Le bureau principal d'Air Madagascar, avenue de l'Independence, quartier d'Analakely, Tananarive, Madagascar . Fanalana ...
Avec notre correspondante à Antananarivo
Cela fait plusieurs années que la colère gronde chez les opérateurs touristiques. Mais à deux mois et demi de la haute saison sur la Grande île, la dernière décision d'Air Madagascar a mis le feu aux poudres.
Lourdement endettée et en proie à de fréquents retards, la compagnie vient de supprimer et de modifier des vols pour l'été. Un choix sur lequel Air Madagascar, joint par RFI, n'a pas voulu s'expliquer.
Mais le représentent des opérateurs touristiques fustige ces dernières décisions. « Certains vols ont été annulé, certains tronçons. Certaines dates ont été modifiées », explique le représentant des opérateurs touristiques.
Un secteur déjà fragilisé par la crise
Des changements qui ont des conséquences immédiates pour les professionnels du tourisme, car « des clients ont des parcours complètement modifiés. Et on a quelques annulations, parce que Madagascar est un grand pays, et la connexion aérienne est extrêmement importante. »
C'est bien le coût économique que redoutent ces professionnels du tourisme. Des pertes qui, assurent-ils, pourraient fragiliser encore un peu plus un secteur déjà affaibli par la crise. Depuis 2009, la Grande île a en effet perdu un tiers de ses touristes. Par RFI
Cela fait plusieurs années que la colère gronde chez les opérateurs touristiques. Mais à deux mois et demi de la haute saison sur la Grande île, la dernière décision d'Air Madagascar a mis le feu aux poudres.
Lourdement endettée et en proie à de fréquents retards, la compagnie vient de supprimer et de modifier des vols pour l'été. Un choix sur lequel Air Madagascar, joint par RFI, n'a pas voulu s'expliquer.
Mais le représentent des opérateurs touristiques fustige ces dernières décisions. « Certains vols ont été annulé, certains tronçons. Certaines dates ont été modifiées », explique le représentant des opérateurs touristiques.
Un secteur déjà fragilisé par la crise
Des changements qui ont des conséquences immédiates pour les professionnels du tourisme, car « des clients ont des parcours complètement modifiés. Et on a quelques annulations, parce que Madagascar est un grand pays, et la connexion aérienne est extrêmement importante. »
C'est bien le coût économique que redoutent ces professionnels du tourisme. Des pertes qui, assurent-ils, pourraient fragiliser encore un peu plus un secteur déjà affaibli par la crise. Depuis 2009, la Grande île a en effet perdu un tiers de ses touristes. Par RFI
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