Les jeunes qui ont une masse musculaire plus faible auraient un risque plus élevé de mourir plus tôt que les ados plus musclés, selon une é...
Les jeunes qui ont une masse musculaire plus faible auraient un risque plus élevé de mourir plus tôt que les ados plus musclés, selon une étude suédoise.
La musculature, un indicateur de l’espérance de vie ? Des scientifiques suédois ont suivi un million d’adolescents âgés de 16 à 19 ans au début de l’étude pendant 24 ans. Ils sont arrivés à la conclusion que les adolescents "baraqués" diminuent leur risque de décès prématuré par rapport aux jeunes hommes fluets.
Les adolescents qui ont montré une force musculaire supérieure à la moyenne au début de l’étude ont affiché un risque de mort prématurée inférieur de 20 à 35% quelle que soit la cause de décès : le risque de mort par suicide a diminué de 20 à 30%. Les hommes les plus musclés ont abaissé de 65 % le risque de souffrir de dépression ou de schizophrénie. Le risque de développer une maladie cardiovasculaire a également diminué.
En comparaison, les 16-19 ans avec la force musculaire la plus faible ont présenté le risque le plus élevé de mourir avant d’atteindre 55 ans. Pas très rassurant.
Faites de l’exercice !
Arrivés à l’âge adulte, les chercheurs ont également fait le constat que les hommes moins musclés que la moyenne, qu’ils soient minces ou bien portants, courent le risque d’avoir une espérance de vie plus courte que les hommes bien charpentés, même s’ils sont en surpoids.
Ce que ne dit pas l’étude, c’est quelle est la "musculature moyenne" pour les chercheurs. Autre imprécision, les auteurs de l’étude n’avancent aucune explication à ce lien entre les muscles et l’espérance de vie.
Toutefois ils encouragent les hommes à faire de l’exercice, pour mettre le plus de chances de leur côté. "Les bénéfices de l’activité physique ont été mis en avant dans plusieurs études qui montrent que cela peut empêcher les enfants de développer des maladies plus tard. Cela peut aussi bien améliorer leur concentration à l’école, leur santé mentale et leur bien-être", rappelle la British Heart Foundation.
La musculature, un indicateur de l’espérance de vie ? Des scientifiques suédois ont suivi un million d’adolescents âgés de 16 à 19 ans au début de l’étude pendant 24 ans. Ils sont arrivés à la conclusion que les adolescents "baraqués" diminuent leur risque de décès prématuré par rapport aux jeunes hommes fluets.
Les adolescents qui ont montré une force musculaire supérieure à la moyenne au début de l’étude ont affiché un risque de mort prématurée inférieur de 20 à 35% quelle que soit la cause de décès : le risque de mort par suicide a diminué de 20 à 30%. Les hommes les plus musclés ont abaissé de 65 % le risque de souffrir de dépression ou de schizophrénie. Le risque de développer une maladie cardiovasculaire a également diminué.
En comparaison, les 16-19 ans avec la force musculaire la plus faible ont présenté le risque le plus élevé de mourir avant d’atteindre 55 ans. Pas très rassurant.
Faites de l’exercice !
Arrivés à l’âge adulte, les chercheurs ont également fait le constat que les hommes moins musclés que la moyenne, qu’ils soient minces ou bien portants, courent le risque d’avoir une espérance de vie plus courte que les hommes bien charpentés, même s’ils sont en surpoids.
Ce que ne dit pas l’étude, c’est quelle est la "musculature moyenne" pour les chercheurs. Autre imprécision, les auteurs de l’étude n’avancent aucune explication à ce lien entre les muscles et l’espérance de vie.
Toutefois ils encouragent les hommes à faire de l’exercice, pour mettre le plus de chances de leur côté. "Les bénéfices de l’activité physique ont été mis en avant dans plusieurs études qui montrent que cela peut empêcher les enfants de développer des maladies plus tard. Cela peut aussi bien améliorer leur concentration à l’école, leur santé mentale et leur bien-être", rappelle la British Heart Foundation.
Auteur : Emilie Cailleau
topsante.com