Le dérapage de trop du Directeur de cabinet. Dans sa dernière émission télécommandée avec le journali ste Ben Abdou Said et diffusée à...
Le dérapage de trop du Directeur de cabinet.
Dans sa dernière émission télécommandée avec le journaliste Ben Abdou Said et diffusée à la télévision nationale, l'ORTC, au lendemain de l'organisation du séminaire sur « la politique nationale de Défense et de Sécurité », le Directeur de cabinet du Chef de l'Etat en charge de la défense a perdu son calme et son flegme à la fin de l’émission. En réaction au communiqué du Comité Maoré du 10 mars 2014 qui a accusé le Chef de l'Etat d'avoir « complètement capitulé sur la question de l'Ile comorienne de Mayotte » et a appelé à son départ, il a tenu des propos intolérables choquants et indignes de sa fonction. En effet, il a accusé, les grands comoriens, pour faire référence à l'origine insulaire des membres du Comité Maore, et plus précisément les Présidents Said Mohamed Cheikh et Ali Soilihi d'être les initiateurs du séparatisme, des coups d'Etat et des débarquements militaires aux Comores. Said Mohamed Cheikh serait l'initiateur du transfert de la capitale des COMORES de Dzaoudzi à Moroni, alors que l'on sait pertinemment que c'est l'Assemblée territoriale des Comores qui a voté, y compris tous les élus de Mohéli, le transfert de la capitale de Dzaoudzi - à Mayotte - vers Moroni - en Grande-Comore en juin 1957. Seuls, les quatre représentants mahorais avaient voté contre.
Dans sa dernière émission télécommandée avec le journaliste Ben Abdou Said et diffusée à la télévision nationale, l'ORTC, au lendemain de l'organisation du séminaire sur « la politique nationale de Défense et de Sécurité », le Directeur de cabinet du Chef de l'Etat en charge de la défense a perdu son calme et son flegme à la fin de l’émission. En réaction au communiqué du Comité Maoré du 10 mars 2014 qui a accusé le Chef de l'Etat d'avoir « complètement capitulé sur la question de l'Ile comorienne de Mayotte » et a appelé à son départ, il a tenu des propos intolérables choquants et indignes de sa fonction. En effet, il a accusé, les grands comoriens, pour faire référence à l'origine insulaire des membres du Comité Maore, et plus précisément les Présidents Said Mohamed Cheikh et Ali Soilihi d'être les initiateurs du séparatisme, des coups d'Etat et des débarquements militaires aux Comores. Said Mohamed Cheikh serait l'initiateur du transfert de la capitale des COMORES de Dzaoudzi à Moroni, alors que l'on sait pertinemment que c'est l'Assemblée territoriale des Comores qui a voté, y compris tous les élus de Mohéli, le transfert de la capitale de Dzaoudzi - à Mayotte - vers Moroni - en Grande-Comore en juin 1957. Seuls, les quatre représentants mahorais avaient voté contre.
Le Directeur de Cabinet qui proclame sa « mohelité » depuis qu'il a
voulu devenir premier Ministre en 2000 sous le régime militaire du
Colonel Azali Assoumani, feint d'oublier que s'il est critiqué, ce
n'est pas par ce que il est originaire de l'Ile de Mohéli, mais par ce
qu'il occupe un poste important au sein de l'administration en étant le
plus proche collaborateur du chef de l'Etat et le patron de la défense
du pays. Avec des telles fonctions, le Directeur de cabinet doit agir au
nom de la nation et représenter la nation toute entière. C'est une
faute politique de mentir sur l'histoire du pays et surtout d'affirmer
que lui et le chef de l'Etat sont critiqués par ce qu'ils sont de «
Mohéli ». Azali Assoumani, son mentor et Ahmed Abdallah Mohamed Sambi,
son ennemi intime, ont été vivement critiqués, combattus, insultés, tout
au long de leur règne, non pas par ce qu'ils étaient issus de la Grande
Comore ou d'Anjouan, mais tout simplement parce qu'ils étaient les
Présidents de l'Union des Comores.
Un Directeur cabinet d'un Chef de l’État en charge de la défense, doit avoir, la capacité de s'élever au-dessus des divisions partisanes pour rechercher le seul bien commun. Il doit réussir à fondre ses intérêts dans ceux de l'État, en revenant à cette belle définition de la politique "faire passer le souci du monde avant le souci de soi". Notre Directeur de Cabinet en charge de la défense continue de faire passer le souci du « mohelien » avant le souci du Comorien.
Source (sans la photo ni la vidéo) : comoresdroit
Un Directeur cabinet d'un Chef de l’État en charge de la défense, doit avoir, la capacité de s'élever au-dessus des divisions partisanes pour rechercher le seul bien commun. Il doit réussir à fondre ses intérêts dans ceux de l'État, en revenant à cette belle définition de la politique "faire passer le souci du monde avant le souci de soi". Notre Directeur de Cabinet en charge de la défense continue de faire passer le souci du « mohelien » avant le souci du Comorien.
Source (sans la photo ni la vidéo) : comoresdroit