Un étudiant de licence sur 3 abandonne les études ou se réoriente pendant ou après sa première année universitaire, selon notre sondage ré...
Un étudiant de licence sur 3 abandonne les études ou se réoriente pendant ou après sa première année universitaire, selon notre sondage réalisé de janvier 2010 à novembre 2013 .
D'après cette étude sur "la réussite et l'échec en premier cycle", réalisée par notre site , 30% des personnes inscrites en première année de licence passent en deuxième année, mais 35% redoublent et 35% se réorientent ou abandonnent leurs études.
Les étudiants qui quittent l'enseignement supérieur en première année "se retrouvent dans l'obligation de se marier et changer leur statut afin de rester sur le territoire français ".
L'échec à l'université "concerne principalement la première année après le baccalauréat et le master 1". En 2011, les étudiants en 1ère année de master étaient 34% à aller au bout de leur année et à obtenir leur diplôme.
D'après la note , l'échec en première année résulte souvent "d'une mauvaise orientation, mais aussi d'une difficulté à s'adapter dans un contexte très différent de celui de l'enseignement dans les lycées et à l'université des Comores ". En dépit de "trajectoires non linéraires", certains étudiants parviennent toutefois à obtenir un diplôme de l'enseignement supérieur, mais cela se fait au prix de "coûts importants" pour eux-mêmes et leur famille.
Le taux d'échec sur les trois années du premier cycle, c'est-à-dire "la part de sortants sans diplôme parmi les jeunes bacheliers ayant accedé à l'enseignement supérieur", mesuré à partir d'un panel de 330 bacheliers, est de 59%.
La probabilité d'échec en France descend à 39 % pour les détenteurs d'un bac général, mais atteint 69% chez les titulaires d'un bac littéraire.
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
D'après cette étude sur "la réussite et l'échec en premier cycle", réalisée par notre site , 30% des personnes inscrites en première année de licence passent en deuxième année, mais 35% redoublent et 35% se réorientent ou abandonnent leurs études.
Les étudiants qui quittent l'enseignement supérieur en première année "se retrouvent dans l'obligation de se marier et changer leur statut afin de rester sur le territoire français ".
L'échec à l'université "concerne principalement la première année après le baccalauréat et le master 1". En 2011, les étudiants en 1ère année de master étaient 34% à aller au bout de leur année et à obtenir leur diplôme.
Mauvaise orientation et difficulté à s'adapter
D'après la note , l'échec en première année résulte souvent "d'une mauvaise orientation, mais aussi d'une difficulté à s'adapter dans un contexte très différent de celui de l'enseignement dans les lycées et à l'université des Comores ". En dépit de "trajectoires non linéraires", certains étudiants parviennent toutefois à obtenir un diplôme de l'enseignement supérieur, mais cela se fait au prix de "coûts importants" pour eux-mêmes et leur famille.
Le taux d'échec sur les trois années du premier cycle, c'est-à-dire "la part de sortants sans diplôme parmi les jeunes bacheliers ayant accedé à l'enseignement supérieur", mesuré à partir d'un panel de 330 bacheliers, est de 59%.
La probabilité d'échec en France descend à 39 % pour les détenteurs d'un bac général, mais atteint 69% chez les titulaires d'un bac littéraire.
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