PALAIS DE MRODJOU, 18 nov 2013 -A l’approche de la période des intempéries, les autorités de Ngazidja souhaitent s’assurer de l’état de la...
PALAIS DE MRODJOU, 18 nov 2013 -A l’approche de la période des intempéries, les autorités de Ngazidja souhaitent s’assurer de l’état de la préparation de la direction de la protection civile.
C’est ainsi que le gouverneur Mouigni Baraka et le commissaire en charge de la sécurité, Raoul Delapeyre, ont visité, lundi, les installations du Centre des opérations de secours et de la protection civile (Cosep.)
Ils ont pu ainsi visiter la caserne en construction des sapeurs pompiers et le centre d’analyse et de de traitement l’information. Ils ont pu échangé avec des instructeurs venus de Mayotte dans le but de former chefs de groupe. Pendant plusieurs jours, ces derniers devraient organiser des simulations d’incendies de stations d’essence.
Le directeur de la sécurité civile, le colonel Isamel Mogne-Daho, a soutenu, dans un exposé, que des experts confirmés risquent de céder aux appels de la fuite des cerveaux si l’État ne fait pas l’effort de les recruter .Un autre souci qu’il a exprimé est que les plans de réponses aux sinistres, élaborés depuis des lustres, n’ont pu être testés à ce jour faute de budget.
Le gouverneur a voulu surtout s’assurer qu’en cas de sinistre la chaine de commandement a toutes les chances de fonctionner d’une part et que les différents acteurs sauront accomplir leurs missions respectives. Ngazi Ngomé
C’est ainsi que le gouverneur Mouigni Baraka et le commissaire en charge de la sécurité, Raoul Delapeyre, ont visité, lundi, les installations du Centre des opérations de secours et de la protection civile (Cosep.)
Ils ont pu ainsi visiter la caserne en construction des sapeurs pompiers et le centre d’analyse et de de traitement l’information. Ils ont pu échangé avec des instructeurs venus de Mayotte dans le but de former chefs de groupe. Pendant plusieurs jours, ces derniers devraient organiser des simulations d’incendies de stations d’essence.
Le directeur de la sécurité civile, le colonel Isamel Mogne-Daho, a soutenu, dans un exposé, que des experts confirmés risquent de céder aux appels de la fuite des cerveaux si l’État ne fait pas l’effort de les recruter .Un autre souci qu’il a exprimé est que les plans de réponses aux sinistres, élaborés depuis des lustres, n’ont pu être testés à ce jour faute de budget.
Le gouverneur a voulu surtout s’assurer qu’en cas de sinistre la chaine de commandement a toutes les chances de fonctionner d’une part et que les différents acteurs sauront accomplir leurs missions respectives. Ngazi Ngomé