Révolutionnaires, les nouvelles technologies ? Pas pour l'entente cordiale entre chouchou et loulou. L'ordinateur serait même généra...
Révolutionnaires, les nouvelles technologies ? Pas pour l'entente cordiale entre chouchou et loulou. L'ordinateur serait même générateur de bug. Explications. Votre bien aimé a les yeux rivés sur son écran, vous attendez, stressée, que ça se termine ? Inutile d'aller consulter votre conseiller conjugal, une étude américaine réalisée par Harris Interactive pour Crucial a identifié le coupable : l'informatique et plus précisément, l'ordinateur.
Le constat est sans appel. Passer du temps à tapoter sur un clavier
plutôt que sur les petites fesses de votre moitié nuit gravement à la
santé de votre couple : pour 45 % des hommes et 37 % des femmes, soit 41
% des 2 691 couples sondés, l'informatique est source de stress et de
conflit. Pour 18 % des personnes interrogées, l'ordinateur leur aurait
même causé plus de stress que leur conjoint durant les six derniers
mois. Stressant le PC, mais pas autant que la vie à deux. Aux disputes
de couples, les usagers préfèrent encore les problèmes informatiques :
61 % des sondés, dont 58 % d'hommes et 64 % de femmes, préfèrent
s'arracher les cheveux (et les yeux) sur une erreur 404 plutôt que de
défier, yeux dans les yeux, leur amoureux.
L'ordinateur, source de conflit dans le couple L'informatique pas si "meetic". L'ordinateur en tant que briseur de ménages, aurait moins d'impact sur les plus de 55 ans. Alors que la moitié des 35-44 ans et près de 45 % des 18-34 ans considèrent l'ordinateur comme source avérée de conflit, les personnes plus âgées ne voient pas en cette grosse machine à écrire moderne, une menace pour la longévité de leur couple. Peut-être parce que comme l'affirmerait mamie : "ce genre d'engin, ce n'est pas de notre âge" ? A moins que ce ne soit parce que nos aînés sont plus doués pour résoudre les maux d'amour que ne le sont les jeunes générations. L'enquête révèle en effet que si de nombreux jeunes maîtrisent le langage html, c'est une autre histoire avec celui des sentiments.
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