Domination par l'humiliation : Anissi Chamsidine ! Un encombrant célèbre qui dérange déjà Ahmed Sambi…

Les Enfants Rebelles : « Salimou et Anissi ? », les e nfants soumis : « Gamil, Sidi et Dossar », pourquoi ils sont des dépendant systémat...

Les Enfants Rebelles : « Salimou et Anissi ? », les enfants soumis : « Gamil, Sidi et Dossar », pourquoi ils sont des dépendant systématiques du système Sambi ? Élément de réponse à la fin de cet article.

Après le « qui est Salimou ?... à Dzahadjou », à Epinay sur seine, Ahmed Sambi nous donne une étonnante biographie d’Anissi Chamsidine : « qui connaissait Anissi ?... il est quoi sans moi ?... »,

Il y a des signes qui ne trompent pas. La désolante mauvaise habitude suit son cours ! La crise entre "Anissi Chamssoudine" et "Ahmed Sambi" a commencé.
Comme d'habitude, avant de se débarrasser d'un « encombrant célèbre », Ahmed Sambi tente de l'humilier en publique, pour lui faire plier à sa volonté. C’est ce que j’appelle : la domination par l'humiliation...

Vous voulez connaître Anissi ? Voici sa biographie selon Ahmed Sambi :

[Il est d'un petit village de la campagne « massahani hoho ! », issu d'une famille pauvre, lui-même n'était pas capable de se présenter devant le public…, vivre en ville n’était pas évident pour lui … C’est grâce à moi « le citadin Sambi » qu'il est en ville…, Aujourd’hui Anissi peut parler au gens grâce à ma seule volonté. « toujours le moi égoïste du citadin … »]. C’est ce que nous informe Ahmed Sambi dans sa vidéo. (Je rappelle que je n'invente rien, tout ça, se trouve dans le discours d'Ahmed Sambi, la vidéo est témoin).
Mais, on se demande, en quoi l'ancien Raïs était obligé de nous parler de ces aspects négatifs du gouverneur, au moment même où Anissi est choisi homme politique de l’année 2013 ?

C’est du déjà vu ! On se rappelle de ces petites phrases ironiques d’Ahmed Sambi …

[Mais, Qui est Salimou ? il a fait quoi Salimou ?...; disait Ahmed Sambi à Dzahadjou Hambou, dans une cérémonie dont le héro était justement ce Salimou, l'enfant du village, l'enfant du pays...].
De la même manière, alors que « Anissi Chamsidine » est classé premier de la classe par la presse, voilà que à Epinay sur seine en région parisienne le 11 janvier 2014, Ahmed Sambi se demande : [Mais, qui est Anissi ? il a fait quoi ? lui, qui est d'un tout petit village de la campagne, que personne ne connaît ..., c'est grâce à moi..., sans moi il n'était rien...; il est quoi sans moi ?...] effectivement ici le "moi de l’ego" se dégage pendant 3 minutes dans sa vidéo. Vous pouvez ne pas y croire, mais c'est son discours, c'est ses mots à lui. (Je rappelle encore que je n'invente rien, la vidéo est témoin).

En espérant que ce n’est pas la même l’histoire : Quand le vilain mari tue le prince charmant !

Les trois signes avant coureurs qui annoncent une crise profonde entre « Anissi Chamsidine » gouverneur de l'île autonome d'Anjouan et l'ancien président Ahmed Sambi, sont tous réunis, et le discours d'Ahmed Sambi en région Parisienne le 11 janvier 2014 le confirme. Comme d’ailleurs le discours de « Dzahadjou ya Hambou » était le signe visible de la crise profonde entre le président et son chef d'Etat-major de l'époque.

Ahmed Sambi est un orgueilleux qui ne laissera jamais de gloire derrière lui, il ne tolère pas que les "Salimou" et les "Anissi"…, deviennent des héros," Non !" ça doit être lui et lui seul le héros, ou alors, personne.

Hier c’était avec le général Salimou, Aujourd'hui c’est avec Anissi. Oui, c’est la même histoire, la même stratégie mécanique qui se reproduise avec le même style. Anissi est désormais « un encombrant célèbre », devenu très populaire, aimé par presque tout le monde à cause de ses actions louables que l’œil peut témoigner. Dommage ! Cela ne plait pas à Ahmed Sambi.

Casse-gueule nécessité d'Ahmed Sambi !

Malgré l'âge adulte et malgré les fonctions et les responsabilités que détiennent les uns et les autres parmi ses proches : il veut tout contrôler, tout imposer et tout dicter : ce qu'il faut dire, ce qu'il faut faire et surtout à qui on peut rendre visite et à qui, on a pas le droit. Ce désir d'imposer un pouvoir absolu à des personnes qui ont à peu près son âge, c'est désolant, dégoûtant et inadmissible. c'est tout simplement un comportement d'un homme fort,oui, mais qui ne sera jamais compatible avec le savoir vivre ensemble...

Les 3 signes avant coureurs

On disait que les 3 signes avant coureurs qui annoncent la crise entre Anissi et Ahmed Sambi, sont tous réunis, à savoir :
1/ la célébrité : Anissi est célèbre à Anjouan et au niveau national {il n'est plus ce que Sambi veut nous faire croire, c à d " le Mdjomba mo massahani hoho", d'un petit village que personne ne connaît, ce petit village décrit par le « citadin Sambi » avec tous les aspects négatifs}, Non, le message se trouve ailleurs.

2/ les actions visibles réalisées par Anissi : Ces actions que l’œil peut témoigner, dérangent l'homme « au bilan imaginaire ». Il voit là, son effacement en faveur d'Anissi, oubliant tout de même et comme toujours, que la réussite devait être collective.

3/ la célébrité plus actions visibles : « C + AV = Cav. Envoyez lui à la cave ». Visiblement ceci constituent une menasse mortelle, un fardeau dans la grandeur nature et dans l'orgueil démesuré qu'il se donne. C’est ainsi qu'il a commencé « les piques et le zig-zag », aux signes qui ne trompent personne, car du déjà vu.
En attendant la suite, ce déjà vu, est un signe qui ne trompe pas, même si les concernés tenteront de démentir pour le moment; Mrimdu insiste que entre " Anissi et Sambi", la crise est déjà profonde...

L’histoire du vilain mari qui a tué le prince charmant, ressemble fort à ce fait récidive, qui pousse toujours Ahmed Sambi à faire ses proches, des enfants soumis, et surtout anéantir ceux qui pensent autrement. Alors oui, Anissi qui n'a pas les tempéraments d'un enfants soumis, finira obligatoirement comme les autres : Mohamed Abdoulwahabi ; Moussa Toiyib; le général Salimou; Oukacha; Idi Nadhoime; Ikililou Dhoinine... la liste est longue}.

La domination par l'humiliation, c'est la stratégie « perdante pourtant », mais modélisée par Ahmed Sambi. C’est une stratégie connue, jugée efficace et très puissante par les sanglant dictateurs professionnels : tuer à grande échelle les carrières de ceux qui pensent autrement. Ici le chanceux Ikililou Dhoinine a échappé bel ; par contre l’ancien raïs a entrepris et réussi une démolition parfaite de la carrière de son chef d’état-major "le général Salimou",

Ahmed Sambi et ses dépendants systématiques

On vante ses mérites pourtant, la domination par l'humiliation entrepris par l'ancien Raïs, muselle toute opposition, assassine l’intelligence, réduit au néant les éminents intellectuelles de son entourage, en faisant d'eux : des dépendant systématiques. C’est le cas de Bacar Dossar, Sidi, et l'ancien chef d'Etat-major le colonel Gamil...etc.

- Oui ! Le colonel Gamil est devenu dépendant systématique d'Ahmed Sambi, justement à cause de l'assassinat de Combo {rappelons que Gamil est cité à la barre devant la cour d’assise par les témoins, le 02 novembre 2012, jour de l’audience, qui a libéré le général}, mais aussi, le rôle de Gamil dans la séquestration du général Salimou, fait de lui un dépendant systématique d'Ahmed Sambi. Il n’a pas d’autre choix.
- Oui ! Sidi est devenu dépendant systématique d'Ahmed Sambi, depuis la loi controversée dite, « de la citoyenneté économique », mais aussi, à cause de la séquestration injuste et injustifiée du général Salimou, car Sidi n’est pas pour rien. Il est Sambiste que Sambi par obligation.
- Enfin oui ! Bacar Dossar est devenu dépendant systématique, depuis le discours de Missiri le 21 mai 2011, où Ahmed Sambi disait à tous les Comoriens que Dossar est le seul, qui connaît le secret de polichinelle de la fondation Fatma et les fameux 2 milliards d'euros. Depuis ce jour-là, Dossar est devenu dépendant systématique d'Ahmed Sambi…

Mrimdu