Chaque jour qui passe voit un parti politique être crée aux Comores ou une association du même genre, sans citer les partis virtuels des co...
Chaque jour qui passe voit un parti politique être crée aux Comores ou une association du même genre, sans citer les partis virtuels des comoriens de la diaspora, pour un petit pays de 800.000 habitants.Les comoriens aiment la politique. Tous veulent devenir tôt ou tard députés, ministres, même si c’est à peine que certains osent se déclarer aptes à assumer les responsabilités présidentielles.Les comoriens veulent se lancer dans la politique. Pour quel projet ? A cette question, il n’y a aucune réponse sinon la critique du système actuel qui est devenue un véritable sport national, en plus de la haine insulaire revendiquée sans état d’âme par plusieurs.
Panne d’idées ou vraies / fausses idées ? La question est posée.
Mais ce qui n’est pas clairement avancé, est plus le désir de s’accaparer de la gestion de la chose publique pour pouvoir avoir une position sociale enviable. La politique aux Comores a perdu depuis des lustres de sa superbe.
L’on sait que crier et dénoncer sont la voie royale aux Comores pour devenir conseiller, ministre et prendre le contrôle d’une circonscription électorale. Les exemples de parcours de ce type sont légion chez nous.
C’est donc plus pour s’assurer une sécurité financière que l’on critique sur le net, ou aux Comores. Ceci, pour attirer l’attention sur soi, et tenter d’obtenir un poste en faisant le raccourci de la franc-maçonnerie au risque de se faire perforer l’orifice extérieur par une canaille.Il est vrai que tout pays a besoin d’acteurs politiques. Mais cela ne peut avoir de sens que par la force des propositions. Le peuple n’est pas aussi dupe que l’on croit. Si les idées sont bonnes, il peut adhérer et changer le cours de l’histoire.
L’on sait que crier et dénoncer sont la voie royale aux Comores pour devenir conseiller, ministre et prendre le contrôle d’une circonscription électorale. Les exemples de parcours de ce type sont légion chez nous.
C’est donc plus pour s’assurer une sécurité financière que l’on critique sur le net, ou aux Comores. Ceci, pour attirer l’attention sur soi, et tenter d’obtenir un poste en faisant le raccourci de la franc-maçonnerie au risque de se faire perforer l’orifice extérieur par une canaille.Il est vrai que tout pays a besoin d’acteurs politiques. Mais cela ne peut avoir de sens que par la force des propositions. Le peuple n’est pas aussi dupe que l’on croit. Si les idées sont bonnes, il peut adhérer et changer le cours de l’histoire.
Le temps d’une rose? La question est posée.
Gouverner la Cité, tout comme gérer une entreprise doit s’apprendre. On ne s’improvise pas homme politique. Les fondamentaux portent sans être exhaustif, sur la connaissance de l’histoire et de la géographie de son pays. Une petite touche en économie peut aider à lire les problèmes, à les comprendre et à proposer des pistes de solution.Les hommes politiques comoriens de la diaspora disposent d’un public virtuel qui commente leurs idées à longueur de journée. Encore faut-il préciser que le public fait le commentaire des injures et de la haine pour l’autre et non de projet économique.
Somme toute, c’est une paranoïa collective que de s’orienter tous dans la voie de la politique. Les comoriens doivent avoir de nouveaux rêves. Les comoriens doivent avoir d’autres rêves.
Le rêve de réussir ses études comme il était le nôtre. A cette époque, les jeunes pensaient plus à étudier qu’à participer à un meeting politique, ou devenir député, ministre. Nous avions pour cela des modèles qui n’étaient autres que nos parents et nos professeurs.Le rêve d’entreprendre pour devenir un capitaine d’industrie. Le rêve de travailler dans une agence onusienne, le rêve de travailler dans une multinationale, le rêve de devenir un grand avocat, etc.
L'Union des Comores d’aujourd’hui a quel modèle ? Certainement un député qui n’a pas fini son cycle secondaire, un ministre qui n’a jamais travaillé, un homme politique établi en Europe qui vit des allocations familiales et fait la ronde des cafés à la recherche d’un crédit alcool.Dans ses conditions, quel est le rêve à transmettre aux jeunes générations ? Sinon la course aux gains faciles, la multiplication des maîtresses, le crime et la félonie. On fait croire aux jeunes que la politique sans background est le chemin le plus court pour accéder à la richesse.
Pour transformer les Comores, c’est par cette voie qu’il faut passer. En créant des petites unités de production qui vont occuper les jeunes et leur apprendre un métier. Plus de XXXX partis politiques et associations chez nous. ( Je n'ai pas le chiffre exacte ).Transposer ce nombre dans le monde des affaires avec de vraies unités qui produisent, nous aurons XXXX petites unités de production. Si chaque unité recrute au moins 5 personnes, nous aurons largement dépassé le nombre de XXXXX de la promesse présidentielle qui attend toujours d’être concrétisée. Et comme c’est une promesse politique, elle ne tient que pour ceux qui y croient.
Commencer dès aujourd’hui par des kiosques d’appel. Aux Comores, il y aura sur la liste des chômeurs, un comorien de moins. La politique chez nous ne rendra jamais l’ensemble du peuple heureux. Le travail oui.
Par la rédaction de Habarizacomores.com
COMMENTAIRE D'UN CITOYEN
Les partis politiques qui poussent actuellement comme des champignons aux Comores ne sont en rien bénéfiques pour les citoyens. tout comme ceux qui sont là depuis des années, ces nouveaux groupes d'escrocs ( désignation qui convient le mieux), sont là pour travailler à la perte d'un peuple déjà meurtri et sans espoir aucun. depuis des années ces partis ne travaillent qu'au profit de leurs adhérents ou un petit groupe parmi ceux-ci au mépris total des citoyens qui, par naïveté et surtout par désespoir tombent dans leur pièges.
j'aimerais qu'on me disent ce que ces partis politiques ont porté de bon au peuple comorien. le peuple comorien n'est pas éduqué politiquement, ces partis, au lieu de faire ce travail qui le leur, profitent de ce manque d'éducation politique pour abuser à chaque fois de la confiance O combien naïve des citoyens. ces pseudo partis politiques qui n'ont d'ailleurs aucun programme digne d'une formation politique, aucune idéologie politique concrète et plausible, et qui ne regroupent même pas une centaine d'adhérents, doivent à la longue disparaître et ils disparaîtront. le peuple ne restera éternellement dupe, le réveil est pour bientôt.
j'aimerais qu'on me disent ce que ces partis politiques ont porté de bon au peuple comorien. le peuple comorien n'est pas éduqué politiquement, ces partis, au lieu de faire ce travail qui le leur, profitent de ce manque d'éducation politique pour abuser à chaque fois de la confiance O combien naïve des citoyens. ces pseudo partis politiques qui n'ont d'ailleurs aucun programme digne d'une formation politique, aucune idéologie politique concrète et plausible, et qui ne regroupent même pas une centaine d'adhérents, doivent à la longue disparaître et ils disparaîtront. le peuple ne restera éternellement dupe, le réveil est pour bientôt.
Commentaire d' Abdourahmani Mohamed Ben ali