«Je vais en Afrique. J'espère que je ne vais pas attraper le Sida. Je plaisante, je suis blanche !» Pour avoir tweeté cette blague rac...
«Je vais en Afrique. J'espère que je ne vais pas attraper le
Sida. Je plaisante, je suis blanche !» Pour avoir tweeté cette blague
raciste, la directrice de la communication d'un groupe de médias
américain est l'objet de centaines de messages d'insultes. Elle a
supprimé son compte.
La jeune femme
éteint ensuite son téléphone pendant les dix heures de son vol, alors
qu'un déferlement de messages d'insultes et d'indignation lui sont
envoyés sur Twitter. Le hashtag #hasJustinelandedyet («est-ce que
Justine a atteri») est créé. Les sites de presse s'en emparent, le New York Times tente
(sans succès) de la joindre, Buzzfeed répertorie toutes les blagues
faites par la jeune femme. Elle a par exemple tweeté en février 2012:
«Je viens de faire un rêve érotique avec un enfant autiste. Vie de
Merde.»
Son employeur, le groupe de médias IAC, s‘est ouvertement désolidarisé d'elle et a supprimé toute mention de son existence sur son site. La jeune femme n'a pas encore réagi. Elle a été aperçue, au téléphone, à l'aéroport de Cape Town.
Par figaro.fr
Quelques mots qui déclenchent une tempête.
Avant de prendre l'avion avec sa famille vendredi pour rejoindre
l'Afrique du Sud, l'Américaine Justine Sacco a tweeté une blague
raciste. «Je pars pour l'Afrique. J'espère que je ne vais pas attraper
le Sida. Je plaisante, je suis blanche!»
Son employeur, le groupe de médias IAC, s‘est ouvertement désolidarisé d'elle et a supprimé toute mention de son existence sur son site. La jeune femme n'a pas encore réagi. Elle a été aperçue, au téléphone, à l'aéroport de Cape Town.
Par figaro.fr