La compagnie brésilienne d'exploration pétrolière en mer, Petrobras, a l'intention d'investir en Afrique après une première opér...
La compagnie brésilienne d'exploration pétrolière en mer, Petrobras, a l'intention d'investir en Afrique après une première opération avortée au Nigéria.
Une délégation de cadres de la compagnie Petrobras devrait rencontrer à Moroni le président comorien en exercice, Dhoinine Ikililou, ainsi que le ministre de l'Énergie, Abdou Nassur Madi, le 6 novembre prochain pour évoquer le potentiel pétrolier de l'archipel et les investissements possibles, comme l'indique la lettre d'Africa Energy Intelligence.
Dans le sillage des importantes découvertes gazières dans le canal du Mozambique, la liste des entreprises qui se positionnent autour de l'offshore comorien ne cesse d'augmenter.
Alors que le contrat de partage de production de la société kenyane Bahari Resources vient d'être blackboulé par le Parlement le 19 octobre dernier, plusieurs sociétés ont déjà fait acte de candidature.
Les Emiratis de Rak Gas ainsi que les Américains de Safari, partenaires avec la société Western Energy Production (actifs dans le gaz de schiste aux Etats-Unis) frappent déjà à la porte. Total et les Nigérians de Sapetro ne seraient pas également opposés à saisir les nouvelles opportunités de marché qui se présentent.
Face aux vifs intérêts suscités par son domaine maritime, le gouvernement comorien revoit aussi ses exigences à la hausse. Un droit d'entrée à la signature devrait être désormais imposé et pourrait être chiffré à plusieurs millions de dollars.
Par ailleurs, les sociétés choisies ne pourront pas avoir en gestion plus d'un bloc et les défis à relever dans les zones de prospection devraient également entraîner une autre sélection au niveau technique.
Indian Ocean Times
Une délégation de cadres de la compagnie Petrobras devrait rencontrer à Moroni le président comorien en exercice, Dhoinine Ikililou, ainsi que le ministre de l'Énergie, Abdou Nassur Madi, le 6 novembre prochain pour évoquer le potentiel pétrolier de l'archipel et les investissements possibles, comme l'indique la lettre d'Africa Energy Intelligence.
Dans le sillage des importantes découvertes gazières dans le canal du Mozambique, la liste des entreprises qui se positionnent autour de l'offshore comorien ne cesse d'augmenter.
Alors que le contrat de partage de production de la société kenyane Bahari Resources vient d'être blackboulé par le Parlement le 19 octobre dernier, plusieurs sociétés ont déjà fait acte de candidature.
Les Emiratis de Rak Gas ainsi que les Américains de Safari, partenaires avec la société Western Energy Production (actifs dans le gaz de schiste aux Etats-Unis) frappent déjà à la porte. Total et les Nigérians de Sapetro ne seraient pas également opposés à saisir les nouvelles opportunités de marché qui se présentent.
Face aux vifs intérêts suscités par son domaine maritime, le gouvernement comorien revoit aussi ses exigences à la hausse. Un droit d'entrée à la signature devrait être désormais imposé et pourrait être chiffré à plusieurs millions de dollars.
Par ailleurs, les sociétés choisies ne pourront pas avoir en gestion plus d'un bloc et les défis à relever dans les zones de prospection devraient également entraîner une autre sélection au niveau technique.
Indian Ocean Times
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