Il faudrait bien sûr qu’il ait un amour de la sagesse, une attitude de réflexe et de critique, une manière de voir, de comprendre et de ...
Il faudrait bien sûr qu’il ait un amour de la sagesse, une attitude de réflexe et de critique, une manière de voir, de comprendre et de se comporter devant la réalité pour pouvoir faire l’horizon social des communautés résidant à l’étranger.
Une situation actuellement bouleversante due à un phénomène étrange. Un phénomène de tension qui se trouve au jour le jour au sein d’une telle société. Malgré la crise économique, politique et financière, nombreux parmi nous s’éparpillent aux quatre coins du monde. Inutile de deviner la suite, mais surement l’objectif le plus visé est les études.
Une fois à l’étranger, loin de ses parents le ou la soi-disant étudiant(e) se sent libre. Mais la présence de la communauté, l’association ou du régionalisme peut protéger cet enfant éperdu.
Prenons l’exemple du Sénégal, pays de l’Afrique de l’Ouest : Grace à la stabilité et l’enseignement de qualité, on trouve beaucoup d’étrangers. Les étrangers s’organisent, par nation, pour vivre en communautaire. Et c’est un moyen idéal pour se connaître, s’entraider et même s’éduquer…
La communauté comorienne était un bon exemple.
Auparavant au Sénégal, il y avait bcp de progrès par rapport à aujourd’hui. Aujourd’hui, l’association est devenue une turpitude car elle apporte des malheurs à nos filles et à la jeunesse : par exemple Organisation des bals et des sorties dans laquelle nos filles sont les plus exposées avec leurs vêtements indécents. Selon nos enquêtes, certaines de nos compatriotes débordent en sortant avec des étrangers - Djiboutiens, Gabonais et Congolais… - ayant venu à nos manifestations en vue de se délecter des beautés. En plus de cela, Filles comme Garçons, continuent à aller au bal jusqu’à, certain moment, arriver à goutter le gout des cigarettes et même des boissons alcoolisés. Aujourd’hui, Personne n’en parle ni le représentant de l’ambassade comorienne ni le président de l’AEESCOS ni les ustadhs, pendant que l’effectif des comoriens en terre sénégalaise s’augmente d’une année à une autre.
Avant, il y avait des journaux qui parlaient et lamentaientt certains comportements. A chaque vendredi, les ustadhs nous rappelaient poliment de certaines choses fondamentales pour que nous puissions nous mettre sur la bonne voie. Et les responsables de l’association essayaient, avec tous les moyens, de faire face à tel comportement risquant de salir l’image des Comoriens. Et ça, c’était génial! On sentait, du moins, la maturité des gens. Ils savaient que, partout où nous sommes, nous sommes des ambassadeurs!
Alors qu’aujourd’hui, on a pris le sens inverse et rien ne va. Il y a des influences dans notre vie quotidienne à cause de l’esprit malveillant et l’égoïsme. L’esprit d’ouverture et de dialogue, pour remettre l’association sur le bon chemin éducatif et de développement, est mis à l’écart. Où va-t-on ?
L’association qui est apolitique est maintenant politisée. On ne sait quoi faire pour valoriser notre image et défendre les intérêt de ses adhérents (élèves, étudiants et stagiaires). On pensait que l’association peut être un vecteur d’éducation ; mais malheureusement, elle n’est plus du tout à cause du manque de sérieux dans les affaires de l’AEESCOS. Peut-être, le statut et la compétence de chacun sont ignorés à tout bout de champ.
Une chose inquiétante, c’est le comportement de filles comoriennes à l’étranger. Une petite remarque à faire, la plupart d’elles ont un esprit de naïveté ou bien un manque de maturité qui leur pousse à fréquenter des milieux dangereux. Parfois, on se demande pourquoi les filles comoriennes ont la manie de sortir avec des étrangers dont leur comportement ou leur religion est si diffèrent de notre ? plusieurs hypothèses sont mis sur la table. Pour donner un exemple à Dakar, Capital du Sénégal où il y a des nationalités différentes, une jeune fille comorienne a osé rompre le tabou et l’interdiction de l’islam dans un mois béni de ramadan, en se couchant avec un homme d’origine congolaise.
Nos radars n’ont pas raté de capter les mouvements de la jeune fille comorienne. On connaît l’île d’où elle vient, mais on préfère garder ça en secret. Une autre a déjà épousé un chrétien ; bannie de sa famille musulmane, elle a complètement jeté le froc aux orties. En plus de cela, selon le propos d’un Docteur Sénégalais, une Douzaine de filles se sont illégalement avortées en un mois. On peut dire que leurs masques est tombée, elles ont bu le calice de la honte jusqu’à la lie.
Mais les prochains jours, si les bêtises et les maladresses continuent à craquer, nous dénoncerons les noms et leurs villes ou villages sans ambages. Qui sème le vent récoltera la tempête !
A bon entendeur !
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