Les caisses de l’État sont de plus en plus vides ! Près de 13 000 agents de l’Etat n’ont toujours pas reçu leurs salaires du mois de m...
Les caisses de l’État sont de plus en plus vides !
Près de 13 000 agents de l’Etat n’ont toujours pas reçu leurs salaires du mois de mars 2014. C’est une première depuis l’accession au pouvoir du Dr Ikililou Dhoinine à la magistrature suprême qui avait assuré le paiement régulier des salaires des fonctionnaires de l’Etat à la fin de chaque mois. Depuis le début de l’année, la machine du paiement des salaires s’est grippée avec l’asséchement des fonds de la citoyenneté économique et surtout l’augmentation des indices des enseignants visant à mettre fin à la paralysie de l’enseignement public. Alors que les pays riches font des économies pour assainir leurs finances publiques, notre gouvernement se donne le luxe d’augmenter les dépenses publiques.
Pays placé en 6e position dans les 10 pires économies africaines, les autorités de notre pays tardent à prendre les mesures d’austérité visant à améliorer la situation économique du pays. Elles continuent de lâcher du lest dans la maitrise de la masse salariale. Des dépenses de l’Etat qui continuent d’augmenter tandis que les recettes ne suivent pas. Les missions des services du Fonds monétaire international encouragent constamment nos autorités à redoubler d’efforts pour redresser la situation budgétaire, mais le gouvernement ne prend pas les mesures de grande ampleur qui s’imposent pour accroitre les recettes intérieure et maîtriser des dépenses. Des recettes intérieures qui sont plombées par cette corruption insolente qui gangrène l’économie du pays. Unecorruption qui est devenue une véritable menace pour la stabilité et la sécurité du pays et qui sape les institutions et les valeurs démocratiques, les valeurs éthiques et la justice et compromet le développement durable et l'état de droit. Elle ralentit considérablement le développement économique en décourageant les investissements directs à l'étranger et en plaçant les petites entreprises dans l'impossibilité de surmonter les « coûts initiaux » liés à la corruption.
Le Président de le l'Union avait souligné lors de son discours d'investiture de mai 2011 « l'importance de mettre en œuvre, une lutte sans merci contre les pratiques du favoritisme et les passe-droits, sources de frustration et de découragement et de mettre en œuvre, une lutte implacable contre la corruption dont les effets contribuent à saper gravement le sens et le goût de l'effort ».Bien que la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption soit mise en place depuis 2011, celle-ci est devenue une coquille vide, inefficace qui assiste impuissante au détournement des bien de l’Etat. Normal que les caisses soient vides ! Par comoresdroit (sans l' image ni le titre )
Pays placé en 6e position dans les 10 pires économies africaines, les autorités de notre pays tardent à prendre les mesures d’austérité visant à améliorer la situation économique du pays. Elles continuent de lâcher du lest dans la maitrise de la masse salariale. Des dépenses de l’Etat qui continuent d’augmenter tandis que les recettes ne suivent pas. Les missions des services du Fonds monétaire international encouragent constamment nos autorités à redoubler d’efforts pour redresser la situation budgétaire, mais le gouvernement ne prend pas les mesures de grande ampleur qui s’imposent pour accroitre les recettes intérieure et maîtriser des dépenses. Des recettes intérieures qui sont plombées par cette corruption insolente qui gangrène l’économie du pays. Unecorruption qui est devenue une véritable menace pour la stabilité et la sécurité du pays et qui sape les institutions et les valeurs démocratiques, les valeurs éthiques et la justice et compromet le développement durable et l'état de droit. Elle ralentit considérablement le développement économique en décourageant les investissements directs à l'étranger et en plaçant les petites entreprises dans l'impossibilité de surmonter les « coûts initiaux » liés à la corruption.
Le Président de le l'Union avait souligné lors de son discours d'investiture de mai 2011 « l'importance de mettre en œuvre, une lutte sans merci contre les pratiques du favoritisme et les passe-droits, sources de frustration et de découragement et de mettre en œuvre, une lutte implacable contre la corruption dont les effets contribuent à saper gravement le sens et le goût de l'effort ».Bien que la Commission Nationale de Prévention et de Lutte contre la Corruption soit mise en place depuis 2011, celle-ci est devenue une coquille vide, inefficace qui assiste impuissante au détournement des bien de l’Etat. Normal que les caisses soient vides ! Par comoresdroit (sans l' image ni le titre )