En compagnie du Directeur de Cabinet du ministre de l'intérieur monsieur Djalim et du directeur de l'Observatoire Volcanologique du...
En compagnie du Directeur de Cabinet du ministre de l'intérieur monsieur Djalim et du directeur de l'Observatoire Volcanologique du Kartala (OVK), Hamid Soulé, monsieur Saïd Maouche, expert de l'Unesco, a séjourné les 20 et 21 avril à Bandra la Mahalé - Anjouan. Au terme de sa mission, l'expert a été reçu ce lundi 21 en fin d'après-midi à Dar-Nadjah par le Gouverneur de l'île autonome de Ndzuwani son Excellence Anissi Chamsidine, puis par les membres de l'Exécutif insulaire. L'effondrement du village de Bandra la Mahalé a été au centre des discussions.
Devant la presse locale, l'expert a souligné qu'en dehors de « l'organisation parfaite » qui a été faite après le glissement, il s'est essentiellement intéressé aux détails par rapport à une « cartographie première de la zone ». Un premier rapport sera ainsi établi mais dores et déjà, il a partagé la zone en deux : « la zone exclusivement interdite d'occupation et ensuite délimité les zones les moins touchées ».
Par rapport aux différentes réunions tenues avec les responsables locaux, « y compris le Gouverneur », a-t-il précisé, l'expert de l'Unesco a constaté que les autorités ont été « véritablement des responsables par rapport à cette situation et manifesté leur bonne volonté de travailler dans le futur par l'obtention des cartes des aléas naturels tels que le glissement de terrain, les inondations, les tremblements de terre, etc. ». « A ce sujet, a-t-il ajouté, le Gouverneur Anissi Chamsidine a souhaité qu'on ne se limite pas uniquement de Mahalé mais qu'on travaille sur toute l'île par rapport à ce phénomène ».
Par ailleurs, il convient de rappeler que l'expert de l'Unesco, Saïd Maouche, de nationalité algérienne, a également salué le dynamisme des scientifiques locaux à vouloir « aller de l'avant ». Dar Nadjah
Devant la presse locale, l'expert a souligné qu'en dehors de « l'organisation parfaite » qui a été faite après le glissement, il s'est essentiellement intéressé aux détails par rapport à une « cartographie première de la zone ». Un premier rapport sera ainsi établi mais dores et déjà, il a partagé la zone en deux : « la zone exclusivement interdite d'occupation et ensuite délimité les zones les moins touchées ».
Par rapport aux différentes réunions tenues avec les responsables locaux, « y compris le Gouverneur », a-t-il précisé, l'expert de l'Unesco a constaté que les autorités ont été « véritablement des responsables par rapport à cette situation et manifesté leur bonne volonté de travailler dans le futur par l'obtention des cartes des aléas naturels tels que le glissement de terrain, les inondations, les tremblements de terre, etc. ». « A ce sujet, a-t-il ajouté, le Gouverneur Anissi Chamsidine a souhaité qu'on ne se limite pas uniquement de Mahalé mais qu'on travaille sur toute l'île par rapport à ce phénomène ».
Par ailleurs, il convient de rappeler que l'expert de l'Unesco, Saïd Maouche, de nationalité algérienne, a également salué le dynamisme des scientifiques locaux à vouloir « aller de l'avant ». Dar Nadjah
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