Fusion bouillonnante entre " le Djuwa " d’Ahmed Sambi et le " Pec " de Fahami ; ça va mal finir... Cette fusion péri...
Fusion bouillonnante entre " le Djuwa " d’Ahmed Sambi et le " Pec " de Fahami ; ça va mal finir...
Cette fusion périlleuse, est annoncée en région Parisienne par l’ancien Raïs Ahmed Sambi. Cela nous ramène à cette interrogation logique :
Quelles sont les conséquences de la fusion [Djuwa-Pec] ?
L’opération de fusion entraîne nécessairement la dissolution de l’absorber. Pourtant, on peut constater facilement, que le « Pec » malgré son âge, il n'a pas les moyens pour s'imposer au soleil « Djuwa » ; d'où la qualification de cette fusion d’une fusion mortelle du Pec. Entendre par là, que le bonheur cherché dans cette fusion suppose que Fahami sera le vice-président d'Ahmed Sambi en grande Comore aux présidentielles de 2016 ?
Il s'agit là, d’une danse d'un pied ! C’est la série noire qui se dessine. " Des partis que l'on croyait jusque-là vaccinés contre la division, implosent les uns après les autres. Cette fois-ci la cause pourrait être que : « le leader cherche à se faire une place au soleil, sans avertir les autres ».
Alors oui, chez le Pec, la crise n'est pas loin. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce parti « Pec » avait Fahami comme candidat à l’élection présidentielle et non, un candidat à la vice-présidence d’Ahmed Sambi. D’ailleurs cette expression comorienne est bien adaptée pour être la réponse : Fahami « haka hazingara ye mbé zegnonga ; hazi rantsi ha siha wo wusungo : nala yélé !! ». On le prévient pour espérer le remède, si ce n'est pas déjà trop tard...
Quand le « Pec » se laisse picorer par le petit poussin « Djuwa » !
Le « Pec » est absorbé par le Djuwa, pire, il ne peut plus se retirer du soleil. Le Malheur ! Il n'a pas les moyens pour s'imposer au soleil. Cette fois, L’esprit absorbant du parti « Djuwa », n'a pas choisit le Pec, comme il avait choisit l'Ajd de Sidi ou le PCP d'Ahmed Barwan et Sounhadj. « Non », Fahami a tout bonnement ramené son parti, dans la gueule du petit poussin.
Le parti Djuwa {crée en octobre 2013} c'est un petit poussin de quatre mois, cela dit qu'il a un esprit qui ne sait pas encore choisir, ce qui est normal, car après tout, quand on est « le petit poussin en politique » [comme d'ailleurs dans la communauté des petits poussins], on picore constamment tout ce qui est dans l'environnement, sans en être conscient. Et l'adulte qui se laisse picorer par le petit poussin ? À vous chers internautes s'il vous plait, de trouver le qualificatif...
Ah ! Si les comoriens pouvaient l'entendre ! Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau : Quand {le Pec de Fahmi et le Djuwa, d'Ahmed Sambi}, fusionnent les personnes (les leaders), à Epinay sur seine en région parisienne le 11 janvier 2014, avant de fusionner les idées des deux partis, ou simplement avant d’avertir les adhérents et sympathisants : ça fait danser pour les uns, ça fait étonner pour les autres, et ça reste tout simplement l'étourderie du leader, au regards des passionnés.
Ça va mal finir certes ! Même si personne ne le souhaite, la crise du " Pec " n'est pas loin...
Cette fusion périlleuse, est annoncée en région Parisienne par l’ancien Raïs Ahmed Sambi. Cela nous ramène à cette interrogation logique :
Quelles sont les conséquences de la fusion [Djuwa-Pec] ?
L’opération de fusion entraîne nécessairement la dissolution de l’absorber. Pourtant, on peut constater facilement, que le « Pec » malgré son âge, il n'a pas les moyens pour s'imposer au soleil « Djuwa » ; d'où la qualification de cette fusion d’une fusion mortelle du Pec. Entendre par là, que le bonheur cherché dans cette fusion suppose que Fahami sera le vice-président d'Ahmed Sambi en grande Comore aux présidentielles de 2016 ?
Il s'agit là, d’une danse d'un pied ! C’est la série noire qui se dessine. " Des partis que l'on croyait jusque-là vaccinés contre la division, implosent les uns après les autres. Cette fois-ci la cause pourrait être que : « le leader cherche à se faire une place au soleil, sans avertir les autres ».
Alors oui, chez le Pec, la crise n'est pas loin. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce parti « Pec » avait Fahami comme candidat à l’élection présidentielle et non, un candidat à la vice-présidence d’Ahmed Sambi. D’ailleurs cette expression comorienne est bien adaptée pour être la réponse : Fahami « haka hazingara ye mbé zegnonga ; hazi rantsi ha siha wo wusungo : nala yélé !! ». On le prévient pour espérer le remède, si ce n'est pas déjà trop tard...
Quand le « Pec » se laisse picorer par le petit poussin « Djuwa » !
Le « Pec » est absorbé par le Djuwa, pire, il ne peut plus se retirer du soleil. Le Malheur ! Il n'a pas les moyens pour s'imposer au soleil. Cette fois, L’esprit absorbant du parti « Djuwa », n'a pas choisit le Pec, comme il avait choisit l'Ajd de Sidi ou le PCP d'Ahmed Barwan et Sounhadj. « Non », Fahami a tout bonnement ramené son parti, dans la gueule du petit poussin.
Le parti Djuwa {crée en octobre 2013} c'est un petit poussin de quatre mois, cela dit qu'il a un esprit qui ne sait pas encore choisir, ce qui est normal, car après tout, quand on est « le petit poussin en politique » [comme d'ailleurs dans la communauté des petits poussins], on picore constamment tout ce qui est dans l'environnement, sans en être conscient. Et l'adulte qui se laisse picorer par le petit poussin ? À vous chers internautes s'il vous plait, de trouver le qualificatif...
Ah ! Si les comoriens pouvaient l'entendre ! Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau : Quand {le Pec de Fahmi et le Djuwa, d'Ahmed Sambi}, fusionnent les personnes (les leaders), à Epinay sur seine en région parisienne le 11 janvier 2014, avant de fusionner les idées des deux partis, ou simplement avant d’avertir les adhérents et sympathisants : ça fait danser pour les uns, ça fait étonner pour les autres, et ça reste tout simplement l'étourderie du leader, au regards des passionnés.
Ça va mal finir certes ! Même si personne ne le souhaite, la crise du " Pec " n'est pas loin...
Mrimdu