.
Le geste constaté à la Mosquée Al Qasm de Moroni tranche singulièrement avec le positionnement fanatique de certaines personnalités qui gagneraient à imiter les notables de Moroni, qui se sont désormais rangés du côté des véritables notables de Ngazidja qui ont refusé d’humilier le Chef d’Etat, fût-il un «Petit Président issu de la Plus Petite Île, Mohéli», un «PPPIM».
Il reste maintenant à savoir comment contenir la colère des deux «Ahmed», Ahmed Hassane El Barwane et Ahmed Abdallah Salim, eux qui ont juré devant le troisième Ahmed, Ahmed Sambi, qu’ils maîtriseraient Moroni et ses notables, oubliant justement que des personnalités comme Abdallah Mohamed Soiféine, Salim Abdourazak et tous les autres ont le sens de la dignité et ne peuvent se tromper, car ils ne sont pas dupes sur ce qui se trame sur instigation d’Ahmed Sambi et des crypto-sambistes. Une présence a été particulièrement remarquée, celle du grand notable de Ntsoudjini, l’irremplaçable Kadjadja. De l’avis de tout le monde, sa présence sur les lieux, notamment en raison de son âge et de son charisme naturel, ont rehaussé la beauté et le prestige de la cérémonie, rappelant aux morts-nés qu’ils ont échoué dans leur tentative de déstabilisation du Président Ikililou Dhoinine, uniquement parce qu’il est de Mohéli. Notre père à tous qu’est le grand dignitaire Kadjadja n’était pas à la Mosquée Al Qasm par hasard, loin s’en faut. Il a accompli un geste très symbolique, notamment pour remettre à leur place ceux qui ont des prétentions démesurées.
En tout état de cause, le clou de la cérémonie a été le discours du Grand Mufti de la République, qui a lancé à l’assistance: «Beaucoup de pays souffrent de divisions causées par des hommes irresponsables. La Somalie n’a même plus d’État à cause des divisions causées par des hommes sans scrupules. Des pays comme l’Afghanistan, l’Irak, la Syrie et d’autres souffrent à cause des divisions causées par les hommes. Nous ne voulons pas de ces divisions dans notre pays. Nous ne voulons ni de divisions, ni de guerre aux Comores. Et que Dieu éloigne de notre pays tous les gens qui veulent y apporter la division et la haine!». Le «Amen!» que lança l’assistance en écho à la prière du Grand Mufti aurait pu faire fondre la banquise tant il était fort, et là aussi, c’est un désaveu des «mauvais garçons», car tout le monde avait compris que le Grand Mufti les fustigeait sans les nommer. Ce qui est une forme de mépris que tous les spécialistes en communication connaissent fort bien.
Il ne reste plus qu’à demander aux «mauvais garçons» s’ils vont aller jusqu’au bout de leur projet insensé d’organisation d’un soulèvement populaire à la fin du mois sacré du Ramadan, pour déstabiliser puis renverser le Président Ikililou Dhoinine. Il reste également à leur demander s’ils n’ont pas encore compris que le peuple les a vomis et n’est pas prêt à se plier aux ordres de desperados en manque d’aventures et qui veulent faire mourir tout un pays par leur politique de la terre brûlée.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 4 juillet 2014.