Le Pec (Parti pour l'Entente Comorienne) a organisé dans les jardins de l'hôtel Crystal un cocktail dinatoire en l'honneur de...
Le Pec (Parti pour l'Entente Comorienne) a organisé dans les jardins de l'hôtel Crystal un cocktail dinatoire en l'honneur de son président Fahmi Said Ibrahim qui a été élu personnalité de l'année par le canard gouvernemental « Al-watwan ». Il faut noter que depuis que cette tradition a été établie, c'est la première fois qu'un politique, et de surcoit, issu des rangs de l'opposition a été distingué. Cette distinction a été l'occasion pour le Pec de revenir sur les différentes actions menées tout au long de l'année 2013.
Les membres du parti ont tenu à remettre deux cadeaux lourds de symbole à leur président. Le premier qui est le symbole de l'éducation a été remis à Fahmi Said Ibrahim par Abdallah Tocha, un vieux routier de la politique et menbre fondateur du PEC.
On sait que l'éducation, l'apprentissage revient continuellement dans tous les discours, dans toutes les actions du parti, désormais il a un maroufan où poser ses feuilles et stylos. Il peut être compris de la sorte : Un autre doyen, d'âge celui-là, répondant au nom de Djaé Ibrahim, lui a remis une photo encadrée de Mandela, insistant sur les combats menés par cet icône et sur le parallélisme qu'on pouvait voir entre son combat et celui du Pec « et qu'il fallait chaque jour s'en inspirer ».
L'invité d'honneur de la soirée a tenu à remercier, son parti, son équipe car « sans elle, jamais il n'y aurait pas eu de prix du tout et à cet effet, je le dédie à tous les militants du Pec et à tous, je leur dis merci, merci de croire en notre combat et merci de croire en un avenir meilleur pour les Comores », a-t-il affirmé. « En outre, a-t-il continué, « je tiens à remercier Al-watwan, qui a pris d'énormes risques en nommant une personne de l'opposition, je tiens ainsi à saluer son courage et son refus d'entrer dans les rangs comme un gentil petit soldat ».
Et un brin ironique, « une haute autorité s'est offusquée que j'aie été nommé et pas elle, dans son indignation, il aurait peut-être dû se rappeler que lui toutes les semaines, il verse dans le triomphalisme à travers les deux pages qu'il a fait siennes dans le journal de l'Etat, il s'auto-nomme 54 fois par an, que diable a-t-il besoin d'être élu personnalité de l'année », s'est-il demandé. « Il n'en a visiblement pas besoin », a-t-il conclu.
Les membres du parti ont tenu à remettre deux cadeaux lourds de symbole à leur président. Le premier qui est le symbole de l'éducation a été remis à Fahmi Said Ibrahim par Abdallah Tocha, un vieux routier de la politique et menbre fondateur du PEC.
On sait que l'éducation, l'apprentissage revient continuellement dans tous les discours, dans toutes les actions du parti, désormais il a un maroufan où poser ses feuilles et stylos. Il peut être compris de la sorte : Un autre doyen, d'âge celui-là, répondant au nom de Djaé Ibrahim, lui a remis une photo encadrée de Mandela, insistant sur les combats menés par cet icône et sur le parallélisme qu'on pouvait voir entre son combat et celui du Pec « et qu'il fallait chaque jour s'en inspirer ».
L'invité d'honneur de la soirée a tenu à remercier, son parti, son équipe car « sans elle, jamais il n'y aurait pas eu de prix du tout et à cet effet, je le dédie à tous les militants du Pec et à tous, je leur dis merci, merci de croire en notre combat et merci de croire en un avenir meilleur pour les Comores », a-t-il affirmé. « En outre, a-t-il continué, « je tiens à remercier Al-watwan, qui a pris d'énormes risques en nommant une personne de l'opposition, je tiens ainsi à saluer son courage et son refus d'entrer dans les rangs comme un gentil petit soldat ».
Et un brin ironique, « une haute autorité s'est offusquée que j'aie été nommé et pas elle, dans son indignation, il aurait peut-être dû se rappeler que lui toutes les semaines, il verse dans le triomphalisme à travers les deux pages qu'il a fait siennes dans le journal de l'Etat, il s'auto-nomme 54 fois par an, que diable a-t-il besoin d'être élu personnalité de l'année », s'est-il demandé. « Il n'en a visiblement pas besoin », a-t-il conclu.
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