Conscients de la vulnérabilité du pays aux risques des catastrophes naturelles notamment les perturbations tropicales, les épidémies et les ...
Conscients de la vulnérabilité du pays aux risques des catastrophes naturelles notamment les perturbations tropicales, les épidémies et les éruptions volcaniques et dans le but de préparer la riposte aux aléas, la Vice-présidence en charge de la santé en collaboration avec l’UNFPA a organisé un atelier de renforcement des capacités dans la gestion des urgences humanitaires et catastrophes sur la coordination de la santé sexuelle et reproductive.
L’atelier s’est tenu du 24 au 26 septembre à l’hôtel Hamapongé - Mutsamudu.
36 personnes dont, la commissaire nationale en charge de la Promotion du Genre, le directeur national de la Santé Familiale, des responsables nationaux et insulaires du Centre des Opérations de Secours et de la Protection civile (COSEP) et du Croissant Rouge Comorien (CRCO) ainsi que des médecins chefs de district des îles ont eu à approfondir leurs connaissances en matière de gestion des urgences humanitaires et catastrophes sur la coordination de la SSR. Les travaux ont bénéficié de l’expertise des techniciens sanitaires de l’UNFPA, Dr Mahamoud Saïd, Ibrahim Saïd Boina et de Dr Aboubacar Saïd Anli, ainsi que celle du point focal des urgences à la direction régionale de la santé, Dr Saindou Abdou Madi.
Il convient de souligner que la cérémonie d’ouverture a été honorée de la présence du Secrétaire Général de la vice-présidence en charge de la Santé, Dr Djaza et de la Commissaire en charge de la santé de l’île autonome de Ndzuwani, Assiati Abdallah.
La commissaire Assiati Abdallah, rassurée du « déterminisme et de l’engagement » des participants pour « la protection de nos pauvres populations » en cas de situation de crise, comme le cas des inondations d’avril 2012, a vivement remercié l’UNFPA pour l’appui permanent qu’il ne cesse d’accorder au gouvernement comorien « en faveur des couches les plus vulnérables ».
Au terme de l’atelier, le représentant du commissaire, major Saïd Ahmed Hachim a noté que « la formation va permettre de faire une bonne coordination en SSR dans les situations de crise humanitaire auxquelles aucune île, aucune région de notre pays n’est épargnée».
Quant aux participants, ils se disent être en mesure de « coordonner, pratiquer et suivre des situations de crises surtout en SSR et genre ». « La formation va leur permettre d’éviter, voire de diminuer des morbidités et des mortalités », a souligné leur porte-parole, Fatima Halidane. Dar Nadjah
L’atelier s’est tenu du 24 au 26 septembre à l’hôtel Hamapongé - Mutsamudu.
36 personnes dont, la commissaire nationale en charge de la Promotion du Genre, le directeur national de la Santé Familiale, des responsables nationaux et insulaires du Centre des Opérations de Secours et de la Protection civile (COSEP) et du Croissant Rouge Comorien (CRCO) ainsi que des médecins chefs de district des îles ont eu à approfondir leurs connaissances en matière de gestion des urgences humanitaires et catastrophes sur la coordination de la SSR. Les travaux ont bénéficié de l’expertise des techniciens sanitaires de l’UNFPA, Dr Mahamoud Saïd, Ibrahim Saïd Boina et de Dr Aboubacar Saïd Anli, ainsi que celle du point focal des urgences à la direction régionale de la santé, Dr Saindou Abdou Madi.
Il convient de souligner que la cérémonie d’ouverture a été honorée de la présence du Secrétaire Général de la vice-présidence en charge de la Santé, Dr Djaza et de la Commissaire en charge de la santé de l’île autonome de Ndzuwani, Assiati Abdallah.
La commissaire Assiati Abdallah, rassurée du « déterminisme et de l’engagement » des participants pour « la protection de nos pauvres populations » en cas de situation de crise, comme le cas des inondations d’avril 2012, a vivement remercié l’UNFPA pour l’appui permanent qu’il ne cesse d’accorder au gouvernement comorien « en faveur des couches les plus vulnérables ».
Au terme de l’atelier, le représentant du commissaire, major Saïd Ahmed Hachim a noté que « la formation va permettre de faire une bonne coordination en SSR dans les situations de crise humanitaire auxquelles aucune île, aucune région de notre pays n’est épargnée».
Quant aux participants, ils se disent être en mesure de « coordonner, pratiquer et suivre des situations de crises surtout en SSR et genre ». « La formation va leur permettre d’éviter, voire de diminuer des morbidités et des mortalités », a souligné leur porte-parole, Fatima Halidane. Dar Nadjah