1. La France est un partenaire commercial majeur des Comores D’après les statistiques du FMI de 2012 (celles de 2013 ne sont pas encore ...
1. La France est un partenaire commercial majeur des Comores
D’après les statistiques du FMI de 2012 (celles de 2013 ne sont pas encore connues), la France est le second fournisseur des Comores (14% de part du marché) derrière le Pakistan (17%) et devant les Emirats Arabes Unis (11%) et l’Inde (8%). Les exportations françaises (29,7M€) sont surtout constituées de produits industriels et agroalimentaires.
La France est le quatrième client des Comores après les Pays-Bas, Singapour et la Turquie. Ses achats représentent 5,7M€ (en hausse de 13%) et portent sur des huiles essentielles destinées à l’industrie de la parfumerie et des cosmétiques).
2. La France est un investisseur historique aux Comores
Les investissements français les plus significatifs sont l’un, ancien, dans le secteur bancaire avec la Banque pour l’Industrie et le Commerce des Comores (groupe BNP Paribas) et l’autre, plus récent, avec le groupe Bolloré Africa Logistics qui assure la gestion du port de Moroni.
La société Colas a réalisé de nombreux projets routiers et le groupe Lafarge devrait s’implanter prochainement.
Sont également présentes de nombreuses petites entreprises spécialisées dans le négoce des produits de vente ou dans l’importation de biens de consommation.
3. La France est le premier donneur net d’aide publique au développement
La France est en tête des bailleurs sur la période 2009-2013, avec 17.6% de l’aide publique au développement (APD). Ce chiffre monte à 20.8% pour l’année 2013 selon les chiffres du Commissariat Général au Plan. Derrière suivent l’Union Européenne, la Chine et les Emirats Arabes Unis avec respectivement 14.2%, 11.6% et 9.5% de l’APD sur la période 2009-13.
Les appuis de la France se concentrent notamment à travers des projets de l’Agence Française de Développement dans le domaine de l’eau et de la santé ainsi que par des actions de l’Ambassade en faveur de la langue française et de la gouvernance.
4. Les transferts de la diaspora comorienne en France représentent le quart du PIB des Comores
Les envois d’argent de la diaspora comorienne en France représentent plus de 100 millions d’euros par an (et probablement bien plus encore), soit environ 25% du PIB. Depuis la mise en œuvre en 2008 du premier projet de codéveloppement aux Comores, l’aide française s’attache à soutenir les initiatives portées par les migrants comoriens dans les domaines d’une part des activités génératrices de revenus au niveau communautaire, et d’autre part de l’accompagnement des initiatives économiques privées.
Publié le 16 juin 2014- Ambassade de France
D’après les statistiques du FMI de 2012 (celles de 2013 ne sont pas encore connues), la France est le second fournisseur des Comores (14% de part du marché) derrière le Pakistan (17%) et devant les Emirats Arabes Unis (11%) et l’Inde (8%). Les exportations françaises (29,7M€) sont surtout constituées de produits industriels et agroalimentaires.
La France est le quatrième client des Comores après les Pays-Bas, Singapour et la Turquie. Ses achats représentent 5,7M€ (en hausse de 13%) et portent sur des huiles essentielles destinées à l’industrie de la parfumerie et des cosmétiques).
2. La France est un investisseur historique aux Comores
Les investissements français les plus significatifs sont l’un, ancien, dans le secteur bancaire avec la Banque pour l’Industrie et le Commerce des Comores (groupe BNP Paribas) et l’autre, plus récent, avec le groupe Bolloré Africa Logistics qui assure la gestion du port de Moroni.
La société Colas a réalisé de nombreux projets routiers et le groupe Lafarge devrait s’implanter prochainement.
Sont également présentes de nombreuses petites entreprises spécialisées dans le négoce des produits de vente ou dans l’importation de biens de consommation.
3. La France est le premier donneur net d’aide publique au développement
La France est en tête des bailleurs sur la période 2009-2013, avec 17.6% de l’aide publique au développement (APD). Ce chiffre monte à 20.8% pour l’année 2013 selon les chiffres du Commissariat Général au Plan. Derrière suivent l’Union Européenne, la Chine et les Emirats Arabes Unis avec respectivement 14.2%, 11.6% et 9.5% de l’APD sur la période 2009-13.
Les appuis de la France se concentrent notamment à travers des projets de l’Agence Française de Développement dans le domaine de l’eau et de la santé ainsi que par des actions de l’Ambassade en faveur de la langue française et de la gouvernance.
4. Les transferts de la diaspora comorienne en France représentent le quart du PIB des Comores
Les envois d’argent de la diaspora comorienne en France représentent plus de 100 millions d’euros par an (et probablement bien plus encore), soit environ 25% du PIB. Depuis la mise en œuvre en 2008 du premier projet de codéveloppement aux Comores, l’aide française s’attache à soutenir les initiatives portées par les migrants comoriens dans les domaines d’une part des activités génératrices de revenus au niveau communautaire, et d’autre part de l’accompagnement des initiatives économiques privées.
Publié le 16 juin 2014- Ambassade de France